Le Guédeniau

Le Guédeniau
Le Guédeniau
Blason de Le Guédeniau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Canton Baugé
Commune Baugé-en-Anjou
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Jean-Marie Rousteau
2020-2026
Code postal 49150
Code commune 49157
Démographie
Gentilé Guédaniellissois
Population 357 hab. (2013)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 29′ 43″ nord, 0° 02′ 46″ ouest
Altitude 55 m
Min. 48 m
Max. 102 m
Superficie 18,1 km2
Historique
Fusion 1er janvier 2016
Commune(s) d'intégration Baugé-en-Anjou
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Guédeniau
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Guédeniau
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Maine-et-Loire
Le Guédeniau
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Voir sur la carte administrative de Maine-et-Loire
Le Guédeniau

Le Guédeniau est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou[1].

Le , Le Guédéniau est devenu Le Guédeniau[2].

Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, au sud-est de la ville de Baugé.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Ce village angevin de l'ouest de la France se situe dans le Baugeois, au sud-est de Baugé, sur la route D 58 qui va du Mouliherne à Baugé[3].

Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Il est délimité au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[4].

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 48 à 102 mètres[5], pour une altitude moyenne de 75 mètres, et s'étend sur plus de 18 km2 (1 810 hectares)[5], composée de 571 ha sur la forêt de Chandelais, 660 ha de bois privés, 550 ha de terres en culture, et 29 ha occupés par les habitations, routes et chemins[6].

Son territoire se situe sur l'unité paysagère du plateau du Baugeois[7]. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[8], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

Une partie de la commune comporte des Zones naturelles d'intérêt écologique, floristique et faunistique, pour la forêt de Chandelais, la cavité souterraine de Chanzelles, la partie nord de la forêt de Monnaie, et le bois au Moine, bois de Bel Air et boisements proches[9].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le village est traversé par le ruisseau Le Brocard, qui prend sa source à 1,5 km au nord ; ruisseau connu au Moyen Âge sous le nom de Bray[6].

Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, du fait de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[8].

Aux alentours

[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches sont Bocé (3 km), La Lande-Chasles (3 km), Cuon (4 km), Mouliherne (6 km), Pontigné (6 km), Chartrené (6 km), Lasse (6 km), Le Vieil-Baugé (7 km), Baugé (7 km) et Saint-Martin-d'Arcé (7 km)[10].

Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2009 on trouvait 209 logements sur la commune du Guédeniau, dont 68 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 77 % des ménages en étaient propriétaires[11]. En 2013, on y trouvait 222 logements, dont 68 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 77 % des ménages en étaient propriétaires[12].

Toponymie et héraldique

[modifier | modifier le code]

Étymologie

[modifier | modifier le code]

Un passage à gué est à l’origine du nom de la commune[13]. C’est vers l’an mil que l'on retrouve les premières traces du village ; vers 1060/1080 sous le nom de Vadum puis plus tard sous le nom de Daniels de Vado, au XIIIe siècle Vadum Danielis et beaucoup plus tard Gué de Daniel. C’est vers 1700 que semble être utilisé le plus couramment Le Gué de Niau[6], pour devenir Le Guedeniaud à la fin du XVIIIe siècle, Legué-de-Nieau au début du XIXe siècle, pour devenir ensuite Le Guédéniau[14] puis Le Guédeniau[15].

On note l'existence d'une graphie antérieure à celle d'aujourd'hui, dans laquelle l'unique accent se trouve sur le second « e » du mot « Guédéniau » : « Le Guedéniau »[16] et Le Guédéniau.
Le , le Premier ministre autorise le changement de nom de la commune : Le Guédeniau devient le nom officiel de la commune[17].

Ses habitants sont appelés les Guédaniellissois[6].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Guédeniau (Le) Blason
De sinople à la fasce ondée d'argent chargée d'un brocard (chevreuil d'un an) de sable, accompagnée en chef à dextre d'un treuil et sa chaîne d'argent, en chef à senestre d'un fer de moulin du même et en pointe d'un rameau de chêne d'or.
Détails
Le blason est créé en 1991, le ruisseau le Brocard est représenté au milieu, le brocard désignant le chevreuil d’un an. Le fer du moulin symbolise le moulin à eau que possédait le seigneur Daniel, le treuil et sa chaîne correspondent au lavoir. Quant au rameau de chêne, il situe la commune en bordure des forêts de Chandelais et de Maunaie.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Préhistoire

[modifier | modifier le code]

Présence de vestiges d'une occupation préhistorique : une hache en pierre polie, menhir dit La Pierre de Guédéniau[18].

