Lury-sur-Arnon

Lury-sur-Arnon
Lury-sur-Arnon
L'église Saint-Paul.
Blason de Lury-sur-Arnon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Vierzon
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Berry
(siège)
Maire
Mandat
Chantal Crépat-Virolle
2020-2026
Code postal 18120
Code commune 18134
Démographie
Gentilé Lurois
Population
municipale
661 hab. (2021 en évolution de −3,08 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 42″ nord, 2° 03′ 28″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 138 m
Superficie 13,84 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Vierzon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mehun-sur-Yèvre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lury-sur-Arnon

Lury-sur-Arnon est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Localisation

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La commune est traversée par l'Arnon.

Le bourg se trouve à 10 km au sud de Vierzon, 20 km au nord d'Issoudun et 20 km au nord-ouest de Bourges.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Lury-sur-Arnon
Massay Méreau Brinay
Lury-sur-Arnon
Chéry Lazenay Cerbois

Hydrographie

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Voies de communication et transports

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La route départementale 918 qui relié Vierzon à Issoudun, passe par le bourg de Lury, qui est aussi relié à Quincy, Mehun-sur-Yèvre (à l'est) et Saint-Pierre-de-Jards (à l'ouest) par la D 68/288, à Neuvy-sur-Barangeon par la D 30.

Les autoroutes les plus proches sont l'A71 (Orléans-Clermont-Ferrand par Vierzon) et l'A20 (Vierzon-Montauban). Les entrées les plus proches sont à Massay (A20), à Vierzon et Bourges (A71).

Lury-sur-Arnon est desservie par la ligne U (Vierzon-Issoudun) du réseau de mobilité interurbaine[1] régional.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Quincy à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Lury-sur-Arnon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vierzon, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,2 %), zones agricoles hétérogènes (21,3 %), forêts (11 %), zones urbanisées (3,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lury-sur-Arnon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arnon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2016[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lury-sur-Arnon.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[16]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 381 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 381 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Habité depuis la préhistoire, le site de Lury-sur-Arnon est ensuite occupé par les colons romains.

En 1066, Hugues de Lury participe à la conquête de l’Angleterre avec Guillaume le Conquérant.

Maison de Vierzon

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Humbaud le Tortu seigneur de Vierzon (fin du Xe siècle) s’empare du fief de Lury et le donne à son fils Humbaud II, qui le transmet à son neveu Arnaud 1er, fils de son frère Geoffroi (Ier) (1re moitié du XIe siècle).

En 1164, au retour de croisade, Hervé 1er, sire de Vierzon (1144-1184), déclare libres tous les habitants de Lury.

En 1189, lors de la troisième croisade, les troupes de Richard Cœur de Lion passent par Vierzon et Lury. Alors que Richard est prisonnier, le roi Philippe Auguste reconquiert les villes du nord du duché d'Aquitaine, fief des Plantagenêts depuis 1152. À son retour, Richard fait brûler les villes de Reuilly, Lury et Vierzon.

Au XIIIe siècle, Hervé III, seigneur de Vierzon en 1252-1270, transmet ses biens à sa fille Jeanne (morte avant 1296), qui épouse en secondes noces en 1277 Godefroy de Brabant (mort à Courtrai en 1302).

Maison de Juliers

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Deux de leurs filles font passer Vierzon et Lury dans la maison des comtes de Juliers : Marie de Brabant († vers 1330/1332 ; sans postérité survivante de son union avec Walram de Juliers), puis sa sœur Elisabeth/Isabelle de Brabant († vers 1350/1355 ; femme du frère de Walram, Gérard V de Juliers).

En 1378, le petit-fils d'Isabelle et Gérard, Guillaume VI de Juliers, s’étant allié à l’Angleterre et ayant déjà cédé Vierzon à Jean le Bon en 1361, se voit confisquer le château, ainsi que ses rentes et droits féodaux sur Lury par le roi Charles V.

