Lésigny (Seine-et-Marne)

Lésigny
Lésigny (Seine-et-Marne)
L'hôtel du golf Lésigny-Réveillon.
Blason de Lésigny
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Torcy
Intercommunalité Communauté de communes Les Portes Briardes Entre Villes et Forêts
Maire
Mandat
Michel Papin
2020-2026
Code postal 77150
Code commune 77249
Démographie
Gentilé Lésigniens
Population
municipale
7 102 hab. (2021 en évolution de −3,12 % par rapport à 2015)
Densité 708 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 42″ nord, 2° 37′ 00″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 121 m
Superficie 10,03 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ozoir-la-Ferrière
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Liens
Site web lesigny.fr

Lésigny est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

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Localisation

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Lésigny est situé à environ 22 km à l'est de Paris.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Lésigny
La Queue-en-Brie
(Val-de-Marne)
Pontault-Combault Ozoir-la-Ferrière
Santeny
(Val-de-Marne)
Lésigny Férolles-Attilly
Servon

Hydrographie

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Le système hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 2,27 km[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mandres-les-Roses à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Lésigny comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 1],[11],[Carte 1] :

et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[11], les « Bois Notre-Dame, Grosbois et de la Grange » (3 410,1 ha), couvrant 15 communes dont 4 en Seine-et-Marne, 2 dans l'Essonne et 9 dans le Val-de-Marne[15].

Bordé au nord par la RN 4 et au sud par la RN 19, Lésigny est traversé depuis les années 1980 par la Francilienne, qui devait à l'origine séparer la ville en deux parties.

La population se mobilise alors contre ce projet, l'émission de télévision La France défigurée traitant de ce sujet. Le projet de construction est refusé en réunion publique par le conseil municipal présidé par son maire, Jean Magne ; ce refus conduit à un conflit entre le préfet de Seine-et-Marne et les élus de la ville de Lésigny. Le conseil municipal démissionne et des élections sont alors tenues, puis le projet est soumis aux nouveaux élus. Après quelques modifications du tracé, dont le passage en souterrain à proximité du Vieux Village, le projet est accepté. La Francilienne est alors construite et elle est opérationnelle depuis début 1980.

Au niveau des transports en commun, les lignes 10, 14 et 200 du réseau de bus Pays Briard desservent la commune. Le car de la Ville assure des rotations sur le territoire de la commune qui sont principalement destinées aux enfants se rendant à l'école ou sur les terrains de sports.

Une ligne à haute tension, le long du Bois Notre-Dame, et un gazoduc à haut débit traversent la commune.

Au , Lésigny est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[18]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

Le quartier du Parc de Lésigny.

Le Vieux Village briard constitue l'élément central de la commune.

Au nord-est du Vieux Village : la Pomme Verte, le Clos Saint-Yon, la Pomme Rouge, Villarceau, les Jardins de Saint-Marc (quartiers les plus récents, urbanisés entre 1989, 1993), le Clos Vimont (1969), la Grande Romaine (1968-1969) et une partie du Clos de la Vigne (1970) et du Clos Prieur (1970), les autres parties étant situées sur les communes de Férolles-Attilly et d'Ozoir-la-Ferrière.

Au sud-ouest du Vieux Village : l'Orée de Lésigny (1968), le Parc de Lésigny (1968) et le Réveillon (ex Ville-Jardin de Grattepeau) (1974).

Lésigny ne compte en 2017 que 9,4 % de logements sociaux, bien loin des 25 % requis par la loi SRU. De ce fait, la pénalité financière due par la commune quadruple en 2018, atteignant 383 773 [21]. La municipalité estime saisir toutes les opportunités pour créer des logements sociaux, que ce soit en réalisant une partie des logements prévus dans des opérations de construction en logements HLM, en rachetant le bâtiment du bureau de poste, dont le centre de tri est transformé en logements[22] ou en réaménageant l'ancien presbytère[23].

Occupation des sols simplifiée

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Le territoire de la commune se compose en 2017 de 60,06 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 12,25  % d'espaces ouverts artificialisés et 27,68 % d'espaces construits artificialisés[24]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Lisinni vers 1112[25] ; Lisegniacum au XIIIe siècle[26] ; Lezigny en Brie en 1529[27].

Lésigny en 1750.

La présence d'une villa gallo-romaine dans la zone dite « la Grande Romaine » laisse supposer que l'étymologie de Lésigny est due au nom du propriétaire romain Licinus qui y possédait un domaine.

L'abbaye Notre-Dame d'Hyverneaux et l'abbaye de Monthéty (1167) se partagent un temps le territoire communal, avant que l'abbaye de Monthéty, quelques décennies plus tard, ne cesse ses activités.

Vers 1170, la foire annuelle de Monthéty, dédiée à la Vierge de septembre, est instituée. Après la fermeture de l'abbaye de Monthéthy, elle passe sous l'autorité de l'abbaye d'Hyvernau. Elle connait alors une certaine importance et passe sous l'autorité, en 1797, de la commune voisine d'Ozoir-la-Ferrière.