En 1083, un prieuré y est fondé[19], dont il ne subsiste aujourd'hui que deux logis du XVe siècle. L’église aurait été construite au XIIe siècle. Elle est dédiée à saint Germain.

Au XVe siècle le roi René, qui aime venir chasser dans les forêts de la région, fait reconstruire le château de Baugé.

Ancien Régime

[modifier | modifier le code]

La seigneurie au XVIIIe siècle dépend du château du Frène d'Auverse. Sous l'Ancien Régime, la commune dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé, du diocèse d'Angers et de l'archiprêtré de Bourgueil[18].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, en 1790 la commune est rattachée d'abord au canton de Mouliherne, puis en 1800, à celui de Baugé. Il est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[14].

En 2014, un projet de fusion de l'ensemble des communes de l'intercommunalité se dessine. Le , les conseils municipaux de l'ensemble des communes du territoire communautaire votent la création d'une commune nouvelle au [20]. L'arrêté préfectoral est signé le et porte sur la création au de la commune nouvelle de « Baugé-en-Anjou », groupant les communes de Baugé-en-Anjou, Bocé, Chartrené, Cheviré-le-Rouge, Clefs-Val d'Anjou, Cuon, Échemiré, Fougeré, Le Guédeniau et Saint-Quentin-lès-Beaurepaire[1].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Administration actuelle

[modifier | modifier le code]

Depuis le , Le Guédeniau constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2016 mai 2020 Josiane Jouis[21]    
mai 2020 en cours Jean-Marie Rousteau[22]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne

[modifier | modifier le code]

La commune est créée à la Révolution. Commune en 1790[14]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[23].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1919 1971 Louis Royer    
1971 1981 Alexandre Lemaure    
1981 1989 Arsène Georget    
1989 2001 Jacques Rousteau    
2001 mars 2014 Gilbert Hardouin    
mars 2014 décembre 2015 Josiane Jouis[24]    
Les données manquantes sont à compléter.

La commune ne comporte pas de jumelage[25].

Ancienne situation administrative

[modifier | modifier le code]

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune était intégrée à la communauté de communes du canton de Baugé. Créée en 1994[26], cette structure intercommunale regroupait les dix communes du canton, dont Bocé et Cuon[27]. Elle avait pour objet d’associer des communes au sein d'un espace de solidarité, en vue de l'élaboration d'un projet commun de développement et d’aménagement de l'espace[28].

La communauté de communes est membre du pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire. Le syndicat mixte du Pays des Vallées d'Anjou (SMPVA) regroupe six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, canton de Baugé, canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué, Portes-de-l'Anjou[29].

Autres administrations

[modifier | modifier le code]

Conseil de développement du pays des vallées d'Anjou (CDPVA), syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement de l’agglomération baugeoise, syndicat mixte intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou (SIVERT), syndicat intercommunal pour l'aménagement du Couasnon (SIAC)[30].

Le SIVERT est le syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, qui se trouve à Lasse[31].

Autres circonscriptions

[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, Le Guédeniau fait partie du canton de Baugé et de l'arrondissement de Saumur[32]. Ce canton compte alors les dix mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[33].

Le Guédeniau fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons dont Longué-Jumelles et Noyant. La troisième circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35],[Note 1].

En 2013, la commune comptait 357 habitants, en évolution de +8,18 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
700547663940903912916864883
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
836825755742736697713683679
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
664635548564529506512466421
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2013 -
392314301249292305344357-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (26,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,2 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 50,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,6 %, 15 à 29 ans = 13,1 %, 30 à 44 ans = 24,8 %, 45 à 59 ans = 19 %, plus de 60 ans = 21,6 %) ;
  • 49,8 % de femmes (0 à 14 ans = 21,1 %, 15 à 29 ans = 11,2 %, 30 à 44 ans = 24,3 %, 45 à 59 ans = 12,5 %, plus de 60 ans = 30,9 %).
Pyramide des âges à Le Guédeniau en 2008 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90  ans ou +
0,7 
8,5 
75 à 89 ans
13,8 
13,1 
60 à 74 ans
16,4 
19,0 
45 à 59 ans
12,5 
24,8 
30 à 44 ans
24,3 
13,1 
15 à 29 ans
11,2 
21,6 
0 à 14 ans
21,1 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[39].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,1 
6,3 
75 à 89 ans
9,5 
12,1 
60 à 74 ans
13,1 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
20,3 
30 à 44 ans
19,3 
20,2 
15 à 29 ans
18,9 
20,7 
0 à 14 ans
18,7 

Services publics présents sur la commune : mairie, école élémentaire avec cantine, garderie périscolaire, bibliothèque. Située dans l'académie de Nantes, l'école est gérée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI), avec les communes de Bocé et Cuon. Les autres services publics se trouvent à Baugé, dont le collège, l'hôpital intercommunal et le centre de secours[30].
Outre les services publics, on trouve plusieurs commerces sur la commune : boulangerie pâtisserie, bar tabac, restaurant, épicerie, ainsi que des services itinérants tels une poissonnerie et une charcuterie.

