Ministre fédéral de l’Emploi et du Travail (du au )
Président de l'exécutif flamand et ministre communautaire des affaires économiques, des PME, de la politique scientifique et des relations extérieures (du 21 au )
Ministre-président de l'exécutif flamand et ministre communautaire des affaires économiques, des PME, de la politique scientifique et des relations extérieures (du au )
Ministre-président du gouvernement flamand et ministre flamand de la politique extérieure, des affaires européennes et des sciences et technologies (du au )
Chef du groupe parlementaire PPE/DC de l’Assemblée parlementaire (depuis 2005), et en cette qualité membre du cabinet du président, du bureau et de la commission permanente
Membre effectif de la commission politique et de la commission pour le respect des obligations et engagements des États membres (commission de suivi)
Membre de différentes sous-commissions
Rapporteur en diverses occasions et à plusieurs reprises, entre autres du suivi de la Turquie et de la fédération de Russie
Président de missions d’observation des élections et de commissions ad-hoc
Représentant de l’Assemblée parlementaire au sein du Comité des ministres pour la négociation du MoU entre le Conseil et l’UE
Président de l'Internationale vriendenkring Anton van Wilderode
En , et alors qu'il était président du conseil européen, il a œuvré pour faire retirer de l'agenda du conseil le rapport du sénateur français Guy Lengagne (PS) intitulé Les dangers du créationnisme dans l'éducation[1],[2]. Il fut l'une de 25 personnes sur 48 à voter contre la résolution 1580, établissant que le créationnisme n'est pas une matière scientifique et donc ne doit pas être enseigné au cours de sciences mais bien au cours de religion.