Lamarque (Gironde)

Lamarque
Lamarque (Gironde)
La Gironde.
Blason de Lamarque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Lesparre-Médoc
Intercommunalité Communauté de communes Médoc Estuaire
Maire
Mandat
Dominique Saint-Martin
2020-2026
Code postal 33460
Code commune 33220
Démographie
Gentilé Lamarquais / Lamarquaise
Population
municipale
1 337 hab. (2021 en évolution de +3,89 % par rapport à 2015)
Densité 150 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 49″ nord, 0° 43′ 00″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 19 m
Superficie 8,91 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Médoc
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Lamarque
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Lamarque
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Lamarque
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Lamarque
Liens
Site web www.lamarque-gironde.fr

Lamarque est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine) au sud du Médoc.

Géographie

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Localisation

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L'embarcadère du bac de Blaye.

Commune du Médoc située dans l'aire d'attraction de Bordeaux sur la rive gauche de l'estuaire de la Gironde, face à Blaye avec qui elle est reliée par un bac.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Cussac-Fort-Médoc, Arcins, Blaye, Listrac-Médoc, Moulis-en-Médoc et Plassac.

Communes limitrophes de Lamarque
Cussac-Fort-Médoc Blaye
Listrac-Médoc Lamarque Plassac
Moulis-en-Médoc Arcins

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Littoral charentais et aquitain, caractérisée par une pluviométrie élevée en automne et en hiver, un bon ensoleillement, des hiver doux (6,5 °C), soumis à la brise de mer[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 927 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pauillac à 11,73 km à vol d'oiseau[4], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Lamarque est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (70,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (35,1 %), prairies (27,4 %), eaux maritimes (11,4 %), forêts (11 %), zones urbanisées (7,4 %), eaux continentales[Note 2] (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), terres arables (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lamarque est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par submersion marine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamarque.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 86,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 544 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 544 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques

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La commune étant située totalement dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire du Blayais, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 3]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 4],[18],[19].

Du germanique Marka, « frontière », traduit en latin médiéval en marca ou marchala, frontière entre deux peuples gaulois.

Le nom de Lamarque vient du mot médiéval marche, signifiant frontière ; le mot marche s'est ensuite transformé en marque.

L'histoire de Lamarque est fortement liée à celle de son château.

La seigneurie de Lamarque existe au moins depuis le XIIIe siècle. On peut penser que la construction du château est à mettre en relation avec la présence de la rivière. Il devait servir à empêcher les navires ennemis ou pirates de remonter la Gironde, au même titre que le château de Castillon, sur la commune de Saint-Christoly-de-Médoc.

Au fil des siècles, la seigneurie de Lamarque a appartenu aux sires de Castillon, au duc Glocester et à la famille de Candale pendant la guerre de cent ans. En 1591, elle est aux mains du maréchal de Matignon, gourverneur de Guyane, puis elle passe successivement au duc d'Épernon, aux Foix-Candale, et à la famille de Brassier. Le château est vendu comme bien national pendant la Révolution, et après avoir appartenu à divers propriétaires, il est acheté par le comte de Fumel en 1841.

En 1901, Élisabeth de Fumel épouse le marquis d'Évry dont les descendants possèdent toujours le château. La fille d'Élisabeth de Fumel, Marie-Louise Brunet d’Évry fonde avec son mari le préfet Gromand, la société Gromand d'Évry qui exploite aujourd'hui le domaine viticole.

Le château est situé en bordure d'un marais desséché, parcouru par une jalle qui se jette dans la Gironde près du port. Il se compose de deux parties : le château lui-même construit sur ce qui restait d'une forteresse du XIe siècle et une vaste basse cour au nord, à l'intérieur d'une enceinte fortifiée. Le tout était entouré autrefois de fossés, dont il ne reste que de faibles traces à l'ouest.

L'essentiel date du XIVe siècle et a été construit par Pons de Castillon. Il est alors doté d'un donjon circulaire à l'extérieur, octogonal à l'intérieur. Accolée au donjon, une tour abrite une chapelle double. La chapelle basse se compose d'une nef unique et d'une abside romane du XIIe siècle, les voûtes ont été refaites au XVIIIe siècle. La chapelle haute donne sur le premier étage et présente à peu près le même aspect que la chapelle basse.

Le château a été remanié au XVIIIe siècle par le duc d'Éprenon qui agrandit les fenêtres, fit poser des balcons et voûter les salles basses. Il construisit la tour carrée aménagée en escalier d'honneur. Au XIXe siècle, d'autres modifications lui ont donné son aspect actuel.

Moyens de communication, liaisons maritimes et ferroviaires

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Commune estuarienne, Lamarque bénéficie de sa position sur les bords de la Gironde, mais en même temps, la rivière est un handicap pour les relations entre les deux rives.

Si, à la différence de Pauillac ou de Saint-Estèphe, le port n'a pas connu une grande activité maritime, il a en revanche assuré un certain trafic entre Blaye, les îles et la rive médocaine. De temps immémorial, des gabarres ou des yoles font transiter les marchandises (bois et vin du Médoc, céréales des Charentes) et les passagers qui se rendent aux foires de Blaye pour la Sainte-Catherine () et de Lamarque pour la Saint-Barthélemy, patron de la paroisse (le ). Le trafic bien que faible faisait vivre des bouviers. Des pêcheurs alimentaient aussi le marché local de leurs prises.