La plupart des structures de santé se trouvent à Baugé, comme l'hôpital local, l'hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (95 places), et plusieurs maisons de retraite[40].

La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du canton de Baugé. La déchèterie intercommunale se situe sur la commune de Saint-Martin-d'Arcé[31].

Le Guédeniau compte 60 km de chemins de randonnée communaux, nettoyés, balisés et répartis en cinq circuits, dont l'un est inscrit au plan départemental. On y trouve également un jardin public, avec aire de pique-nique sous abri, et une aire pour les campings-cars près de l'étang[6].

Le plus grand vide-grenier de la région s'y déroule le second dimanche du mois d'août, pendant lequel la commune organise sa « fête du Gros Croissant ». C'est environ 15 000 personnes qui sont accueillies à cette manifestation, avec la fabrication d'environ 5 000 croissants ce jour-là par la boulangerie du village[41].

Tissu économique

[modifier | modifier le code]

Commune principalement agricole, en 2008, sur les 26 établissements présents sur la commune, 42 % relevaient du secteur de l'agriculture[42]. Deux ans plus tard, en 2010, sur 6 établissements présents sur la commune, 17 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), aucun du secteur de l'industrie, 33 % du secteur de la construction, 33 % de celui du commerce et des services et 17 % du secteur de l'administration et de la santé[11].

Sur 30 établissements présents sur la commune à fin 2013, 23 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 20 % du secteur de l'industrie, 17 % du secteur de la construction, 33 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[12].

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Liste des appellations présentes sur le territoire[43] :

  • IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Œufs de Loué ;
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton ;
  • IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosé, IGP Maine-et-Loire rouge.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

La commune du Guédeniau comporte plusieurs inscriptions à l'inventaire du patrimoine[44], dont un monument historique[45].

  • Logis de Vendanger, du XVe siècle, Monument historique partiellement inscrit par arrêté du (PA00135549)[46], assiette archéologique médiévale de l'ancienne église priorale[47] et de pèlerinage.

Autres ouvrages inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[44] :

  • Château Monet, des XVIe, XVIIIe et XIXe siècles[48].
  • Ruines du château Le Teil, des XVe, XVIIe, XVIIe et XIXe siècles[49].
  • Église paroissiale Saint-Germain, des XIIe et XVe ou XVIe siècle[50].
    Église du XIIe siècle, ainsi que le chœur, de style roman. La nef est faite en vieux tuffeau ocre et roux qui contraste avec le blanc des fenêtres restaurées au XIXe siècle. Le saint patron, saint Germain, est représenté sur le vitrail central réalisé en 1896 par les maîtres verriers angevins Foulonneau et Chuteau. Il est encadré par les statues de saint Thomas d’Aquin et saint Henri Empereur. Le retable[51] date du XVIIe siècle. L’église Saint-Germain fait partie du circuit des « Églises accueillantes du Baugeois et de l'Anjou ».
  • Plusieurs maisons et fermes des XVe, XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.
  • Manoir Le Boulay du XIXe siècle[52].
  • Manoir Le Vieux Boulay des XVe ou XVIe siècle, et XVIIe siècle[53].
  • Manoir La Cache des XVIe, XVIIIe et XIXe siècles[54].
  • Manoir La Gouleuvre des XVe ou XVIe siècle[55].
  • Oratoire[56], route de Baugé, du XIXe siècle et restauré en 1991, représentation Vierge à l'Enfant[57].
  • Presbytère des XVIIIe et XIXe siècles[58].

Et autres lieux[6] :

  • Moulin à aubes alimenté par l'étang ;
  • Fuie ronde d'un château disparu à Maillé ;
  • Lavoir à crémaillère inauguré en 1898 ;
  • Trois anciens pigeonniers de types différents.

