La commune du Buisson-de-Cadouin est implantée dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir. Elle est arrosée par la Dordogne.
À l'intersection des routes départementales (RD) 25, 29 et 51E2, la ville du Buisson-de-Cadouin est située, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud du Bugue et treize kilomètres à l'est de Lalinde.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Le Buisson-de-Cadouin est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 807 - Le Bugue » et « no 831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Molasse de l'Agenais sup. à faciès argileux dominant : argiles silteuses carbonatées vertes, noires à blanches à niveaux de sables ou grèsmicacés à rares graviers, quelques bancs de calcaires lacustres localement meuliérisés (Chattien continental)
g1-Cmo :
Calcaire de Monbazillac : calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et argiles carbonatées à nodules calcaires (niveau intercalé séparant les molasses de l'Agenais sup. et inf.) (Rupélien continental)
g1-Cc :
Formation du Calcaire de Castillon s.s. : calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental)
g1-Ac :
Formation de Castillon - Argiles vertes de Castillon (et formation de la Bessède) : argiles carbonatées silteuses à sableuses et sables feldspathiques, localement niveaux de grès tendre, calcaires lacustres (Rupélien basal continental)
Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 43 m et 248 m[6],[7].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 50,37 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 50,16 km2[3].
En rive gauche, quatre de ses affluents baignent la commune :
la Gastouze dans l'est sur plus de sept kilomètres ;
le ruisseau du But sur quatre kilomètres, passant par le bourg du Buisson ;
le ruisseau de Brande à l'est sur deux kilomètres dont 800 mètres en limite de Siorac-en-Périgord ;
le Bélingou à l'ouest sur près de sept kilomètres dont quatre kilomètres en limite de Molières, passant au bourg de Cadouin.
Le ruisseau de Fonfourcade, affluent de rive droite de la Couze, prend sa source dans le sud-ouest et marque sur près de 800 mètres la limite territoriale avec Saint-Avit-Sénieur.
La Salvetat, affluent de rive droite du Ségurel et sous-affluent de la Couze, prend sa source dans le sud-est qu'il baigne sur deux kilomètres dont 500 mètres face à Montferrand-du-Périgord.
La Dordogne au pont de Vic, entre Le Buisson-de-Cadouin (à gauche) et Saint-Chamassy.
Réseaux hydrographique et routier du Buisson-de-Cadouin.
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Dordogne Atlantique ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est également l'EPIDOR[19]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].
Le SAGE Dordogne amont concerne une grande partie nord-est du territoire communal, la zone restante, au sud et au nord-ouest, étant rattachée au SAGE Dordogne Atlantique.
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 860 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 11 km à vol d'oiseau[24], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Le Buisson-de-Cadouin[28],[29]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[30].
Au niveau de sa flore, deux espèces de plantes sont également protégées au niveau national : la Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia) et la Laîche fausse(Carex pseudobrizoides), cette dernière étant considérée comme espèce déterminante[31].
Le Buisson-de-Cadouin fait partie des 102 communes concernées par une autre ZNIEFF de type II: « La Dordogne »[34],[35], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[36].
Au , Le Buisson-de-Cadouin est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[37].
Elle est située hors unité urbaine[38] et hors attraction des villes[39],[40].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (58 %), zones agricoles hétérogènes (24,8 %), prairies (7,5 %), zones urbanisées (3,3 %), terres arables (2,6 %), eaux continentales[Note 4] (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[41]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1993, 1996, 1997, 1999, 2001, 2008 et 2021[44],[42]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Dordogne Centre », couvrant 20 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[45],[46].
Le Buisson-de-Cadouin est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[47]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[48],[49].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Buisson-de-Cadouin.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[50]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[51]. 62 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[52].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2005, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[42].
En 1893, la commune de Cabans prend le nom de Le Buisson.
En 1960, les communes de Cussac et Le Buisson fusionnent sous le nom de Le Buisson-Cussac.
En 1974, les quatre communes de Cadouin, Le Buisson-Cussac, Paleyrac et Urval s'associent sous le nouveau nom de Le Buisson-de-Cadouin.
Urval est rétablie en 1989.
Cadouin et Paleyrac conservent le statut de communes associées et, à ce titre, élisent chacune un maire délégué qui siège obligatoirement au conseil municipal du Buisson-de-Cadouin.
Dès 1790, la commune de Cabans est rattachée au canton de Cadouin qui dépend du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac. Cabans devient Le Buisson en 1893, puis Le Buisson-Cussac en 1960 et enfin Le Buisson-de-Cadouin en 1974[6]. À cette date, le canton change de nom, devenant le canton du Buisson-de-Cadouin.
La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[57],[58].
La commune de Cabans change de nom et devient « Le Buisson » en 1893. Elle devient « Le-Buisson-Cussac » lors de la fusion entre Le Buisson et Cussac en 1960.
