Mandres-la-Côte

Mandres-la-Côte
Mandres-la-Côte
Blason de Mandres-la-Côte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Haute-Marne
Arrondissement Chaumont
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Chaumont, du Bassin Nogentais et du Bassin de Bologne Vignory Froncles
Maire
Mandat
Isabelle Lardin
2020-2026
Code postal 52800
Code commune 52305
Démographie
Gentilé Mandrins
Population
municipale
561 hab. (2021 en évolution de +8,93 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 47″ nord, 5° 20′ 09″ est
Altitude 402 m
Min. 367 m
Max. 443 m
Superficie 11,3 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Chaumont
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nogent
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Mandres-la-Côte
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Mandres-la-Côte
Géolocalisation sur la carte : Haute-Marne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Marne
Mandres-la-Côte
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Mandres-la-Côte
Liens
Site web www.mandres-la-cote.fr

Mandres-la-Côte est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Les habitants de Mandres-la-Côte sont appelés les Mandrins et Mandrines. La commune s'étend sur 11,3 km2 et compte 521 habitants en 2014. Avec une densité de 48 habitants par km2, Mandres-la-Côte a connu une nette hausse de 30,4 % de sa population par rapport à 1999. L'église découverte au croisement de deux rues principales reste le point central du village. L'alignement des maisons le long des trois rues principales offre la variante de village rue Y (Y barré). Les parcelles constituant le village présentent dans le sens de la longueur verger, jardin, bâti, rue. La voie romaine de Langres à Naix (Meuse) traverse son territoire (approximativement la route actuelle Nogent ↔ Ageville). Il est traversé par la route départementale no 1, axe important reliant la région parisienne et le Sud de la France. Entourée par les communes de Sarcey, Lanques-sur-Rognon Biesles et Nogent, Mandres-la-Côte est située à 4 km de Nogent (cité de la coutellerie), à 18 km de Chaumont (préfecture) et 18 km de Langres (classée ville d'art et d'histoire, notamment grâce à ses remparts spectaculaires, et membre des associations ville fleurie et ville internet).

Communes limitrophes de Mandres-la-Côte
Biesles Ageville Lanques-sur-Rognon
Sarcey Mandres-la-Côte
Nogent
Vue d'ensemble de Mandres-la-Côte.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le ruisseau de Moiron, le ruisseau du Pecheux et le ruisseau du Vechet[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Mandres-la-Côte[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang du Vau (2,9 ha)[Carte 1],[2].

L'étang du Vau à Mandres la Côte.
Mandres-la-Côte en hiver et ses virages.

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 981 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Is-en-Bassigny », sur la commune d'Is-en-Bassigny à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,3 °C, atteinte le [Note 2],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Mandres-la-Côte est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chaumont, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,7 %), forêts (30,8 %), zones urbanisées (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), prairies (1 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Attestée sous la forme Villa Mandris en 1160, Mandres in Ornois en 1230, Mandres en 1239, Manres vers 1252, Decima de Mandris en Ornois 1256, Mandres en Ournois 1273, Manre 1326, Mandre 14e siècle, Mande 1436, Mandres en 1769 et en 1925 Mandres devient Mandres-La-Côte.

Mandres (cabane, bergerie) était à son origine un groupe de maisons de pasteurs, petit établissement religieux à tendance agricole.

Mandres apparaît dans l'histoire, vers 1160, dans la charte de l'évêque de Langres au sujet des donations faites à l'abbaye de la Crête par Albéric de Prey et portant sur les droits d'usage de pâture sur le territoire En 1230, Raoul étant sur le point d'entrer dans l'ordre du Val-des-Écoliers donna à ce monastère une partie des dîmes de Mandres. Lors d'un différend en 1364 entre les seigneurs de Vergy et d'Aigremont, Huart de Mandres est mentionné comme témoin. La charte d'affranchissement des habitants de Perrusse en 1373 voit Guillaume Cuisse de Mandres comme tabellion. En 1789, Mandres dépendait de la province de Champagne, bailliage de Chaumont, prévôté de Nogent-le-Roi, élection de Langres. Son église, dédiée à la Nativité de la Sainte Vierge, était du diocèse de Langres, doyenné d'Is-en-Bassigny. La présentation de la cure appartenait au chapitre de Langres.

Lors de la grande guerre en décembre 1918 , les troupes américaines basées à Mandres ont reçu la visite du président des États-Unis , Woodrow Wilson .

