La Pommeraie-sur-Sèvre est située à l'est du département de la Vendée. Le territoire municipal de La Pommeraie-sur-Sèvre s'étend sur 1 572 hectares, dans le « Haut-Bocage » vendéen, proche de « la Gâtine » aux limites des Deux-Sèvres. L'altitude allant de 140 mètres à 212 mètres sur le massif granitique de la commune, l'altitude moyenne est de 168 mètres[2],[3].
« D'azur aux trois pommes feuillées d'or, mal ordonnées, soutenues d'un pont d'une arche du même mouvant des flancs, à la bordure cousue de gueules chargée en chef d'une tour donjonnée de trois tourelles aussi d'or ».
à proximité le Château du Deffend situé sur la commune de Montravers 79
Église Saint-Martin-de-Tours du XIIIe siècle possédant des fresques murales qui représentent les 7 péchés capitaux, (inscription à la liste des Monuments Historiques par arrêté du )[7]
La chapelle de Maison-Pré, lieu de pèlerinage à la Vierge Marie[8]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[14],[Note 1].
En 2015, la commune comptait 1 043 habitants, en évolution de −0,57 % par rapport à 2008 (Vendée : +5,7 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (25,1 %).
Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,4 % contre 48,4 % au niveau national et 49 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
50,4 % d'hommes (0 à 14 ans = 21,5 %, 15 à 29 ans = 15,1 %, 30 à 44 ans = 24,5 %, 45 à 59 ans = 19,2 %, plus de 60 ans = 19,8 %) ;
49,6 % de femmes (0 à 14 ans = 22,1 %, 15 à 29 ans = 14,1 %, 30 à 44 ans = 19,5 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 25,5 %).
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Ministère de l'Intérieur, « Recensement de la population 1820 », Les archives du département de la Vendée, sur Département de la Vendée, (consulté le ), p. 1.
↑CNRS, « Définition de pommeraie », sur CNRTL (Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales), (consulté le ).
↑* Ses souterrains-refuges Begaud J.-M., Sarrazin J. & V. (2012), Souterrains-refuges du canton de Pouzauges, Vendée, édition ADANE, collections Archéologie des mondes souterrains, 162 p., (ISBN978-2-9539407-3-2)
Note : La commune absorbante et l’année de fusion sont indiquées entre parenthèses à la suite du nom de l’ancienne commune ; lorsqu’une commune issue d’un regroupement est composée en italique, cela signifie qu’une nouvelle entité est créée.