La commune a procédé à la restauration du moulin à eau du centre bourg, en bordure du ruisseau de Bray, avec remise en état de la roue à aubes, le mécanisme hydraulique permettant même une modeste production d'électricité. La salle des machines est accessible.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 264.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : D-M, t. 2, Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676, lire en ligne), p. 320-321.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b et c « Arrêté no DRCL-2015-525 du 10 juillet 2015 portant création de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 47,‎ (lire en ligne [PDF]).
  2. Insee, Code Officiel Géographique, Modifications des communes de Maine-et-Loire, consultées le 25 juin 2012.
  3. IGN et BRGM, Géoportail Le Guédeniau (49), consulté le 17 avril 2012.
  4. Paul Wagret, Jacques Boussard, Jacques Levron et Simone Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, (BNF 31614504), p. 10.
  5. a et b IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. a b c d e et f Mairie du Guédeniau, Site de la commune, consulté le 7 juillet 2011.
  7. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — Données consultables sur WikiAnjou.
  8. a et b Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Les régions naturelles, le climat », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  9. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, Liste des zonages recensés sur la commune du Guédeniau, consultée le 10 février 2011.
  10. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Le Guédeniau (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 17 avril 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  11. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Le Guédeniau (49), consultées le 19 décembre 2012.
  12. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Le Guédeniau (49), consultées le 21 juillet 2016.
  13. Célestin Port 1876, p. 320-321 — Selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
  14. a b et c EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale du Guédeniau, consultée le 17 avril 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  15. Le nom officiel de la commune, tel que répertorié par l'IGN dans son Code officiel géographique, selon le décret no 2010-772 du 8 juillet 2010 portant changement du nom de communes en Conseil d'État, publié au Journal officiel de la République française no 0158 du p. 12777 texte no 14, est Le Guédeniau.
  16. Source de la graphie alternative « Le Guedéniau » : Victor Adolphe Malte-Brun, La France illustrée, Tome III, Jules Rouff éditeur, Paris, 1882, fascicule « Maine-et-Loire », p. 29, dans le tableau de statistiques de l'ancien arrondissement de Baugé.
  17. « Décret no 2010-772 du 8 juillet 2010 portant changement du nom de communes », Journal officiel de la République française (consulté le ).
  18. a et b Célestin Port 1978, p. 264.
  19. Prieuré : église et bâtiments d’un couvent dirigé par un prieur.
  20. Le Courrier de L'Ouest, « Feu vert à la création de la commune nouvelle : les résultats du vote », sur courrierdelouest.fr, .
  21. « Conseillers communaux », sur Mairie de Baugé-en-Anjou (consulté le ).
  22. « Baugé-en-Anjou. Municipales : les quinze maires délégués élus en 2020 », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  23. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  24. Le Courrier de l'Ouest, Une femme à la tête de la commune, article du 30 mars 2014.
  25. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  26. Arrêté préfectoral no D3-94-932 du 23 décembre 1994 portant création de la communauté de communes du canton de Baugé.
  27. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté no 2012361-0003 portant modification des statuts de la communauté de communauté du canton de Baugé « Copie archivée » (version du sur Internet Archive), du 26 décembre 2012.
  28. Statuts de la communauté de communes du canton de Baugé, Arrêté préfectoral no 2007-107 du 9 mai 2007.
  29. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté no 2012354-0007 portant modification des statuts du Syndicat Mixte du Pays des Vallées d'Anjou « Copie archivée » (version du sur Internet Archive), du 19 décembre 2012.
  30. a et b CC du Canton de Baugé, Communauté de communes, consultée le 7 juillet 2011.
  31. a et b SIVERT, C.C. canton de Baugé, consulté le 20 décembre 2010.
  32. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Le Guédeniau, consultée le 21 février 2015.
  33. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  34. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  38. « Évolution et structure de la population à Le Guédeniau en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  39. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  40. Fédération Hospitalière de France, Hôpital local (Baugé), consulté le 6 octobre 2011.
  41. Nicolas Abad, « Boulangerie du Guédeniau » (consulté le ).
  42. Insee, Statistiques locales 2008 du territoire du Guédeniau, consultées le 7 juillet 2011.
  43. INAO, Fiche du Guédeniau (49), consultée le 6 juillet 2011 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
  44. a et b Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée, consultée le 10 février 2011.
  45. Service Départemental de l'Architecture et du Patrimoine, Maine et Loire, consulté le 7 février 2011.
  46. « Logis de Vendanger », notice no PA00135549, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012.
  47. Priorale, voir sur Wiktionnaire.
  48. « Château Monet », notice no IA00032788, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012.
  49. « Château le Teil », notice no IA00032789, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012.
  50. « Église Paroissiale Saint Germain », notice no IA00032784, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012
  51. Retable, voir sur Wiktionnaire.
  52. « Manoir le Boulay », notice no IA00032792, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012.
  53. « Manoir le Vieux Boulay », notice no IA00032793, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012.
  54. « Manoir la Cache », notice no IA00032790, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012
  55. « Manoir la Gouleuvre », notice no IA00032791, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012.
  56. Oratoire, voir sur Wiktionnaire
  57. « Oratoire Vierge à l'Enfant », notice no IA00032785, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012.
  58. « Presbytère », notice no IA00032794, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 octobre 2012.