Geoffroy d'Harcourt et ses partisans dont Jean Guiffre, seigneur de Gatteville, et ses frères Geoffroy et Julien, après avoir marché contre le château de Chiffrevast qu'ils mettent à feu et à sang le , feront subir le même sort aux moulins d'Huberville et de Banville, ainsi qu'aux manoirs du Val de Sie (Bricquebec), de Bricquebosq et de Prêtreville[7].
En 2020, la commune comptait 141 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2008, 2013, 2018, etc. pour Le Valdécie[13]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].
Le Valdécie a compté jusqu'à 317 habitants en 1806. Elle est la commune la moins peuplée du canton de Bricquebec.
Église Notre-Dame du XVIIIe siècle avec une croix de faîtage (XVe). C'était à l'origine une ancienne chapelle dépendant d'Arthéglise. L'édifice est composé d'une nef et du chœur en prolongement avec la tour accolée à l'ensemble. Elle abrite une Vierge à l'Enfant du XVe classée en 1980 au titre objet aux monuments historiques[16], un autel (XVIIe), un Chemin de Croix (XIXe), épitaphes de la famille de Launoy (XVIIe-XVIIe), des fonts baptismaux (XVIIIe), une statue de saint Vincent (XIXe)[8].
Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN978-2-9159-0709-4), p. 257.
René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN978-2-35458-036-0), p. 372.
↑Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.