Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ! (ex Varlib). Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![6].
Dans le secteur Cœur du Var, les communes de Gonfaron, Les Mayons, Le Cannet des Maures, Le Luc et Le Thoronet, appartenant au territoire Cœur de Var, n’ont pas été intégrées au secteur « Ouest Cœur de Var ». Ces cinq communes sont desservies par le syndicat d’Entraigues, dont les ressources en eau relève d’un autre contexte géographique.
Le secteur « Ouest Cœur de Var » regroupe six communes (Cabasse, Flassans-sur-Issole, Besse-sur-Issole, Puget-Ville, Carnoules et Pignans)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 929 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 1,9 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Luc », sur la commune du Cannet-des-Maures à 9 km à vol d'oiseau[14], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 832,3 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 42,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[15],[16].
Le château des Mayons[21] est une belle demeure de la fin du XVIIIe siècle, propriété départementale qui accueillait jusqu'en 2020 des animations, expositions, conférences autour du thème de la nature…
Le , Jean-Jacques Massoni (un des six accusés de la tuerie d'Auriol), désigne plus de dix jours après le massacre une ancienne mine désaffectée à l'extérieur du village des Mayons, comme l'endroit où les cinq corps des autres membres de la famille Massié (dont celui du petit Alexandre Massié âgé de 8 ans le jour de la tuerie) furent dissimulés.
Au , Les Mayons est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24].
Elle est située hors unité urbaine[25]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Luc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[25]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (62,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,4 %), cultures permanentes (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].
En 2021, la commune comptait 629 habitants[Note 3], en évolution de −1,1 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La maison médicale de garde se trouve au Luc à proximité de l’hôpital local départemental. C'est l’association "Permanence Médicale Cœur du Var" qui coordonne l'intervention des médecins généralistes volontaires[39].
Castèu d'Aou à l'est et Castèu deis Mourous (Castel des Maures) à l'ouest sont des oppidums qui dominent le village. Leur datation est imprécise, elle serait entre l'âge de fer et le début du Moyen Âge[53].
Église paroissiale Saint-Jean du XVIIe siècle[54],[55], abritant de riches objets mobiliers dont le tableau "La Crucifixion avec Saint Jean et Marie"[56],et un tableau "calvaire" du XVIIe siècle[57], avec une cloche de 1625[58].
D'argent à la feuille de chêne de tenné posée en bande sur laquelle broche, posée en barre, un gland de sinople à la cupule de pourpre, accompagnés, en chef, d'un hérisson contourné de tenné, la tête de pourpre affronté à une châtaigne du même dans sa bogue de tenné; au comble denché de gueules.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]