Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut

Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut
Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut
La mairie de Lacarry-Arhan-Charitte-de-Haut à Lacarry.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Dorothée Nabarra
2020-2026
Code postal 64470
Code commune 64298
Démographie
Gentilé Lakarrar
Population
municipale
125 hab. (2021 en évolution de −1,57 % par rapport à 2015)
Densité 5,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 05′ 10″ nord, 0° 55′ 24″ ouest
Altitude Min. 240 m
Max. 1 464 m
Superficie 23,32 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut
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Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut
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Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut
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Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut

Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Lakarrar[1].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 68 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 35 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 19 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Alçay-Alçabéhéty-Sunharette (1,7 km), Etchebar (2,6 km), Camou-Cihigue (3,8 km), Lichans-Sunhar (4,2 km), Licq-Athérey (4,4 km), Laguinge-Restoue (4,9 km), Alos-Sibas-Abense (5,5 km), Tardets-Sorholus (6,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Arbaille, Basse-Soule et Haute-Soule, dont fait partie la commune.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Alçay-Alçabéhéty-Sunharette, Etchebar, Larrau et Lichans-Sunhar.

Communes limitrophes de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut[12]
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette Lichans-Sunhar
Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut Etchebar
Larrau

Paysages et relief

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Charritte-de-Haut, vue du village.
Pont sur l'Apoura à Arhan entre Charritte-de-Haut et Alçay.

Hydrographie

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La commune est traversée[13] par des affluents du Saison tels que le ruisseau l'Apoura (18 km) et l'Harbelzetako erreka. Le ruisseau Erbeiché, affluent de l'Uthurrotche erreka qui se jette plus loin dans le Saison, arrose également la commune. De même, le ruisseau Idigorria, affluent du ruisseau Etchélu qui alimente également le Saison, coule sur le territoire de la commune.

Église Saint-Étienne de Lacarry.
Cimetière de Lacarry, stèles discoïdales.
L'église de Charritte-le-Haut, son clocher-mur trinitaire.
Chœur de l'église de Charritte-le-Haut.
Cimetière de Charritte-le-Haut, stèles discoïdales.
L'église d'Arhan.

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 537 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licq-Athérey à 4 km à vol d'oiseau[17], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 528,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[22],[Carte 1] :

  • les « montagnes du pic des Escaliers », d'une superficie de 8 600 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[23] ;
  • « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[24] ;

et une au titre de la « directive Oiseaux »[22],[Carte 2] :

  • la « Haute Soule : forêt d'Iraty, Orgambidexka et Pic des Escaliers », d'une superficie de 5 584 ha, un massif très vaste à très grande diversité d'habitats et d'espèces. La varité des milieux et l'étagement altitudinal offre de bonnes conditions pour l'accueil de l'avifaune pyrénéenne[25].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : les « hêtraies et landes de la confluence des gaves de Larrau et de Saint-Engrace » (5 156,66 ha), couvrant 7 communes du département[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[26],[Carte 4] : la « Haute-Soule » (26 095,69 ha), couvrant 9 communes du département[28].

Au , Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[29]. Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[30],[31].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,1 %), prairies (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits et hameaux

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Sept quartiers composent la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut[33] :

Lacarry
  • Kharrika ;
  • Gañeko etxauak ;
  • Mairhüle (Mayrule sur les cartes IGN).
Arhan
  • Arhane (Arhan en français).
Charrite-de-Haut

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Aphura. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1992, 2009 et 2014[36],[34].

Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[37]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[38],[39].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 89,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[41].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[42].

Attestations anciennes

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Le toponyme Lacarry apparaît sous les formes Lachari (1178[43], collection Duchesne volume CXIV[44]), Lacarri (1475[43], contrats d'Ohix[45]) et Laccarri (1520[43], coutume de Soule[46]).

Le toponyme Charritte-de-Haut apparaît sous les formes Sarrite, Xarrite dessus Ausset-Suson en 1471[43] (contrats d'Ohix[45]), et Charrite (1801[47], Bulletin des Lois).

Graphie basque

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Son nom basque actuel est Lakarri-Arhane-Sarrikotagaine[1].

Le , les trois villages d'Arhan, de Charritte-de-Haut et de Lacarry sont fusionnés.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2020 Dominique Boscq UDF[48]  
2020 En cours Dorothée Nabarra    

Intercommunalité

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La commune fait partie de sept structures intercommunales[49] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le SIGOM ;
  • le SIVOM du canton de Tardets ;
  • le SIVU chargé du tourisme en Haute-Soule et Barétous ;
  • le syndicat AEP du Pays de Soule ;
  • le syndicat d'assainissement du Pays de Soule ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].

En 2021, la commune comptait 125 habitants[Note 8], en évolution de −1,57 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
305321322335636700663626635
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
636621598590583561561570540
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
521528575465459463471420341
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
287233175136127124128128127
2017 2021 - - - - - - -
130125-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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Patrimoine religieux

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L'église Saint-Étienne[54], située à Lacarry, date de la fin du XVIIIe siècle. Un clocher lui a été ajouté, et elle a été modifiée dans la deuxième moitié du XIXe siècle.

Équipements

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Fronton à Lacarry.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  2. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  12. Carte IGN sous Géoportail
  13. Fiche du Sandre sur la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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Articles connexes

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Liens externes

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