Laval-Pradel | |||||
Église du sanctuaire Notre-Dame de Laval. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Alès | ||||
Intercommunalité | Alès Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Joseph Barba 2020-2026 |
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Code postal | 30110 | ||||
Code commune | 30142 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pradéliens, lavaliens, masdivins | ||||
Population municipale |
1 096 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 62 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 12′ 27″ nord, 4° 03′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 165 m |
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Superficie | 17,68 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Alès (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Grand-Combe | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Gard
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Laval-Pradel est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gardon d'Alès, l'Avène, le ruisseau Blanc et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Laval-Pradel est une commune rurale qui compte 1 096 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Pradeliens ou Pradeliennes.
À 15 km au nord d’Alès et après avoir dépassé Saint-Martin-de-Valgalgues, sur les premiers contreforts des Cévennes, Laval-Pradel s’étire le long de la RD 906 (ex-RN 106). Cette commune comporte trois villages et plusieurs hameaux :
Les communes limitrophes sont La Grand-Combe, Le Martinet, Portes, Saint-Florent-sur-Auzonnet, Saint-Julien-les-Rosiers, Saint-Martin-de-Valgalgues et Les Salles-du-Gardon.
Le village est bâti le long de la grand rue et l'entrée peut s'y faire par quatre routes. Les habitants du village utilisent la route du « marronnier », en venant d'Alès. La deuxième route, balisée depuis la Nationale conduit par une route surplombant un ravin vers les faubourgs nord du village. Vu des airs le Mas-Dieu semble perché sur la colline. Un autre chemin au sud, permet de découvrir une zone résidentielle récente et en expansion, le nouveau poumon démographique du village. Enfin, la route de La Grand-Combe qui traverse Laval, Malbosc et Cassagnettes avant de rejoindre la zone dite du faubourg. Il est à noter que cette zone autrefois fort passante à beaucoup souffert de la fermeture de l'ancienne route reliant le Mas-Dieu au Pradel. Le tronçon de route fermée d'environ deux kilomètres est aujourd'hui le terrain de jeu des enfants et des adolescents à bicyclette ou à cyclomoteur.
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 275 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Grand-Combe à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 414,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 1] sont recensées sur la commune[7] : le « Gardon d'Alès à la Grand-Combe » (179 ha), couvrant 8 communes dont 7 dans le Gard et 1 dans la Lozère[8], et la « montagne du Rouvergue et vallée de l'Avène » (1 329 ha), couvrant 4 communes du département[9].
Au , Laval-Pradel est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), zones urbanisées (6,3 %), mines, décharges et chantiers (5,9 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Laval-Pradel est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gardon d'Alès et l'Avène. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1995, 2002, 2008, 2014 et 2015[13],[11].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[14]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 42,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 517 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 209 sont en aléa moyen ou fort, soit 40 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe A[Note 3] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[19].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Laval-Pradel est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].
Laval constitue une étape de la Régordane.
Saint Andéol de Touillas et le château de Trouillas[21]
Fort d'une autorisation royale incitant à la recherche de charbon, Pierre François Tubeuf obtient l'autorisation d'exploiter toutes les mines aux alentours d Alès : les nombreux petits exploitants sont alors obligés de céder leurs mines. Mais, sous l'impulsion de Castries, Tubeuf rencontrant une certaine résistance, un combat eut lieu : Jacques Delezon, de Cadacut, Antoine Favède et Jean Soustelle, le , s'opposèrent à Tubeuf, qui, aura, un œil crevé. Castries l'emporte sur Tubeuf qui, dans un arrêt du 29/12/1786, est dépossédé des mines de St Andéol de Trouillas au profit de Castries. Tubeuf abandonne les Cévennes et, en , il est assassiné par des indiens en Amérique où il avait décidé de tenter sa chance.
Les Camisards
La catastrophe du Pontil au Puits du Castelnau
Blason | D'azur à la fasce losangée d'argent et de sinople. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Le , le roi Charles X signait l'ordonnance dans l'article 2 : « Les communes de Saint Andéol-de-Trouillas et du Mas-Dieu et la partie de Laval sont réunis, ayant Laval pour chef-lieu. » La commune a gardé le nom de « Laval » jusqu'au XXe siècle.
C'est par un décret du qu'elle est devenue Laval-Pradel.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2021, la commune comptait 1 096 habitants[Note 4], en évolution de −5,52 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 505 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 1 097 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 800 €[I 5] (20 020 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 7] | 9,9 % | 11 % | 10,1 % |
Département[I 8] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 729 personnes, parmi lesquelles on compte 72,4 % d'actifs (62,2 % ayant un emploi et 10,1 % de chômeurs) et 27,6 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 140 emplois en 2018, contre 158 en 2013 et 136 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 457, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,6 %[I 11].