La source « miraculeuse » dont l'eau avait depuis toujours guéri la fièvre se trouvait pourtant sur le territoire de Lésigny (confirmation du nouveau cadastre en 1809). Mais les protestations lésigniennes sont restées sans effets.

L'existence de la paroisse de Lésigny est reconnue, en 1386, avec la présence d'un curé officiant dans l'ancienne chapelle. Cette chapelle est remplacée par l'église actuelle, consacrée en 1523 par François de Poncher, évêque de Paris et fils de Louis de Poncher, secrétaire et trésorier du roi François Ier, lequel finance la construction de cette nouvelle église, qui conserve des éléments de l'ancienne chapelle. Il achète des terres à Lésigny en 1508 et lance la construction d'un château de style Renaissance en remplacement du vieux château médiéval cerné de douves[Note 6].

Le château de Poncher connaît une histoire agitée. Léonora Dori l'achète en 1613. Quatre ans plus tard, après l'assassinat de son époux, Concino Concini, maréchal d'Ancre, le château est confisqué et donné à Honoré Charles d'Albert de Luynes, favori de Louis XIII. Pendant la Fronde, il est le théâtre de véritables batailles qui occasionnent de graves dégâts. Restauré en partie, il perd ses tours en 1794 avant d'être vendu comme bien national en 1798. Le château de Poncher, appelé château de Lésigny, dont le parc souffre du passage de la Francilienne, est à nouveau restauré dans les années 1960 puis dans les années 1990.

La flèche du clocher de l'église a longtemps penché à droite quand on considère l'édifice de face. Le clocher est redressé juste avant la Première Guerre mondiale.

Une agence postale est inaugurée en 1924 peu avant l'arrivée de l'électricité en 1926. La commune abandonne son caractère purement champêtre à partir de 1968 en mettant en chantier des quartiers de zones pavillonnaires. Quatre écoles primaires (trois après fermeture de l'école de l'Orée) et un collège sont inaugurés entre 1969 et 1973. Avec la construction des nouveaux quartiers entre le village et Romaine, une nouvelle école est construite en 1989 en remplacement de celle de Grande Romaine.

En 1968, le promoteur immobilier américain William Levitt (en) y fait construire la Résidence du Parc, premier lotissement de France, « modèle de village périurbain », note Le Monde[28].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Lésigny se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l'arrondissement de Melun[29], elle intègre le l'arrondissement de Torcy afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités[30].

Elle fait partie depuis 1988 de la neuvième circonscription de Seine-et-Marne.

La commune faisait partie 1793 du canton de Brie-Comte-Robert[29] avant d'être rattachée au canton d'Ozoir-la-Ferrière dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité

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La commune fait partie de la communauté de communes Les Portes Briardes Entre Ville et Forêts, créée en 2010.

Tendances politiques et résultats

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Politique locale

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Le 19 janvier 2022, le conseil municipal compte 29 membres issus de l'unique liste d'union municipale[31].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792 M. Regnault    
1792 1800 M. Natraut    
1800 1815 M. Duvernay    
1815 1817 M. Rendu    
1817 1819 M. Miremont    
1819 1832 M. Boscary de Romaine   Agent de change
1832 1843 M. Archdéacon   Agent de change
Conseiller d'arrondissement
1843 1853 M. Boscary de Romaine   Agent de change
1853 1860 M. Hottinger    
1860 1865 M. Hache    
1865 1867 M. Delettre    
1867 1896 R. de Crèvecœur    
1896 1909 M. Vatin Perignon    
1909 1912 L. de Crèvecœur    
1912 1914 J. de Crèvecœur    
1914 1919 M. Godard    
1919 1939 M. Gérard    
1939 1945 M. Robert    
1945 1947 Célestin Lecour    
1947 1965 Robert Speitel    
1965 1966 Émile Laurent    
1966 1974 Jean Magne    
1974 2000 Maurice Mollard UDF-CDS Médecin anesthésiste-réanimateur
Conseiller régional d'Île-de-France (? → 2004)
mars 2000 mars 2014 Gérard Ruffin UDF puis UDI-NC Chef d'entreprise
Conseiller régional d'Île-de-France (2004 → 2010 puis 2011 → 2015)
mars 2014[33],[34] En cours Michel Papin UMP-LR Directeur de ressources humaines
2e vice-président de la CC Les Portes Briardes (2014 → 2020)
3e vice-président (2020 → )

Démocratie participative

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La commune s'est dotée d'un conseil municipal d'enfants[35].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

En 2021, la commune comptait 7 102 habitants[Note 7], en évolution de −3,12 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
439323297349381368389374394
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
406396398415415405431383418
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
401400350311304260254207339
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
3153626 5727 1147 8657 6477 5717 5367 421
2018 2021 - - - - - - -
7 1577 102-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lésigny est une commune qui comptait 375 habitants en 1968, date des mises en chantier de résidences, essentiellement pavillonnaires.

Ville résidentielle, Lésigny est en 2007 la 42e commune la plus riche de France par ménage (sur 36 783 communes françaises) : le revenu moyen par habitant s'élève à 39 034 , d'après une enquête de l'Insee[39].

