Maisoncelles-en-Brie | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Meaux | ||||
Intercommunalité | CA Coulommiers Pays de Brie | ||||
Maire Mandat |
Cédric Thomas 2020-2026 |
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Code postal | 77580 | ||||
Code commune | 77270 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Maisoncellois | ||||
Population municipale |
958 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 51′ 48″ nord, 2° 59′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 119 m Max. 157 m |
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Superficie | 13,57 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Coulommiers | ||||
Législatives | 5e circonscription de Seine-et-Marne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | maisoncelles-en-brie.fr | ||||
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Maisoncelles-en-Brie (prononcé [mɛ.zɔ̃.ˈsɛ.l‿ɑ̃ ˈbʁi]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Maisoncelles-en-Brie est un village périurbain situé sur le plateau agricole de la Brie jouxtant le bourg de Crécy-la-Chapelle, à environ 11 kilomètres au nord-ouest de Coulommiers, et 15 kilomètres au sud-est de Meaux[Carte 1].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,06 km[5].
L'ensemble se rejette dans le Grand Morin, sous-affluent de la Seine par la Marne.
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].
La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[8].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mouroux à 6 km à vol d'oiseau[11], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,3 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].
Au , Maisoncelles-en-Brie est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[19]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,3% ), forêts (5,4% ), zones urbanisées (4,3 %)[22].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23],[24],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvé le et porté par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[25].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[26]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
La commune compte 50 lieux-dits administratifs[Note 2] répertoriés consultables ici[27] (source : le fichier Fantoir) dont Ferme du Chemin, Cerqueux, Mont-Besnard, Mongodefroy, Roise, Méroger.
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 351 dont 94,3 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 5 % d'appartements[Note 3].
Parmi ces logements, 91 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 6 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,3 % contre 8,6 % de locataires et 3,1 % logés gratuitement[28].
La commune est tangentée au sud par l'ex-RN 34 (actuelle RD 934) et est aisément accessible par l'A4 (sortie No 16 via Crécy la Chapelle) et la D 28 vers Meaux.
La commune est desservie par les lignes du réseau de bus Brie et 2 Morin :
La station la plus proche est la gare de Crécy-la-Chapelle, terminus d'une ligne tram-train la reliant Crécy-la-Chapelle où les voyageurs peuvent prendre les trains de la relation Paris - Meaux de la ligne P du Transilien.
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Mansiunculae en 1154[29] ; Ecclesia de Maisunciles en 1171[30] ; Mesonceles en 1227[31] ; Maisuncellae vers 1240[32] ; Mesoncelles en 1249[33] ; La vile de Mesoncelles en 1271[34] ; Mesuncellae en 1275[35] ; Mesoncelles en Brie, 1289[36] ; Decima de Domunculis en xiiie siècle[37] ; Mesoncelles in Brya et Maisonselles en 1366[38] ; Domuncule en 1513[39] ; Maison Selles en 1539[40] ; « Le chasteau et ferme de Maisoncelles » en 1710[41] ; Maisonselle en 1717[42] ; Maisoncelles en Brie en 1786[43].
Du latin mansionicella, « petite demeure ». Probablement une déformation de l'oïl maisoncele « petite maison, cellule d'ermite »[44].
Il est plus que probable, à la suite de divers travaux de recherches de plusieurs historiens, que le philosophe Pierre Abélard a bel et bien séjourné et écrit à Maisoncelles. Dans son ouvrage sur Maisoncelles en Brie, l'historien Gabriel du Chaffault démontre cette affirmation s'appuyant, en particulier, sur le fait établi que la commune a été très liée à l'abbaye royale de Saint-Denis. La seigneurie de Maisoncelles est en effet cédée aux moines de Saint-Denis par une charte en l'an 675. Et Abélard s'est réfugié dans une de ses dépendances à quelques heures de marches de Lagny ! Cependant, l'historien Mickael Wilmart a remis en cause cette hypothèse[45].
En , l'école primaire Abélard est inaugurée. Elle accueille trois salles de classe, une salle consacrée aux nouvelles technologies (classe mobile, tableau numérique, etc.). L'école prend sa place dans un RPI regroupement pédagogique avec deux classes à Giremoutiers et une à La Haute Maison.
En , de nouveaux travaux, dans le prolongement de l'école Abélard, donnent naissances à une restauration scolaire et un accueil périscolaire (qui fonctionne avec la communauté de communes de la Brie des Templiers).
L'ensemble "école - restauration scolaire - mairie" ouvre un bel espace face à l'église Saint-Sulpice : la future place Héloïse (?). Plus tard, l'accès à la mairie devrait se faire par cette place, avec une installation des bureaux au rez-de-chaussée.
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Meaux du département de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Coulommiers[46]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Coulommiers
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.
Maisoncelles-en-Brie est membre de la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [50],[51].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Maisoncelles-en-Brie est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution[52],[53],[54].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[55]. La communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[52],[56].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [52],[57],[58].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[59].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[61].
En 2021, la commune comptait 958 habitants[Note 4], en évolution de +10,75 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble Maisoncelles-en-Brie, La Haute-Maison et Giremoutiers.
Les bâtiments scolaires de Maisoncelles-en-Brie accueillent en 2020-2021 les enfants des classes maternelles et de CP – CE1[63].
Concernant les activités sportives, Maisoncelles dispose d'un club de football : le FCM, surnommé "Les oies sauvages de la Brie" (le plus petit d'île de France[réf. nécessaire]) très actif sur les réseaux sociaux et véritable pionnier dans l'art du trashtalk seine et marnais, d'un terrain de tennis ainsi que d'un centre équestre[64]
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 314, représentant 849 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 450 euros[65].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 153, occupant 416 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77,1 % contre un taux de chômage de 5 %. Les 17,9 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 7,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,8 % de retraités ou préretraités et 3,3 % pour les autres inactifs[66].
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 54 dont 4 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 11 dans la construction, 12 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans les activités financières et d'assurance, 9 dans les activités immobilières, 11 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, et, 5 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale[67].
En 2019, 14 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 7 individuelles.
Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[68].
La petite commune ne compte pas beaucoup de commerces. On peut y trouver un garage automobile, un menuisier, une pizzeria, une entreprise de staff (décorations et ornements en plâtre) et, depuis , un multi-services (avec dépôt de pains et d'autres services...). Maisoncelles-en-Brie a en effet racheté un bâtiment près de l'école, de la mairie et de l'église dans lequel est désormais installé ce commerce. En , un bar brasserie ouvre à proximité immédiate du multi-services.
Maisoncelles-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 5] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[69].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[70]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 13 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 97 ha en 1988 à 174 ha en 2010[69]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Maisoncelles-en-Brie, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
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Dimension économique[69],[Note 6] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 13 | 8 | 7 |
Travail (UTA) | 23 | 11 | 10 |
Surface agricole utilisée (ha) | 1 262 | 1 161 | 1 221 |
Cultures[71] | |||
Terres labourables (ha) | 1 190 | 1 119 | 1 158 |
Céréales (ha) | 675 | s | 734 |
dont blé tendre (ha) | 538 | 537 | 575 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 115 | 150 | s |
Tournesol (ha) | 74 | ||
Colza et navette (ha) | 95 | s | s |
Élevage[69] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 7]) | 176 | 41 | 48 |