Le Paravent de laque | ||||||||
Auteur | Robert van Gulik | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Pays | Pays-Bas | |||||||
Genre | Roman policier | |||||||
Version originale | ||||||||
Langue | Anglais | |||||||
Titre | The Lacquer Screen | |||||||
Éditeur | Art Printing Works | |||||||
Date de parution | 1962 | |||||||
Version française | ||||||||
Traducteur | Roger Guerbet | |||||||
Éditeur | Club du Livre policier | |||||||
Collection | Les Classiques du roman policier no 33 | |||||||
Date de parution | 1965 | |||||||
Chronologie | ||||||||
Série | Juge Ti | |||||||
| ||||||||
modifier |
Le Paravent de laque (The Lacquer Screen) est un roman de Robert van Gulik, publié à Kuala Lumpur en 1962, et ayant pour principal protagoniste le juge Ti.
Selon l'ordre chronologique des aventures, il s'agit de la cinquième enquête du magistrat et du sixième roman dans l'ordre de publication. L'intrigue se déroule dans la ville fictive de Peng-lai, district de Wei-ping, en 664.
De retour d'une réunion à la préfecture, le juge Ti se voit autoriser par le préfet, son supérieur direct, de prendre une semaine de congé dans le district de son collègue, le magistrat Teng. Celui-ci est un poète réputé, de même que sa femme, avec qui il forme un couple quasi-légendaire d'amoureux réunis par leur amour des vers. Sa présence n'étant connue que de son collègue, le juge Ti se prépare à passer un agréable séjour incognito dans ce district touristique.
Mais bientôt, il est accosté par un mystérieux individu aux propos inquiétants, alors que le magistrat Teng lui demande son aide pour résoudre un meurtre sordide ayant eu lieu dans sa propre maison. Encore une fois, le juge devra faire preuve de doigté et de perspicacité. Outre une plongée dans l'univers de la pègre, de multiples énigmes entrelacées et, pour couronner le tout, une mystérieuse malédiction, le magistrat Ti aura besoin de tous ses talents de détective pour résoudre cette affaire.
Membres du Tribunal
Personnalités importantes du district
Autres personnages
Contrairement à son habitude, Robert van Gulik n'utilise pas ici d'introduction qui annonce de manière voilée la trame du roman. Il entre directement dans le vif du sujet.