Logo du club sportif de l'USC Lésigny.

Lésigny dispose sur son territoire d'un parcours de golf 27 trous, de cinq terrains de football, d'un gymnase, d'une salle polyvalente, de huit courts de tennis publics, dont quatre couverts, et douze courts de tennis privés. L'Union sportive et culturelle de Lésigny, le club omnisports de la ville, regroupe presque toutes les sections sportives de Lésigny.

Lésigny ne dispose pas d'installations permettant l'organisation de compétitions en athlétisme, ainsi qu'en natation malgré la présence de trois grandes piscines d'agrément sur le territoire de la commune (Parc, Orée et Grande-Romaine).

Le cheval tient une place importante à Lésigny avec deux haras et deux pistes de saut d'obstacles (Bourbonderie et Entre-Deux-Parcs). La promenade à cheval est très pratiquée sur le territoire de la commune.

Deux petits lacs en vallée du ru de la Ménagerie permettent de pratiquer la pêche.

L'équipe de football Poussins de Lésigny parvient en finale de la Coupe de Paris 1976, où elle perd sur le score de 0-1.

Résidentielle, Lésigny n'a jamais mis en place de zone industrielle. Les principales activités économiques de la ville sont le commerce et le tourisme. Plusieurs zones commerciales de proximité et deux hôtels de luxe assurent l'essentiel de cette activité.

Deux grandes fermes (Bourbonderie et Villarceau) perpétuent la tradition agricole de la commune en exploitant encore de vastes parcelles de céréales sur le territoire communal.

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 52 645 , ce qui plaçait Lésigny au 177e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[40].

Culture locale et patrimoine

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Rond-point de la Fontaine.
Vue de la façade Nord du château de Lésigny.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Lésigny dans les arts

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Les films suivants ont été tournés dans la commune[réf. nécessaire] :

au château de Lésigny

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au Parc de Lésigny

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à l'Orée de Lésigny

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au haras de Maison Blanche

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au Réveillon

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  • Publicité Jeunes et illimités

au centre commercial

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Héraldique

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Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
d’azur au pal d’or chargé d’un lion de gueules armé, lampassé et couronné du champ, accosté de six fleurs de lys et de quatre besants, le tout aussi d’or, ordonnés intercalées en deux pal.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Lésigny », p. 113–114
  • Guerreau, Monographie de Lésigny, 1889 (AD77 : MDZ1199)
  • Réne-Charles Plancke, Brie-Comte-Robert et le Val d'Yerres à la Belle Époque, Le Mée sur Seine, Amattéis, 1993

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les documents concernant l'ancien château de Lésigny n'ont pas été retrouvés
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Zones ZNIEFF de Lésigny » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..

Références

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  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Reveillon ((F48-0400)) ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Ru de la Menagerie (F4850600) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commune de Lésigny (F4860650) ».
  4. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 3 janvier 2019
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Lésigny et Mandres-les-Roses », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Lésigny », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF « La Friche de la Grésille » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF « Les Landes de l'Amant » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF « Les Mares du Bois du Pendu » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF les « Bois Notre-Dame, Grosbois et de la Grange » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Lésigny ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. Pascale De Souza, « Lésigny : « Je ne suis pas un maire réfractaire au logement social », plaide Michel Papin : La commune est fortement pénalisée pour ne pas respecter le quota minimum de 25 % de logements sociaux. Le maire Michel Papin (LR) assure pourtant faire des efforts pour rattraper son retard, projets immobiliers à l’appui », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. P. D.S., « Lésigny va acheter le bâtiment de la Poste pour le lui louer », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Pascale De Souza, « Lésigny. Des logements sociaux aménagés dans l’ancien presbytère », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
  25. Cartulaire de N.-D. de Paris, I, 379.
  26. Archives nationales, LL 46, fol. 62.
  27. Archives nationales, S 1174.
  28. Fanny Taillandier, « Lésigny, c'est l'Amérique », M, le magazine du Monde, semaine du 18 octobre 2014, p. 66-70.
  29. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. « Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01,‎ , p. 11-23 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  31. « Résultats élections municipales 2020 : Lésigny | Le Télégramme », sur elections.letelegramme.fr (consulté le ).
  32. « Les maires de Lésigny », sur francegenweb.org (consulté le ).
  33. Nicolas Sivan, « Michel Papin vise la continuité à Lésigny », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Michel Papin (UMP), actuel 1er adjoint au maire, est pour l’instant le seul candidat déclaré au scrutin qui aura lieu les 23 et 30 mars prochains. Adoubé par Gérard Ruffin, le maire sortant (UDI), il se présente à la tête d’une liste « d’union municipale ».
  34. « Lésigny 77249 », Données du Monde, sur lemonde.fr (consulté le ).
  35. « Quand les enfants prennent le pouvoir : Le samedi 13 février s’est déroulé le conseil municipal d’enfants de Lésigny, dédié à la présentation des projets retenus pour cette mandature », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. lexpress.fr, en juin 2007
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