Léglantiers

Léglantiers
Léglantiers
L'église Saint-Éloi.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Julien Bonnement
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60357
Démographie
Population
municipale
553 hab. (2021 en évolution de −0,54 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 48″ nord, 2° 32′ 07″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 122 m
Superficie 7,78 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Léglantiers
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Léglantiers
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Léglantiers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Léglantiers
Liens
Site web https://www.mairiedeleglantiers.com/

Léglantiers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Léglantiers est un village rural du plateau picard, situé entre Clermont et Montdidier.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Paris, dans la zone d'emploi de Creil et dans le bassin de vie de Saint-Just-en-Chaussée[I 1].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Angivillers, Montiers, Pronleroy, Ravenel et Saint-Martin-aux-Bois.

Communes limitrophes de Léglantiers
Ravenel Saint-Martin-aux-Bois
Léglantiers Montiers
Angivillers Pronleroy

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 7,78 km2 ; son altitude varie de 77 à 122 mètres[1].

Louis Graves indique en 1839 qu'il s'agit d'une « commune assez grande, dont le territoire fort tourmenté, à périmètre ovale. [...]
Trois ravins divisent de l'ouest à l'est son étendue. On n'y trouve ni ruisseau ni source [...]
Le chef-lieu est placé entre deux vallons ; il présente une agglomération assez considérable, ayant deux larges rues et quelques ruelles. accessoires[2] »
.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Léglantiers[Note 1].

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie.

Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[3],[Carte 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 663 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Léglantiers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,2 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,2 %), forêts (8 %), zones urbanisées (3,8 %)[11].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 231, alors qu'il était de 222 en 2016 et de 209 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 93,4 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,9 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Léglantiers en 2021 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (1,3 %) par rapport au département (2,4 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Léglantiers en 2021.
Typologie Léglantiers[I 3] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 93,4 90,5 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,3 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 5,3 7 8,1

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Léglantiers est un village excentré des grands axes de circulation du secteur. Il est desservi par la RD 58 qui le relie à Saint-Just-en-Chaussée et à Estrée-Saint-Denis.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 662, 683, 6304 et 6342 du réseau interurbain de l'Oise[12].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lesglantier (vers 1231) ; Langlantier (vers 1231) ; Lesglentier (1238) ; Leglentier (1255) ; segneur de l'Esglentier (1260) ; Johannes de l'Eglentier (XIIIe) ; Hues de Lesglentier (1260) ; Colars del Englentier (1309) ; Esglantier (1317) ; l'Englentier (1331) ; Leglentiers (1348) ; l'Eglantier (1364) ; eccl. de Lenglantier (XVe) ; Lenglentier (1547) ; l'Esglentier (XVIe) ; l'Englantier Macissy (1667) ; l'Eglentier (1784) ; Léglantier (1840) ; Léglantiers (XIXe)[13].

De l'oïl esglantier, englantier « églantier »[14]

Ancien Régime

[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, Léglantiers fait partie du comté de Clermont[2]. Louis Graves indiquait en 1839 qu'il y avait autrefois« au nord-est du village, une forteresse qu'on appelait le château de Vienne ; on trouve encore des fondations dans le bois qui en a conservé le nom[2] ».

La ferme de Buzodon « était une propriété considérable appartenant à l'abbaye de Saint-Martin-aux-bois[2] ».

Révolution française et Empire

[modifier | modifier le code]

Léglantiers est en 1793 le chef-lieu d'un éphémère canton. E, 1801, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée avant d'intégrer en 1802 celui de Maignelay-Montigny, dont elle fera partiejusqu'au redécoupage cantonal de 2014 en France[1].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

En 1839, la commune est propriétaire d'une école et de quelquess terres labourables. On y trouvait une carrière et un moulin à vent. La population vivait de l'agriculture et comprenait des ouvriers charpentiers, menuisiers et maçons. Les femmes cousaient des gants[2].

De 1891 à 1948, le village est desservi par la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand, une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise[15],[16]. L'ancienne gare subsiste toujours.

Le village est bombardé durant la Première Guerre mondiale par l'aviation allemande, car plusieurs unités alliées, représentant cinquante officiers, 1 220 hommes et 350 chevaux, y stationnaient. Ces bombardements interviennent notamment du 15 au 19 juillet 1918[17]

À la fin de la Première Guerre mondiale, le village est traversé, notamment le , par des chars Schneider CA1 français montant au front[18], [19].

Au début de la Seconde Guerre mondiale, durant la bataille de France, un hôpital militaire français est aménagé dans la cave d'une ferme. Des allemands menacent d'y jeter des grenades, alors que des Tirailleurs sénégalais étaient soignés. Le médecin-officier du site parvient à les en dissuader[17]

Plus tard, le bombardier Martin B-26 Marauder no 42-96058 du 394th Bomb Group de l'United States Air Force (9th Air Force - 585th Bomb Squadron) basé à Boreham, dans l'Essex, de retour d'une mission de bombardement le sur le nœud ferroviaire de Creil préparant le Débarquement de Normandie, est abattu au-dessus du village. Le capitaine Joy, le 2nd Lt Johnson et le S/Sgt Maynard, blessés, sont capturés par les Allemands et l'opérateur-radio S/Sgt Louis I. Watts, le navigateur/bombardier Sgt William L. Edge et le mitrailleur arrière le soldat Joseph J. Houlihan ont été aidés par la population pour s'évader de France[20].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise[I 1].