Évolution démographique de Cabans, puis Le Buisson, puis Le-Buisson-Cussac
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
952
897
955
901
1 154
1 143
1 126
1 157
Évolution démographique de Cabans, puis Le Buisson, puis Le-Buisson-Cussac, suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1 249
1 265
1 314
1 203
1 162
1 137
1 209
1 258
Évolution démographique de Cabans, puis Le Buisson, puis Le-Buisson-Cussac, suite (2)
1891
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1 256
1 219
1 312
1 275
1 296
1 374
1 446
1 406
Évolution démographique de Cabans, puis Le Buisson, puis Le-Buisson-Cussac, suite (3)
Le , Le Buisson-Cussac devient « Le Buisson-de-Cadouin » lorsqu'elle s'associe à trois autres communes : Cadouin, Paleyrac et Urval, cette dernière reprenant son autonomie en 1989.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[67].
En 2022, la commune comptait 1 954 habitants[Note 8], en évolution de −0,41 % par rapport à 2016 (Dordogne : +0,37 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
La Grappe de Cyrano est une épreuve d’enduro de niveau international sur deux jours. Elle part d'une ville du Bergeracois ou du Périgord noir et y revient, se tenant depuis 1987 chaque année, en mars, avril ou mai[69]. Le Buisson-de-Cadouin a notamment servi de point de départ et d'arrivée en 2019[70] et 2023[71].
En 2015[72], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 793 personnes, soit 39,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (141) a augmenté par rapport à 2010 (119) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,7 %.
Au , la commune compte 271 établissements[73], dont 169 au niveau des commerces, transports ou services, 37 dans la construction, 31 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 18 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et 16 dans l'industrie[74].
Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, l'« Entreprise Guy » (travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment) située au Buisson-de-Cadouin se classe en 46e position quant au chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016, avec 2 552 k€[75].
Les grottes de Maxange, ouvertes au public, offrent de remarquables concrétions excentriques.
La grotte de Cussac, ornée de nombreuses gravures du Paléolithique supérieur, non ouverte au public, est classée au titre des monuments historiques en 2002[78]. Deux reconstitutions du « panneau de la découverte » orné de nombreuses gravures et de la bauge où a été trouvé un squelette ont été réalisées par l'Atelier des fac-similés du Périgord et sont exposées au Buisson-de-Cadouin[79],[80].
Le Jardin de Planbuisson, plus grande collection européenne de bambous et de graminées.
La ville du Buisson possède le cinéma rural « Le Lux », avec le plus d'entrées en France.
L'abbaye de Cadouin — et son église abbatiale Notre-Dame-de-la-Nativité — ancienne abbaye cistercienne en partie classée (en 1840, 1898 et 1976) et en partie inscrite (en 1927 et 1984) au titre des monuments historiques[81].
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Paleyrac[88].
L'église Saint-Pierre-ès-Liens du Buisson a été construite, entre 1873 et 1877, dans le style néogothique par l’architecte bordelais Jean-Jacques Valleton (1841-1916). Le clocher a été terminé en 1888[89]. C’est le maître verrier Jean Besseyrias qui a réalisé le projet des vitraux, avec l’accord du curé Purrey de l’époque.
Les bâtiments conventuels de l'abbaye de Cadouin.
La façade de l'abbatiale Notre-Dame-de-la-Nativité de Cadouin.
L'église Saint-Barthélémy de Salles.
L'église Saint-Pierre-ès-Liens de Cabans.
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Paleyrac.
Le clocher de l'église Saint-Pierre-ès-Liens du Buisson.
aux 1 et 4, d'azur à une roue d'or accompagnée en pointe d'une rivière d'argent, qui est de Le Buisson-Cussac ;
au 2, d'argent au cognassier arraché de sinople, qui est de Cadouin ;
au 3, d'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre pals d'or, à la bordure de gueules chargée de dix besants d'or, qui est de Paleyrac.
Détails
Les armoiries ont été actualisées à la suite du départ de la commune d'Urval en 1989 Armoiries réalisées pour la mairie par J.R. Bousquet (cf. courrier)
De 1974 à 1989
Blason
Écartelé :
au 1, d'azur à un aviron d'or posé en barre la pelle vers la pointe, soutenu par une rivière d'argent, qui est de Le Buisson-Cussac ;
au 2, d'argent au cognassier terrassé de sinople fruité d'or, accosté de deux fleurs de lis de même, qui est de Cadouin ;
au 3, d'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre pals d'or, à la bordure cousue de gueules chargée de dix besants d'or, qui est de Paleyrac ;
au 4, d'azur à un ours passant d'or sur une terrasse de gueules surmonté d'un croissant d'argent, qui est d'Urval.
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
↑Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le Boule, affluent de rive droite de la Dordogne, n'arrose pas la commune du Buisson-de-Cadouin située en rive gauche à leur confluence.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[53].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de localisation de la ZNIEFF 720000930, INPN, consulté le 16 septembre 2020. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
↑Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑ a et bAbbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p. 166.
↑Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p. 167.