Le Boullay-Mivoye

Le Boullay-Mivoye
Le Boullay-Mivoye
Église et rue Saint-Rémy
Au premier plan, le socle de l'ancienne éolienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Stéphane Huet
2020-2026
Code postal 28210
Code commune 28054
Démographie
Gentilé Bétulois
Population
municipale
514 hab. (2021 en évolution de +9,36 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 38′ 53″ nord, 1° 24′ 20″ est
Altitude Min. 115 m
Max. 162 m
Superficie 10,92 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dreux-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Le Boullay-Mivoye
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Le Boullay-Mivoye

Le Boullay-Mivoye est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Position du Boullay-Mivoye (en rose) dans l'arrondissement de Dreux (en vert) du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Position du Boullay-Mivoye (en rose) dans l'arrondissement de Dreux (en vert) du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Carte de la commune du Boullay-Mivoye et des communes limitrophes
Carte

Communes limitrophes

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Communes limitrophes du Boullay-Mivoye
Marville-Moutiers-Brûlé Charpont Villemeux-sur-Eure
Marville-Moutiers-Brûlé Boullay-Mivoye Le Boullay-Thierry
Puiseux Tremblay-les-Villages Le Boullay-Thierry

Hameaux et écarts

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  • Fonville, sur la D 308 en direction de Charpont, est une ancienne seigneurie. S'y trouve une ancienne chapelle nommée Saint-Nicolas, vendue en 1793 et convertie en grange. En 1218, Fonville appartenait à l’abbaye Notre-Dame de Coulombs[1] ;
  • L'ancien hameau de Saint-Lôt, au nord de la commune en limite de Marville-Moutiers-Brûlé.

Transports et voies de communications

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Réseau routier

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La commune du Boullay-Mivoye était autrefois traversée par la route nationale 154. Cette route est aujourd'hui déviée pour limiter le bruit et la circulation dans le village.

C'est à cette ancienne route romaine reliant Rouen et Orléans qu'elle doit la seconde partie de son nom, "Mivoye", c'est-à-dire à mi-chemin entre les deux villes.

Desserte ferroviaire

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La gare la plus proche est la gare de Dreux, distante de 10 km.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 632 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marville_sapc », sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 571,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Le Boullay-Mivoye est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,7 %), zones urbanisées (2,7 %), forêts (2,6 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune duBoullay-Mivoye est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1987 et 1999[13],[11].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux duBoullay-Mivoye.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[14]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[15].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 50,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 214 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 156 sont en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[11].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].

La première apparition du toponyme "Boullay" date du IXe siècle dans un inventaire des domaines de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés (le Polyptyque d'Irminon). La dichotomie entre Le Boullay-Mivoye et Le Boullay-Thierry date du XIIe ou XIIIe siècle.

Boullay de l'ancien français boul « bouleau » suivi du suffixe d'ancien français -ay servant à désigner un ensemble d'arbre appartenant à la même espèce, d'où le sens global de « lieu planté de bouleaux »[18].

La seconde partie du nom Mivoye vient de sa position approximative à mi-chemin de la route entre Rouen et Orléans.

Il existe des traces anciennes de présence humaine sur le territoire comme la Pierre-Fixte, divers restes de fermes gauloises ou gallo-romaines.

Le hameau de Fonville fut à l'origine le "domaine d'Offun" ou Offoni Villa au VIIIe siècle, puis Offounvilla au XIIIe siècle et enfin Auffonville au XVIIIe siècle.

Au cours de la Révolution française, la commune a failli porter le nom de Boullay-Brutus[19].

Politique et administration

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Élections municipales

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Depuis 2014, la population de référence étant inférieure à 500 habitants, le conseil municipal comporte 11 sièges.

Le scrutin du pourvoit ces onze sièges, dans l'attente du premier conseil municipal élisant le maire[20].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1944 1948 Henri Mabeau    
1948 1953 René Rousseau    
1953 1989 Jean Labiche    
1989 2014 Christian Mary    
mars 2014 En cours Stéphane Huet[21],[22]   Artisan

Politique environnementale

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Équipements et services publics

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  • Salle polyvalente pour 120 personnes ;

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 514 habitants[Note 2], en évolution de +9,36 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
371404390341320316368351372
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
356345370353342343331330300
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
286296266238264276274253240
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
223233266347353344385407433
2014 2019 2021 - - - - - -
460504514------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Agriculture.

Culture locale et patrimoine

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Église Saint-Rémi

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L'église, construite aux XVe et XVIe siècles[1], possède notamment 9 baies ornées des vitraux de Gabriel et Jacques Loire, son fils[27].

Autres lieux et monuments

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  • La Pierre-Fixte ou Pierre-Frite : un mégalithe préhistorique aujourd'hui enterré ;
  • Le château d’eau, construit en 1902 ;
  • Le monument aux morts, situé dans le cimetière ;
  • La mare, rue de la Mairie ;
  • La Ferme fortifiée ;
  • D’anciennes marnières, situées entre le village et le hameau.

Cartes postales anciennes

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Personnalités liées à la commune

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  • Maurice Clavel (1920-1979) qui, dans Le temps de Chartres, fait le récit de ses entretiens avec Jérôme et Délia, dans la salle d'école de la commune, pour préparer le sabotage de la ligne de Chartres à Dreux[28]. Peut-être cette évocation est-elle en relation avec l'évènement ayant marqué l'histoire de la commune, mentionné par Christian Mary, maire de 1989 à 2014 : l'arrestation et la torture par les Allemands le 13 août 1944 de l'instituteur Maurice Gledel à l'âge de 21 ans[29].
  • Louis Gardel (né en 1939), écrivain, possédait une résidence secondaire au Boullay-Mivoye. Son célèbre roman Fort Saganne a été écrit au Boullay-Mivoie[30].

Notes et références

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Notes et cartes

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Communauté d'agglomération du Pays de Dreux, « Le Boullay-Mivoye », sur dreux-agglomeration.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Le Boullay-Mivoye et Marville-Moutiers-Brûlé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Marville_sapc », sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Marville_sapc », sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a b et c « Les risques près de chez moi - commune duBoullay-Mivoye », sur Géorisques (consulté le ).
  12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  13. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  14. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  15. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune duBoullay-Mivoye », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  18. Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Boullay-Mivoye », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  20. Ministère de l'Intérieur, « Résultats par commune - Le Boullay-Mivoye », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Nathalie Loire, « Gabriel Loire : inventaire complet », sur ateliers-loire.fr, (consulté le ).
  28. Maurice Clavel, Le temps de Chartres : roman, René Julliard, , 214 p., p. 161 à 164..
  29. Ahmed Taghza, « Le Boullay-Mivoye sur la voie romaine », L'écho Républicain,‎ , p. 19.
  30. L'Écho Magazine, supplément n°10, 2 juin 1984 : "Le Boullay-Mivoye c'est un petit village entre Chartres et Dreux. C'est là que, voici vingt ans, un jeune fonctionnaire nommé Louis Gardel installa sa petite famille pour les week-ends. Aujourd'hui auteur à succès il n'a pas oublié Le Boullay où il a écrit la majeure partie de ce gros roman."

Bibliographie

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  • Plaquette municipale, article de Jean Labiche maire du Boullay-Mivoie, 1960 ;
  • Denise Laurent et Jacqueline Lemaire, Le Boullay-Mivoie, étude démographique et sociologique, Université Drouaise du Temps Libre, , « Préface de Jean Lelièvre, conservateur honoraire du musée de Dreux », sur perche-gouet.net, (consulté le ).

Articles connexes

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Liens externes

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