Lolme

Lolme
Lolme
Le village de Lolme.
Blason de Lolme
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Bernard Étienne
2020-2026
Code postal 24540
Code commune 24244
Démographie
Gentilé Lolmois
Population
municipale
191 hab. (2021 en évolution de −4,02 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 42′ 45″ nord, 0° 50′ 43″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 225 m
Superficie 6,92 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lolme
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Lolme
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Lolme
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Lolme

Lolme est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Généralités

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Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Bergeracois, la commune de Lolme est bordée par le Brayssou, un affluent du Dropt.

À l'écart des routes principales, le petit bourg de Lolme est situé, en distances orthodromiques, cinq kilomètres au nord-ouest de la bastide de Monpazier et neuf kilomètres au sud-est de celle de Beaumont-du-Périgord, et la ville la plus proche est Bergerac, distante de 33 km.

Le sud du territoire communal est traversé par la route départementale 660 sur près de deux kilomètres et demi.

Entre Sainte-Croix et Lavalade, le sentier de grande randonnée GR 36 traverse le nord et l'est de la commune sur trois kilomètres et demi.

Communes limitrophes

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Lolme est limitrophe de cinq autres communes. Au sud, le territoire de Saint-Cassien est distant d'environ 120 mètres.


Communes limitrophes de Lolme
Sainte-Croix Saint-Romain-de-Monpazier
Lolme Marsalès
Rampieux Lavalade

Géologie et relief

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Lolme est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Lolme.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 112 m et 225 m[5],[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 6,92 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7 km2[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Brayssou, la Véronne, le ruisseau du Fraisse et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[15],[Carte 1].

Le Brayssou, d'une longueur totale de 13,74 km, prend sa source en Dordogne dans la commune de Rampieux et se jette en rive droite du Dropt en Lot-et-Garonne, à Rives[16]. Il borde la commune au sud-ouest sur deux kilomètres, face à Rampieux.

Affluent de rive gauche de la Couze et sous-affluent de la Dordogne, la Véronne, marque la limite territoriale au nord-est sur deux kilomètres face à Saint-Romain-de-Monpazier et Sainte-Croix.

Son affluent de rive gauche le ruisseau du Fraisse traverse la commune du sud-est au nord-est sur plus de deux kilomètres.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Le SAGE « Dropt », dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[18]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La majeure partie du territoire communal, au nord, correspond au bassin versant de la Véronne et dépend du SAGE Dordogne Atlantique. Au sud, le bassin du Brayssou concerne moins de 20 % de la superficie communale et est rattaché au SAGE Dropt.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 894 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 15 km à vol d'oiseau[23], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Au , Lolme est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[28] et hors attraction des villes[29],[30].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,8 %), zones agricoles hétérogènes (36,8 %), prairies (19,7 %), terres arables (5,5 %), cultures permanentes (0,3 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Lolme est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Lolme est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[34]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[35],[36].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lolme.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[37]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 89,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[39].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[32].

En occitan, la commune porte le nom de L'Orme[40].

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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Dès 1790, la commune de Lolme a été rattachée au canton de Montferrand qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Monpazier dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5].

Intercommunalité

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Fin 1994, Lolme intègre dès sa création la communauté de communes du Monpaziérois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[41],[42].

Liste des maires

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Mairie, ancienne école.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001[43]
(réélu en mai 2020)
En cours Bernard Étienne SE[44] Employé de la fonction publique

Équipements et services publics

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Dans le domaine judiciaire, Lolme relève[45] :

Po^pulation et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[47].

En 2021, la commune comptait 191 habitants[Note 5], en évolution de −4,02 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
236260271312307318336332302
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
280272310258265246229209198
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
187188170147147142145115112
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
101104104110105111149146132
2015 2020 2021 - - - - - -
199191191------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2015[49], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante-six personnes, soit 23,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatre) a augmenté par rapport à 2010 (un) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,7 %.

Établissements

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Au , la commune compte seize établissements[50], dont six au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[51].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église est placée sous le patronage de Notre-Dame de la Nativité. C'est une église romane construite au XIIe siècle. Son plan est simple : nef rectangulaire unique avec clocher-mur à l'ouest et abside hémicirculaire à l'est.

