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Jean-Claude Drouot joue la fiction avec sa propre famille, femme et enfants.
Lors de sa sortie en 1965, ce film fut le sujet dans la presse d'un scandale motivé par son thème qui évoquait sans jugement moral l'adultère, celui-ci n'étant pas ressenti comme une faute par le protagoniste. Le film fut même pour cette raison interdit aux moins de 18 ans[1],[2].
Les thèmes musicaux principaux du film viennent de deux œuvres de Mozart : l'allegro du Quintette pour clarinette en la majeur K 581, puis la fugue de l'Adagio et fugue en ut mineur K 546[2]. Agnès Varda a justifié son choix en déclarant avoir voulu représenter « une certaine idée du bonheur, comme la musique séduisante de Mozart qui pourtant pince le cœur[3] ».