Pierre de Lune[3],[2] auteur du Le Nouveau et Parfait Maistre d'hostel royal, enseignant la manière de couvrir les tables dans les ordinaires & festins, tant en viande qu'en poisson, suivant les quatre saisons de l'Année (1662).
Antonin Carême : « Les beaux arts sont au nombre de cinq, à savoir : la peinture, la sculpture, la poésie, la musique et l’architecture, laquelle a pour branche principale la pâtisserie. »
↑Bruno Laurioux, « Le Registre de cuisine de Jean de Bockenheim, cuisinier du pape Martin V », Mélanges de l'École française de Rome. Moyen-Age, Temps modernes, t. 100, no 2, , p. 709-760 (lire en ligne).
Jean-Claude Bonnet, « Dix-huitième siècle. Les manuels de cuisine », Aliments et cuisine, no 15, , p. 53-63 (lire en ligne)
Stéphane Castelluccio, « L’art de la gastronomie à Paris au XVIIe siècle », Versalia. Revue de la Société des Amis de Versailles, no 14, , p. 19-51 (lire en ligne)
Alain Girard, « Le triomphe de “la cuisinière bourgeoise”. Livres culinaires, cuisine et société en France aux XVIIe et XVIIIe siècles », Revue d’histoire moderne et contemporaine, t. tome 24, no 4, , p. 497-523 (lire en ligne)
Alain Drouard, Histoire des cuisiniers en France XIXe-XXe siècle, Paris, CNRS Éditions, , 160 p. (ISBN978-2271062666).
Edmond Neirinck et Jean-Pierre Poulain (préf. Joël Robuchon), Histoire de la cuisine et des cuisiniers. Techniques culinaires et pratiques de table en France du Moyen Âge à nos jours, Paris, Jacques Lanore, , 160 p. (ISBN978-2862682761).