Ancienne bastide, Labastide-Murat s'appelait autrefois La Bastide-Fortunière. Fortunière est un anthroponyme basé sur le nom du seigneur fondateur : Fortanier de Gourdon[2],[3].
Labastide-Murat est une bastide aquitaine fondée en 1290 pour le compte d'Édouard 1er, roi d'Angleterre.
En 1642 les consuls sont Antoine Pons (premier consul) et Jean Pélicié (dernier consul) entre lesquels s'élève un différend financier l'année suivante, relativement à l'apurement des comptes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[10],[Note 1].
En 2013, la commune comptait 670 habitants, en évolution de +4,69 % par rapport à 2008 (Lot : +0,05 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Georges-Émile Lebacq (1876-1950), peintre belge impressionniste et post-impressionniste qui a réalisé le vitrail du Maître-Autel de l'église de Goudou : "La Décollation de Saint Jean le Baptiste".
Coupé : au premier d'azur à l’aigle impériale napoléonienne d’or, au second parti, au I d’or au cheval cabré de sable et au II d’or au trinacria sicilien au naturel
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑ a et bGaston Bazalgues et Jacqueline Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 133 p. (ISBN2-910540-16-2, BNF40220401), p. 113.
↑ a et bGaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 117 (lire en ligne).
↑ ab et cVictor Adolphe Malte-Brun, Lot : Géographie - Histoire - Statistique - Administration, Les éditions du Bastion, (réimpr. 1980), 58 p., p. 38,41.
↑ a et bMarc Louison, « En 2018, Aurélien Pradié va continuer à être un « député pirate » », La Vie quercynoise, (lire en ligne).