Deux changements de nom de Mandres-la-Côte (Villa Mandris (1160)) ont été référencés au cours de l'histoire de la commune :

  • 1793 : Mandres ;
  • 1925 : Mandres-la-Côte.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1808 1816 Etienne Lambert    
1816 1818 Nicolas Parisot    
1818 1834 Hilaire Legros    
1835 1840 Pierre Legros    
1840 1851 Joseph Voillequin    
1851 1861 Nicolas Didier    
1862 1870 Pierre Nicolas Didier    
1870 1871 Joseph Félix Bruant    
1871 1876 Nicolas Léon Thourot    
1876 1887 Félix Bruant    
1887 1888 Auguste Didier    
1888 1895 Léon Thourot    
1895 1903 Jean Baptiste Gruot    
1904 1919 Félicien Lambert    
août 1919 décembre 1919 Nicolas Vaugien    
1919 1954 Albert Moussu    
1954 1958 Claude Louarn    
1958 1959 André Lemoine    
1959 1967 René Ravier    
1967 1977 André Jacques    
1977 1983 Roger Horiot    
1983 1988 Anne-Marie Legros    
1988 2020 Gilbert Georgemel    
2020 en cours Isabelle Lardin    

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

En 2021, la commune comptait 561 habitants[Note 4], en évolution de +8,93 % par rapport à 2015 (Haute-Marne : −4,53 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
308295354352492511522570537
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
563590602615611594590571555
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
541555562486480486440420462
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
498472420402392418501525522
2018 2021 - - - - - - -
549561-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique
Fabrique de gants ( Tréfousse ) en 1912.

À partir du milieu du XVe siècle, l'industrie de la coutellerie, gagne le bassin nogentais et les maisons se transforment en petits ateliers. Les mandrins devenant des manouvriers, Mandres connaît le travail à domicile. Les ciseliers et polisseurs travaillent pour les industriels de Nogent, leurs épouses sont aussi gantières pour la ganterie « Tréfousse » (de Chaumont). À l'atelier de Mandres, elles piquaient ou surgetaient les pièces de façon à obtenir des paires de gants. Dans les années 1935/40, l'atelier a regroupé jusqu'à 20 personnes, mais à la fin des années 1960 la ganterie est sur le déclin. Après Grenoble (autre cité réputée pour sa ganterie), Chaumont est aussi touchée par la crise. L'atelier de Mandres travaillera sur des modèles de peau et laine, mais réduit à 5 ou 6 personnes, la ganterie fermera en .

En 1914, on comptait 130 artisans et ouvriers ciseliers, 18 cultivateurs.

En 1972, il restait une boulangerie, 2 épiceries, 1 coopérative, 1 café, 1 plâtrier, 1 peintre, 2 garagistes, 7 artisans ciseliers et 9 cultivateurs.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église de Mandres (coté Est)
Église paroissiale Notre-Dame-en-sa-Nativité

L'ancienne église datait du XVe siècle. Elle a été reconstruite en 1820 sur l'emplacement de la première. En démolissant l'ancienne, un vase de terre rempli d'un grand nombre de pièces d'or et d'argent du XVe siècle fut trouvé sous les voutes. Ce trésor fut probablement caché là pendant les malheureuses guerres du règne de Charles VI. On y remarque une Vierge à l'enfant en polychrome du XVe siècle. Au mois de ,

l'Impératrice Eugénie, femme de l'empereur Napoléon III a fait don d'une croix et de 6 chandeliers à l'église de Mandres. Lors de la démolition du vieux cimetière, des pierres tombales ont été utilisées comme seuil de porte ou marche d'escalier.

Vue depuis le parvis de style Empire de la fin du néo-classicisme, la nouvelle architecture ressemble à un temple antique. Les 6 grandes baies pratiquées dans les murs en juillet 1889 laissent supposer, en ce qui concerne les sculptures découpant chaque vitrail, l'influence du style gothique.

Le lavoir

Il a été construit en moellons équarris du pays en 1875. Mais attardons nous sur ses beaux piliers de pierre et sur les corbeaux qui soutiennent les entraits de la charpente. Il couvre un lessivoir et sa façade est ouverte côté est.

Le musée « La ferme d'antan »

Au cœur d'une ferme haut-marnaise on y retrouve l'ambiance de la Champagne rurale traditionnelle des années 1900. On y découvre la vie quotidienne, les gestes et le dur labeur de nos ancêtres au rythme des saisons. Les métiers du monde rural y sont représentés : garagiste, charron, couvreur, lavandière, apiculteur, sabotier...

Le musée « C'était hier »

Espace dédié au souvenir manouvrier, où l'on retrouve le ciselier traditionnel fabriquant des ciseaux dans son atelier. Sa femme dans l'autre pièce y confectionne des gants. Dans la grange, on y trouve des outils du XIXe siècle. À l'étage se trouve une reconstitution d'une salle de classe avec des photos de classe.

L'étang du Vau : étang privé

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Mandres-la-Côte Blason
D'azur à la bande d'or accompagnée de neuf billettes du même, cinq en chef et quatre en pointe ordonnées 2, 1 & 1[20].
Détails
Inspiré des armes de la famille de Mandres, qui portait sept billettes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Mandres-la-Côte » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2024).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Fiche communale de Mandres-la-Côte », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Mandres-la-Côte et Is-en-Bassigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Is-en-Bassigny », sur la commune d'Is-en-Bassigny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Is-en-Bassigny », sur la commune d'Is-en-Bassigny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Mandres-la-Côte ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chaumont », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. « 52305 Mandres-la-Côte (Haute-Marne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Émile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne. Dictionnaire géographique, statistique, historique et biographique de ce département, Chaumont, 1858. Réédité. Disponible en ligne :La Haute-Marne ancienne et moderne
  • Mandres La Côte - village rural (AFR)
  • Alphonse Roserot, Dictionnaire topographique du département de la Haute-Marne, 1903

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]