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Maignelay-Montigny[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes du Plateau Picard[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1962   Maurice André Bonnement[Note 3]    
         
mars 1983 mars 2001 Stanislas Pédiac[22] PS éducateur spécialisé
mars 2001 2011[23] Éric Danne DVD[24] fonctionnaire de police
Démissionnaire
octobre 2011[25] En cours
(au 30 novembre 20234)
Julien Bonnement   agriculteur
Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27]

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI), qui regroupe La Neuville-Roy, Léglantiers, Pronleroy, Wacquemoulin et Montiers et est géré par le syndicat scolaire « Les Hirondelles[28] », et qui accueille en 2018 270 écoliers scolarisés dans 11 classes de double niveaux réparties dans quatre écoles. Soixante enfants sont accueillis dans deux structures périscolaires, à La Neuville- Roy et Léglantiers.

Le syndicat scolaire a décidé de réaliser une école unique pour les 5 villages, constituant donc un regroupement pédagogique concentré (RPC) à La Neuville-Roy comprenant notamment 12 salles de classe, deux salles de repos, des locaux administratifs, ainsi que des espaces mutualisés comme la bibliothèque, une salle périscolaire, une salle de motricité. La cantine est prévue pour accueillir 50 couverts dans deux salles et jusqu'à 200 convives en deux services.

Ce projet, envisagé dès 2006[29], voit le début de la construction en pour une livraison en mars 2020[30].

Le coût du projet conçu par Christophe Giraud et Christophe Fournier, du cabinet ADD d'Ons-en-Bray, est évalué à 5,2 millions d'euros, financé par une subvention départementale de 1,78 M€, l'État (1,1 million d'euros), le conseil régional (675 767 €) et la CAF de l'Oise (90 000 )[31],[32].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 553 habitants[Note 4], en évolution de −0,54 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
408423421447444455443443444
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
453455447449448421423401363
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
374358369326371350364345297
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
329331312338371434452514556
2015 2020 2021 - - - - - -
556551553------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 290 hommes pour 261 femmes, soit un taux de 52,63 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,1 
2,8 
75-89 ans
5,4 
10,7 
60-74 ans
12,3 
17,6 
45-59 ans
20,7 
23,4 
30-44 ans
21,1 
17,9 
15-29 ans
16,9 
27,6 
0-14 ans
22,6 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Éloi Logo monument historique Inscrite MH (1927, Le choeur et le clocher)[38] du XVe siècle.
    À la suite de l'affaissement de la voûte de l'édifice et à de dangereuses chutes de pierres, l'église est fermée en 2001, et fait l'objet d'une restauration qui permet sa réouverture en 2015[39].
  • Chapelle Saint-Sauveur, dans le cimetière communal.
  • Monument aux morts[40].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Philippe Bonnet-Laborderie, Découvrir l’Oise…le canton de Maignelay, Groupe d’Etude des Monuments et Œuvres d’Art de l’Oise et du Beauvaisis (GEMOB), 1993, p. 69-71

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]
  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Maurice André Bonnement a été maire de la commune pendant 42 ans et président du club de football pendant de nombreuses années[réf. nécessaire]
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Léglantiers » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Maignelay, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), sur Google Livres.
  3. « Fiche communale de Léglantiers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Léglantiers et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Transports en commun à Léglantiers », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  13. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 305.
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes, formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1233.
  15. Couronnel, « Aux confins de l'Île-de-France et de la Picardie, la ligne à voie métrique de Saint-Just-en-Chaussée à Froissy », La Vie du Rail, no 787,‎ , p. 3-6.
  16. Claude Wagner, Voies métriques en Picardie : Histoire des voies ferrés d'intérêt local dans l'Oise, Auray, Éd. LR Press, , 280 p. (ISBN 978-2-903651-74-9)
  17. a et b Lucien Djani, « À Léglantiers, une marche pour le souvenir », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. Section photographique de l'armée, « Photo : Léglantiers. Petit char d'assaut Schneider montant en ligne », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  19. Section photographique de l'armée, « Photo : Léglantiers. Petit char d'assaut Schneider montant en ligne », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  20. « 10 mai 1944 - Martin B-26 “Marauder” # 42-96058 - 394th Bomb Group - 585th Bomb Squadron - 9th Air Force - Léglantiers (Oise) », Aviateurs, sur 2017, Association des Sauveteurs d'Aviateurs Alliés (consulté le ).
  21. « Les maires de Léglantiers », sur francegenweb.org (consulté le ).
  22. « Monsieur Stanislas PEDIAC », Avis de décès, sur https://www.libramemoria.com/, (consulté le ).
  23. « Scrutins à Léglantiers et Avrechy dimanche », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
  25. « Julien Bonnement élu maire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est le premier adjoint, Julien Bonnement, qui a été désigné pour cette fonction avec 10 voix sur les 14 présents. Agé de 30 ans, cet agriculteur est marié et a deux enfants. Il est entré au conseil municipal en 1999 et a été président du club de football local de 2003 à cette année ».
  26. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Ils sont vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283,‎ , p. 20.
  27. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  28. Site du SIRS Les Hirondelles
  29. « Un projet de regroupement scolaire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Lucien Djani, « Les élèves testent les nouveaux locaux du regroupement pédagogique à La Neuville-Roy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « C'est parti pour la future école de la Neuville-Roy », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Céline Sol, « La première pierre est posée  : L'école ouvrira fin 2019 : Cinq communes se sont unies pour construire un groupe scolaire de plus de 2 200 mètres carrés », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3520,‎ , p. 15.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Léglantiers (60357) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  38. « Église Saint-Éloi », notice no PA00114728, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Et l'église reprit vie… : Fermée au public depuis 2001, l'église Saint-Éloi s'apprête à reprendre vie grâce aux efforts conjugués de l'association de sauvegarde et de la mairie », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Léglantiers (60420) », Les monuments aux morts - France, Belgique et autres pays, (consulté le ).