La Châtaigneraie

La Châtaigneraie
La Châtaigneraie
La casa
Blason de La Châtaigneraie
Blason
La Châtaigneraie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Fontenay-le-Comte
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de la Châtaigneraie
Maire
Mandat
Marie-Michelle Chaigneau
2023-2026
Code postal 85120
Code commune 85059
Démographie
Gentilé Chataigneraisiens
Population
municipale
2 596 hab. (2021 en évolution de +2,37 % par rapport à 2015)
Densité 326 hab./km2
Population
agglomération
4 764 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées Coordonnées : orientation de longitude invalide, devrait être "E" ou "W"
Altitude 123 m
Min. 77 m
Max. 177 m
Superficie 7,96 km2
Type Bourse rural
Unité urbaine La Châtaigneraie
(ville-centre)
Aire d'attraction La Châtaigneraie
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de La Châtaigneraie
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web lachataigneraie.eu

La Châtaigneraie est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Géographie

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Le territoire municipal de La Châtaigneraie s'étend sur 796 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 123 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 77 et 177 mètres[1],[2].

Localisation

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La commune est située à l'est de la Vendée, à 22 km au nord de Fontenay-le-Comte, 42 km à l'ouest de Parthenay, 30 km au sud-ouest de Bressuire et 50 km à l'est de La Roche-sur-Yon.

Communes limitrophes de La Châtaigneraie
Terval
Saint-Maurice-le-Girard La Châtaigneraie
Antigny Loge-Fougereuse

Relief et géologie

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La Châtaigneraie est située à la limite sud-est du Massif armoricain et du Bocage vendéen, non loin des plaines de Luçon et de Niort. Le relief est assez vallonné. Le point culminant est à 182 m.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 001 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Scillé à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 954,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , La Châtaigneraie est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Châtaigneraie[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Châtaigneraie, dont elle est la commune-centre[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,6 %), zones urbanisées (22 %), prairies (15,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La Châtaigneraie se trouve au croisement de deux axes routiers très fréquentés l'été :

L'agglomération a été pourvue d'une rocade dont il ne manque que le quart nord-ouest.

Évolution du toponyme[15],[16] :

  • Sancti Christofori de Castenearia (XIe siècle) ;
  • prioratus de Chatigneria (XIVe siècle) ;
  • cura Sancti Christofori de Chategneria, prioratus de Castegneria (1625) ;
  • La Châtaigneraye (1648) ;
  • La Chastaigneraye (Révolution) ;
  • La Châteigneraie (1801) ;
  • La Châtaigneraie.

En poitevin, la commune est appelée La Chategnerae[17].

Le bourg de La Châtaigneraie doit son nom à la famille de ses premiers seigneurs, les Chasteigner. La seigneurie de La Châtaigneraie dépend de la baronnie de Mervent-Vouvant. La famille des Chasteigner fit construire un château fort et bientôt la paroisse qui était désignée jusqu’alors sous le nom de “Saint Christophe du bois” fut connue sous celui de Castaneria, forme originelle de notre actuelle “Châtaigneraie”.

Du XIVe au XVIIe siècle elle sera aux mains de la famille de Vivonne avant d'être brièvement la possession de François de La Rochefoucauld, l'auteur des Maximes. En 1699 elle devient le siège du bailliage de Vouvant, créé par Louis XIV l'année précédente. Durant les Guerres de Religion, La Châtaigneraie eut beaucoup à souffrir des luttes fratricides. L'église Saint-Christophe du Bois fut pillée et en 1623, Charles de Vivonne fonda sur ses ruines un couvent de Jacobins. La chapelle du château dédiée à Saint-Jean devient une église paroissiale. L'église actuelle Saint-Jean est construite au siècle dernier sur l’emplacement de cette antique chapelle seigneuriale[18].

En 1698, le roi créa un tribunal royal, le bailliage de Vouvant séant à La Châtaigneraie. Le bailliage amena dans nos murs de nombreux fonctionnaires tels que sénéchal, procureurs, conseillers, avocats, greffiers, sergents, huissiers, notaires, geôliers…[18]

Au XVIe siècle, les tisserands étaient très nombreux à La Châtaigneraie. En effet, 800 métiers battaient alors aux environs. Le commerce d’étoffe qui se faisait alors avec le Canada, amena des populations au contact des négociants et armateurs protestants de La Rochelle. Nonobstant la défaite des protestants et surtout la révocation de l’Edit de Nantes qui provoqua le départ de beaucoup de maîtres tisserands porta un coup fatal à la région[18].

En 1789 à l’aube de la Révolution, La Châtaigneraie se caractérisait par le nombre important de ses bourgeois, hommes de loi, mais aussi : marchands, chirurgiens, apothicaires et autres. Contrairement aux paysans du Bas-Poitou qui vivaient alors volontiers en autarcie, sans autre information que les sermons du dimanche, ces gens, relativement instruits, étaient ouverts aux idées nouvelles et avaient lu les philosophes. Durant tout le conflit, la population bourgeoise de La Châtaigneraie est plutôt républicaine, alors que la plupart des paysans soutient la cause catholique et royale. Chef-lieu de district de 1790 à 1795, elle est à cette époque le lieu de deux batailles de la guerre de Vendée : celle du 13 mai 1793 (victoire vendéenne) et celle du 12 juillet 1794 (victoire républicaine)[18].

