Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
La Perrière évoque les pierres[1], il s'agit d'anciennes carrières.
Il y avait autrefois, à La Perrière, deux catégories de carrières : l’une qui fournissait la pierre blanche servant à la construction, l’autre, du grès ferrugineux qui, mêlé au sable formait du « grison », également utilisé pour la construction[2].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[9],[Note 2].
En 2020, la commune comptait 216 habitants, en évolution de −14,62 % par rapport à 2015 (Orne : −1,53 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Le presbytère, se situant à proximité de l'église Notre-Dame. C'est une maison acquise à M. Fromage, le , construite très probablement sur l'ancien château fort (en raison de l'épaisseur des murs de soubassement). Aujourd'hui, le presbytère est devenu un gîte[12].
Le logis de l'Évêque. Situé dans le village, le porche du XVIIe siècle est protégé par deux tourelles à échauguettes[13].
La butte du Pont-Sevrain. Située au nord de la commune, la bute, un tertre hémisphérique sans fossés, a été fouillé vers 1880 et a livré des fers de lance et des monnaies romaines[13].
Le domaine de Soisay.
Pour mémoire
Château fort de la Perrière. Il fut démoli en 1449 par les Anglais[13].
Mathurin Cordier (La Perrière, 1479 - 1564), théologien, professeur, humaniste et pédagogue.
René III de La Boussardières (1604-1632), seigneur de La Suardière, à La Perrière ; et son fils Jean III de La Boussardières (1623-après 1690), seigneur de La Grande Suardière.
Angélique Cottin, dite « la fille électrique », objet de curiosité du XIXe siècle pour sa capacité à influer sur les courants électriques par la pensée[15].
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Abbé Adrien Guillet - La Perrière depuis son origine jusqu’à nos jours.
↑Louis Duval, Rapport sur l’orthographe des noms de commune du département de l’Orne, Alençon, 1903, p. 116.
↑Les Auteurs de l’Atlas National de France, Précis élémentaire et méthodique de la nouvelle géographie de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1791.
↑Les Auteurs de l’Atlas National de France, Atlas National Portatif de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1792.
↑Laurence de Calan, Presybtères du Perche, éditions des Amis du Perche, collection "Présence du Perche", juillet 2012, p. 71-73. [ (ISBN978-2-900122-983)].
↑ abc et dGuy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN978-284673-215-4), p. 132.