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Lorena A. Hickok est née le à East Troy d'un crémier et d'une couturière. Violence et instabilité caractérisèrent son enfance. Elle écrivit dans les journaux, d'abord dans les nouvelles de Battle Creek. Durant la Première Guerre mondiale, elle fut engagée par le Minneapolis Tribune. Peu de temps après, elle s'installa à New York. Elle mourut en 1968, après avoir écrit six biographies (dont celle d'Helen Keller)[2].
Pendant trente ans, Eleanor Roosevelt échangea 3 300 lettres avec Lorena A. Hickok[3]. Selon le patron du FBI, J. Edgar Hoover, qui peut ainsi faire pression sur le président des États-Unis, cette amitié passionnée serait en fait une relation amoureuse ; la presse[4] évoque également cette relation[5].
Depuis la parution de la biographie de référence sur Eleanor Roosevelt par Blanche Wiesen Cook (trois volumes, en particulier le second) et l'ouvrage décisif de Susan Quinn, Eleanor and Hick, la relation homosexuelle entre Eleanor et Lorena Hickok ne fait plus débat.[réf. nécessaire]
Reluctant First Lady - Primary Source Edition, éd Nabu Press, 2014,
One Third of a Nation: Lorena Hickok Reports on the Great Depression, coécrit avec Richard Lowitt et Maurine H. Beasley, éd. University of Illinois Press, 1981,
↑(en-US) Amanda Vaill, « Eleanor Roosevelt’s Close Relationship With the Journalist Lorena Hickok », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
↑« Lorena Hickok, l'amour secret d'Eleanor Roosevelt », Le blog du Bureau de Washington, (lire en ligne, consulté le ).