Sur ces 457 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 83 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 96 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 1,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
60 établissements[Note 7] sont implantés à Laval-Pradel au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 60 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
9 | 15 % | (7,9 %) |
Construction | 17 | 28,3 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
12 | 20 % | (30 %) |
Information et communication | 1 | 1,7 % | (2,2 %) |
Activités immobilières | 1 | 1,7 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
7 | 11,7 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
3 | 5 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 10 | 16,7 % | (8,8 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,3 % du nombre total d'établissements de la commune (17 sur les 60 entreprises implantées à Laval-Pradel), contre 15,5 % au niveau départemental[I 15].
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[27] :
La commune de Laval-Pradel a longtemps vécu grâce à l'exploitation du charbon. De nos jours, cette commune est de nouveau en expansion démographique. L'école maternelle fait partie du regroupement pédagogique intercommunal (RPI), entre les communes de Laval-Pradel et de Portes
La commune dispose de nombreux commerces (boulangeries, restaurants, cafés, épiceries, artisans, chambres d'hôtes, gîtes, etc.).
En gestation :
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 6 | 7 | 4 | 3 |
SAU[Note 9] (ha) | 64 | 63 | 208 | 32 |
La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[28]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (six en 1988). La superficie agricole utilisée est de 32 ha[30],[Carte 5],[Carte 6].
La commune est très forestière et s'étend sur de nombreuses collines et vallons. D'innombrables routes et chemins forestiers quadrillent la commune offrant des dizaines de kilomètres de promenades à pied, à VTT ou de sentiers de chasse. Sur ces chemins, on trouvera çà et là des mas abandonnés ou réhabilités récemment. Ces mas ont pendant la Seconde Guerre mondiale abrité de nombreux résistants et maquisards, alimentés par les gens des villages et des hameaux. On retrouve sur cette commune et notamment au Mas-Dieu les traces très visibles d'une agriculture en terrasses (dites faïsses) qui témoigne que ces collines, malgré leur apparence sauvage, ont été sculptées par l'homme depuis des siècles.
Le Pradel : L'église du Pradel se trouve face à une immense prairie disposant d'un espace de détente et de promenade. Le village a son stade de foot (récemment rénové) avec son court de tennis. Sur la place du village il y a la "Place du Jeu de Paume", une bibliothèque communautaire (Joachim-Durand). Le village dispose d'un école élémentaire et maternelle.
Saint Andéol : le berceau de la commune de Laval-Pradel.
Le projet « village cévenol[32] était un projet autour d'une base de loisirs autour des « 3 lacs » de Mercoirol-Laval piloté par la Ville D'Alès. En ce début de , les prémices de futurs travaux avaient pourtant lieu : création d'un parking au magnifique lac de Laval avec la création d'un chemin de promenade longeant la rive gauche.
Lors du lancement de la campagne « ALES avec un A comme Audauce »[33] le , ce projet de base de loisirs était présenté comme « l'un des grands projets de la ville d ALES ». La présentation du projet évoquait "la réhabilitation d’un ancien site des houillères de 250 hectares, riche de 3 lacs naturels de qualité exceptionnelle avec l'aménagement d’une base de loisirs nautiques comprenant un hébergement de qualité respectueux des Cévennes. Ce projet changerait donc pour un projet dédié aux sports mécaniques (quad, cross, jet-ski, spécial enduro): projet bien loin de ce qui était prévu notamment dans le respect de l'environnement. L'acquisition des terrains par la ville d'Alès est terminée.
Découverte majeure d'un gisement à tronc de fossiles Stéphanie recensé par l'inventaire patrimonial régional du Languedoc-Roussillon qui note son "grand intérêt historique et patrimonial".
Deux écoles (élémentaire et maternelle) accueillent les enfants. Un ramassage scolaire et une cantine sont à leur disposition. Une bibliothèque intercommunale, des clubs sportifs, un club de troisième âge dynamisent la vie quotidienne. Des projets tournés vers le tourisme vert abandonné (projet autour des lacs de Laval et de l'Antoinette, projet d'une base de loisir « mercoirol » sur 250 hectares, prévoyant hébergement et diverses activités ludiques autour de l'eau laissant place à des pistes de sports mécaniques.
La minéralogie de la commune est très riche, notamment du côté de Laval.
Laval et son cimetière ont servi de lieu de tournage du film Suzanne de Katell Quillévéré[35].