Un petit portail se trouvait dans le mur occidental mais il a été muré. Le portail principal en plein cintre se trouve côté sud et a dû être ouvert plus tardivement. L'abside, en petit appareil, est percée de deux fenêtres. Elle possède un toit couvert de lauzes reposant sur une corniche avec modillons. Les métopes entre les modillons sont percées.

Un incendie, à une date inconnue, a donné cette couleur rouge à la pierre. Les voûtes de la nef et du chœur ont probablement été refaites après l'écroulement des voûtes initiales qui est peut-être dû à l'incendie signalé précédemment. Le mur sud de la travée du chœur est plus épais que le mur nord et plus épais que ceux des deux travées de la nef. Le mur nord du chœur a dû être modifié quand a été construite une chapelle additionnelle.

La particularité de l'église de Lolme, c'est de posséder un ensemble d'inscriptions murales, de graffitis et de signes gravés. De plus, on trouve sur la façade occidentale des gravures figurant des contours de chaussures.
Inscriptions du mur nord :

"O DIVES DIVES NON OMNI TEMPORE VIVES
FAC BENE DUM VIVIS POST MORTEM VIVERE SI VIS"

Traduction :

"O riche, riche, tu ne vivras pas tout le temps
Agis bien pendant que tu vis, si tu veux vivre après la mort".

Le second vers se retrouve sur plusieurs bâtiments (Saint-Génis-des-Fontaines, cloître de Saint-Bertrand-de-Comminges,...).
Inscriptions du mur sud proposées par M. Robert Favreau:

"O BONA CRUX DIGN(a) LIGNA OMNIA LIGNA
ME TIBI CONS(ecro) NE MORTE MALIGNA PERCRU(cior)"

Traduction :

"O bonne Croix, bois dignes parmi tous les bois,
Je me consacre à toi, afin de ne pas être tourmenté par une mort maligne".

Les marques de chaussures semblent être une trace de l'accomplissement d'un pèlerinage. Cette interprétation est celle proposée par l'abbé Martigny dans son Dictionnaire des antiquités chrétiennes[54]: « l'usage de graver sur les murs des églises, des plantes de pied, marque un retour de pèlerinage, ou l'heureuse issue d'un long voyage » et rappelant la phrase "Ambulavit in Deo" ou "Ambulavit cum Deo", marcher avec Dieu, qu'on trouve, par exemple, dans la Genèse.

Personnalités liées à la commune

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  • Martial Rouby, poète et conteur occitan du XXe siècle, né à Lolme, ayant vécu au château de Sainte-Croix de Beaumont, décédé en 1981 à Prigonrieux. Il est l'auteur des ouvrages : Cansous de ma Crouséto et Ma Garbéto. Une plaque en son honneur a été placée sur la place centrale de Beaumont-du-Périgord au cours de la Félibrée 2009.

Héraldique

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Blason de Lolme Blason
D'azur à un lion d'or ; au chef d'argent chargé de trois tourteaux de gueules[55].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Élisée Cérou, La commune de Lolme, dans Cahier du Groupe archéologique de Monpazier, no 4 (lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne est représentée par une ligne verte en tirets-points.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Lolme » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Lolme » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Lolme », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Lolme », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Lolme », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
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  17. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  18. « SAGE Dropt », sur gesteau.fr (consulté le ).
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  25. « Station Météo-France « Belves » (commune de Pays de Belvès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lolme », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  37. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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  40. Le nom occitan des communes du Périgord - L'Orme sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  41. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
  42. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 30 octobre 2020.
  43. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 21 août 2014.
  44. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 14.
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  52. Voir le panneau d'information sur l'église, au parking à côté de l'église et du cimetière
  53. Jean-Pierre Verdon - Les églises romanes du Monpaziérois - p. 26-37 - Groupe archéologique de Monpazier - (ISSN 0767-9475).
  54. Joseph Alexandre Martigny, Dictionnaire des antiquités chrétiennes : contenant le résumé de tout ce qu'il est essentiel de connaître sur les origines chrétiennes jusqu'au Moyen Âge exclusivement, p. 543, Hachette, Paris, 1865 Google Livres
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