En 1815, lors de la guerre de Vendée, à la fin des « Cent Jours », le général Lamarque fut chargé de la pacification. De passage dans notre ville avec son état-major, il fut surpris de trouver La Châtaigneraie en fête. « Vous dansez ici et La Vendée est en feu », dit-il à un aubergiste. « Mais mon général, les oiseaux chantent bien entre les coups de fusils». Et Lamarque de conclure : « Cette Châtaigneraie, c’est un nid de rossignols sur un baril de poudre »[18].

Au XIXe siècle, la commune changea de physionomie avec la création des routes principales en 1840, les halles en 1857 (démolies en 1973), l'église Saint-Jean-Baptiste en 1874, les châteaux Le Châtenay et Les Cèdres en 1875, l’hospice, la maison Lionnet en 1874, la gare, le train et le pont de Coquilleau en 1885 et le service d’eau, l’électricité, au début du XXe siècle.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité

(décès)
Georges Avril MRP Vétérinaire
Conseiller général de La Châtaigneraie (1945 → 1952)
Marcellin Pouponnot   Directeur général de la laiterie du Tail[22], ancien 1er adjoint
Claude Bonneau   Pépiniériste
Bernard Gendrillon[23] DVD Chef d'entreprise
Président du district de la Gâtine vendéenne puis du
district de La Châtaigneraie (1991 → 1995)[24]
Marie-Christine Herbouiller[25] DVD Pédiatre
Bernard Boisramé[26]   Directeur d’un centre de gestion retraité

(démission)
Joseph Bonneau[27],[28] DVD Commerçant retraité
Nicolas Maupetit[29] DVD Orthopédiste
Marie-Jeanne Benoit SE Infirmière retraitée
En cours Marie-Michelle Chaigneau[30] SE Cadre manageuse, ancienne adjointe au maire
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 2 596 habitants[Note 4], en évolution de +2,37 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0009119611 4141 4371 3861 6021 6741 840
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8011 7771 7921 8781 9141 9842 2362 0471 944
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9022 0211 9651 7481 8521 8711 8271 8081 860
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 0562 3712 9063 0552 9042 7622 6632 6212 641
2014 2019 2021 - - - - - -
2 5492 5862 596------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,3 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 189 hommes pour 1 376 femmes, soit un taux de 53,65 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
3,4 
11,8 
75-89 ans
18,8 
24,2 
60-74 ans
24,7 
19,9 
45-59 ans
18,2 
14,3 
30-44 ans
11,2 
14,7 
15-29 ans
11,1 
14,1 
0-14 ans
12,5 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,7 
75-89 ans
11,1 
20,3 
60-74 ans
21,3 
20 
45-59 ans
19,4 
17,5 
30-44 ans
16,8 
15 
15-29 ans
13,2 
17,7 
0-14 ans
16,1 

Manifestations culturelles et festivités

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  • La folle semaine de l'Eurofestival
  • Les 30 du Comité de Jumelage
  • Changement de présidence à l'AeC

On peut signaler plusieurs entreprises et éléments présents dans la communes :

  • Bioporc
  • Charal
  • Couture S.A
  • Groupe Soulet (EGT)
  • Renault SARL
  • SIRF
  • SOFRILOG
  • SPORTIFRANCE

Culture locale et patrimoine

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Clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste.

Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Jean-Baptiste, XIXe siècle de style néo-gothique.
  • La villa Lionnet, maison du peintre Félix Lionnet, rue du Maréchal-de-Lattre, est inscrite au titre des monuments historiques en 2007[36].
  • Les lavoirs du Chatenay et de la Fontaine-du-Bois.
  • Le château du Châtenay (1870), de style néo-Louis XIII.
  • Le château des Cèdres (1871), de style néo-Renaissance.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D'argent au lion d'azur semé de fleurs de lys d'or[37].

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de La Châtaigneraie comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Commune 11570 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « La Châtaigneraie », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre La Châtaigneraie et Scillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Scillé », sur la commune de Scillé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Scillé », sur la commune de Scillé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de La Châtaigneraie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Châtaigneraie ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Châtaigneraie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Eugène Aillery, Pouillé de l’évêché de Luçon, Fontenay-le-Comte, Robuchon, , 211 p. (BNF 30006044, lire en ligne), p. 176-177.
  17. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 93.
  18. a b c d et e « Histoire | La Chataigneraie – Site internet de la Mairie » (consulté le ).
  19. « Historique des mairies », sur le site de la commune de La Châtaigneraie [lire en ligne].
  20. « Décrets nommant des maires et adjoints », Journal officiel de la République française, no 348,‎ (lire en ligne).
  21. « Petiteau, Léon-Calixte-Étienne », Dictionnaire des Vendéens, archives départementales de la Vendée et Société d’émulation de la Vendée,‎ (lire en ligne).
  22. [1]
  23. « Médaille d’honneur de la Vendée pour B. Gendrillon », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  24. « L’historique », sur le site de la communauté de communes du Pays-de-la-Châtaigneraie [lire en ligne].
  25. « Un “bilan positif” pour Marie-Christine Herbouiller », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  26. « Bernard Boisramé est le nouveau maire, avec quatre adjoints », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  27. « Joseph Bonneau, nouveau maire, s’entoure de cinq adjoints », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  28. « Le maire Joseph Bonneau démissionne de son mandat », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. « Nicolas Maupetit, nouveau maire de La Châtaigneraie », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  30. « La Châtaigneraie. Marie-Michelle Chaigneau est la nouvelle maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Châtaigneraie (85059) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
  36. « Maison du peintre Félix Lionnet », notice no PA85000032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Francis Moreau - Armoiries des Seigneurs de La Châtaigneraie », sur fmoreau.recit.free.fr (consulté le ).