À 20 ans et à peine mariée à Théodore Marjak, un Français dans la marine marchande, elle déménage à Paris où elle travaille pour la Radiodiffusion-télévision française, et rencontre des membres du mouvement littéraire du nouveau roman et de la revue Tel Quel. Elle publie sa première fiction intitulée Clara (Hay que sonreír). En 1958, Luisa Valenzuela donne naissance à sa fille Anna-Luisa. En 1961 elle retourne vivre en Argentine, où elle travaille comme journaliste entre autres à La Nación et à la revue Crisis. Elle divorce en 1965. Entre 1967 et 1968, elle voyage en Bolivie, au Pérou et au Brésil avec son travail à La Nación.
Son œuvre est caractérisé par par un style expérimental qui interroge les structures sociales hiérarchiques d’un point de vue féministe[4]. Des œuvres telles que Como en la guerra (1977), Cambio de armas (1982) et Cola de lagartija (1983) combinent une critique de la dictature et du patriarcat[5].
↑(en-US) Sharon Magnarelli, Reflections/refractions : reading Luisa Valenzuela, New York, P. Lang, , 264 p. (ISBN978-0-820-40638-1, lire en ligne)
↑(es) Juana María Cordones-Cook, Poética de la transgresión en la novelística de Luisa Valenzuela, New York/Frankfurt, Peter Lang, (ISBN978-0-820-41584-0, lire en ligne)
↑(es) « Luisa Valenzuela, la primera mujer que gana el Premio Carlos Fuentes », El País, (ISSN1134-6582, lire en ligne)
(es) Ksenija Bilbija, Yo soy trampa : ensayos sobre la obra de Luisa Valenzuela, Buenos Aires, Feminaria, coll. « Literatura y Crítica », , 220 p. (ISBN978-987-9143-02-5)
(es) Gwendolyn Díaz, Luisa Valenzuela sin máscara, Buenos Aires, Feminaria, coll. « Literatura y Crítica », , 186 p.
(es) Gwendolyn Díaz, María Inés Lagoset al., La palabra en vilo : narrativa de Luisa Valenzuela, Santiago, Editorial Cuarto Propio, , 264 p. (ISBN978-956-260-088-0, lire en ligne).
(en) Leticia Reyes-Tatinclaux, « Luisa Valenzuela », dans Dictionary of Literary Biography, vol. 13 : Modern Latin-American Fiction Writers, First Series, Gale Research, , p. 303-312.
(es) « Luisa Valenzuela (1938-) », dans Evelyn Picon Garfield, Iván A. Schulman, Las literaturas hispánicas : Introducción a su estudio, vol. 3 : Hispanoamérica, Detroit, Wayne State University Press, , 408 p. (ISBN9780814318652), p. 390-394.
(en) Sharon Magnarelli, « Luisa Valenzuela », dans Diane E. Marting, Spanish American Women Writers : A Bio-bibliographical Source Book, Greenwood Publishing Group, , 645 p. (ISBN9780313251948), p. 532-545.
(en) Sharon Magnarelli, Reflections/refractions : Reading Luisa Valenzuela, P. Lang, coll. « American university studies: Romance languages and literature » (no 80), , 243 p. (ISBN978-0-8204-0638-1).