En 1878, alors que la voie ferrée Bordeaux-Le Verdon vient d'être achevée, le conseil général, considérant que cette voie n'a aucun accès à la Gironde, émet le vœu qu'un enbranchement ferroviaire de 4,9 km partant de la gare de Moulis relie la Gironde à un point situé entre le fort Médoc et le port de Lamarque. La compagnie du Médoc qui serait chargée de la construction et de l'exploitation de cette ligne, aurait à établir une communication permanente par bateau à vapeur avec la gare de chemin de fer de l'État établi au port de Blaye.

Pourquoi une telle ligne ? D'abord pour des raisons économiques : développer le commerce entre les deux rives. Ensuite pour des raisons stratégiques en reliant le fort Médoc avec les forts Blaye, Paté et pointe de Grave. Il s'agit aussi d'attirer en Médoc une clientèle potentielle tant pour le vin que pour les stations balnéaires qui viennent de se créer et de permettre aux Médocains de gagner la France du nord sans avoir à passer par Bordeaux.

En 1889, les travaux d'infrastructures sont terminés. On a construit trois maisons de gardes aux principaux passages à niveau, une halte à la limite des communes de Cussac et de Lamarque, la gare maritime en bordure de la Gironde et le débarcadère. Reste à poser les rails.

En 1896, la situation est bloquée pour des raisons administratives : l'administration ne donne pas l'autorisation d'utiliser le débarcadère parce que la voie ferrée n'est pas achevée et la voie ferrée n'est pas achevée parce qu'on ne peut pas utiliser le débarcadère. De plus un rapport d'un ingénieur des Ponts et Chaussées indique que « si la ligne est restée inachevée, cela tient à ce que tout le monde doute qu'elle puisse avoir un trafic quelconque... »

Le projet de la liaison par bac

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Il existait un service régulier entre Bordeaux, Blaye et Pauillac assuré par la Compagnie Bordeaux Océan, réservé aux seuls passagers. Elle consent à faire escale à Lamarque en 1902 à titre d'essai, jusqu'en 1915, date à laquelle l'escale est supprimée.

En 1912, pour développer l'économie du Médoc, Benjamin Renouil, maire de Cussac, lance l'idée de mettre en place un bac à vapeur entre Blaye et Lamarque et propose de terminer la voie ferrée Lamarque-Moulis. En 1913, le conseil général adopte le projet d'un bac à vapeur et à roue mais la guerre qui éclate en 1914 interrompt sa mise en œuvre.

En 1915, un marin blayais accepte de faire un service régulier chaque jour entre Blaye et Pauillac avec escale à Saint-Julien et Lamarque, à l'exclusion des charrettes ou voitures, ce qui limite les possibilités d'échange.

Il faut attendre 1926 pour qu'un véritable débat s'ouvre au conseil général et 1932 pour que le projet définitif soit adopté. L'exploitation en est confiée à un entrepreneur privé qui reçoit chaque année une subvention du conseil général. En contrepartie, il doit respecter un cahier des charges très précis.

La première traversée du bac baptisé « les deux rives » a lieu le jeudi . Il aura fallu plus de 40 ans pour que se réalise la liaison trans-Gironde.

Héraldique

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Blason de Lamarque Blason
D’azur au chevron d’or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Mairie de Larmarque.
Caussan
Période Identité Étiquette Qualité
Mars 1947 mars 1977 Georges Tual   Retraité
mars 1983 mars 1989 André Caussan DVD Retraité
mars 1989 En cours Dominique Saint-Martin   Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Le monument aux morts.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

En 2021, la commune comptait 1 337 habitants[Note 5], en évolution de +3,89 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
755653716763795802840873912
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9408869481 0001 1071 1581 0521 1081 127
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0921 105922712731664627614614
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
6367427718108939541 0771 0741 154
2014 2019 2021 - - - - - -
1 2711 3231 337------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Statue à l'entrée du château de Lamarque.
L'église.
  • Le château de Lamarque est un château fort dont les soubassements, une partie des défenses et la chapelle datent des XIe et XIIe siècles. Autour de la forteresse primitive, Pons de Castillon construisit, au XIVe siècle, le château tel qu’on le voit aujourd’hui avec donjon, tour de défense, poterne, chemin de ronde et murs crénelés. Le duc de Glocester et Henri V y séjournèrent pendant le temps où l’Aquitaine releva de la couronne d’Angleterre. Lorsque cette province revint au roi de France en 1453, le château de Lamarque fut la résidence de plusieurs gouverneurs de Guyenne et notamment du maréchal de Matignon. Au XVIIe siècle, le Duc d’Epernon y apporta quelques transformations du goût de son époque, monsieur de Brassier en fut le dernier propriétaire avant la Révolution. Une fois les troubles de la révolution passés, le château de Lamarque va développer son activité viticole. De sa fonction militaire, le château de Lamarque, se transforma en château viticole.
  • L'Église Saint-Seurin date du XIXe siècle. Son clocher est couronné d'un dôme, accessible par un escalier remarquable, qui offre un point de vue panoramique exceptionnel sur le Médoc. Les visites de l'église et du dôme sont assurées par une association de bénévoles qui œuvre à la restauration du monument. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[24].
  • Le port de Lamarque permet d'établir la liaison avec la commune de Blaye, sur l'autre rive de la Gironde.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  4. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Lamarque et Pauillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pauillac » (commune de Pauillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pauillac » (commune de Pauillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Lamarque ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lamarque », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lamarque », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « Eglise paroissiale Saint-Seurin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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