Jean de France, duc de Berry

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Jean de France, frère du roi et duc de Berry, reçoit en toute propriété les biens confisqués à la maison de Juliers. Il répare le château et l’église romane, détruits en grande partie par les Anglais. Les seigneurs et gens de Lury, fidèles au prince et au roi, bénéficient de la protection du duc et se voient attribuer des fonctions importantes.

Les connétables Bertrand Du Guesclin et Louis de Sancerre, et le sénéchal du Limousin Gaucher de Passac, sont « capitaines de Luri » et de la Grosse Tour de Bourges.

En 1412, le duc Jean donne Lury aux chanoines de la cathédrale de Bourges, qui le conservent jusqu’en 1773.

XVIe – XVIIIe siècles

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Pendant les guerres de Religion (1562-1598), la ville est pillée par l'armée de Pardaillan et Saint-Cyr[réf. nécessaire].

La communauté villageoise de Lury est touchée par la crise démographique du début du XVIIIe siècle, passant de 80 feux en 1709 à 67 en 1726[19]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de fortes pertes, ainsi que la canicule de 1719, qui tue beaucoup de gens par dysenterie[20].

Époque contemporaine

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En 1790, au début de la Révolution française, la paroisse de Lury devient une commune du département du Cher, chef-lieu de canton du district de Vierzon.

De 1847 à 1980, Lury partage avec la commune voisine de Chéry une gare (située dans la commune de Chéry) sur la ligne reliant Orléans à Montauban (Compagnie du Centre à l'origine).

D’importants travaux d’aménagements sont entrepris, comme la construction d’une route, d’un pont et d’une nouvelle église.[réf. nécessaire]

La commune est un site inscrit depuis 1975[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
septembre 1979 2008 Yves Chaumeau SE  
mars 2008 mai 2020 Jean-Claude Fagot SE  
mai 2020 En cours Maxime-Le Gall LFI  

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 661 habitants[Note 2], en évolution de −3,08 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
486497501554560645644725730
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
748784861870860903914857829
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
802796814713749694689704672
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
613612528566644671711700674
2014 2019 2021 - - - - - -
688659661------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Paul, XIXe siècle, de style gothique.
  • Le rond de fées de la justice date de l'époque celtique, au lieu-dit Charasse, où l'on peut voir aussi une source dite sacrée qui ne tarit jamais, abritée par une pierre celtique ou druidique.
  • Un puits en pierre, près de la vieille église, date du Moyen Âge.
  • Le donjon : entouré par l'eau de l'Arnon, il a été édifié au début du XIe siècle par Arnaud Ier. L'accès au donjon se fait au-dessus de la salle des gardes par une large porte en plein cintre, depuis le rempart de la cité ; le petit pont-levis, relevé, se loge dans l'épaisseur du mur. Les trois étages ont été détruits par les armées anglaises de Richard Cœur de Lion et du Prince Noir.
  • Portes fortifiées du XIIe siècle, dans le bourg.
  • Le Berougasse, adresse incontournable de la commune. Le Baron de Thiel a l’habitude de s’y rendre avec sa cour.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Lury-sur-Arnon Blason
De sinople à la porte fortifiée du lieu d'argent maçonnée, ouverte du champ, posée sur une champagne d'azur, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or, bordé en chef et en flancs d'une bordure engrêlée cousue de gueules.
Détails
D'après le dessin de Pascal Vagnat.

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Bibliographie

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  • Cédric Gourin, Le Canton de Lury-sur-Arnon, Editions Alan Sutton, coll. "Mémoire en images", 126 p. (cartes postales et photographies des neuf communes du canton, avec commentaires).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Lury-sur-Arnon et Quincy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Quincy » (commune de Quincy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Quincy » (commune de Quincy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vierzon », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lury-sur-Arnon », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique, 2/2007 (n° 114), p. 169.
  20. Zeller, op. cit., p. 145 et 153
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Jean Giraudoux, Suzanne Giraudoux, Brett Dawson, Lettres à Suzanne : 1915-1943, Paris, Grasset, , 463 p. (ISBN 2246701716 et 9782246701712, lire en ligne), p. 389.