Manon Barbeau est nommée Fellow d'Ashoka en 2009, reçoit le prix Reconnaissance UQAM en 2010, le prix Excellence TELUS et le prix Femme d'affaires du Québec/OBNL en 2012. Elle est nommée officière de l'Ordre national du Québec en 2014[2] et reçoit également le prix Albert-Tessier en 2014, la plus haute récompense en matière de cinéma au Québec. Elle est présidente de l’Observatoire du documentaire du Canada de 2006 à 2008 et siège à titre de présidente de Culture Montréal. En , Manon Barbeau reçoit la nomination à titre de membre de l'Ordre du Canada[3] par son excellence le très honorable David Johnston, gouverneur général du Canada[4]. Elle est également nommée Mentore Trudeau 2017 par la Fondation Pierre Elliott Trudeau[5].
En 2017, elle est nommée chevalière de l'Ordre de Montréal pour son parcours cinématographique et son implication sociale[6].
L'année 2018 est tout aussi prolifique : l'Ordre des arts et des lettres du Québec, la médaille hommage du 50e anniversaire du ministère des Relations internationales et de la Francophonie (MRIF) afin de « souligner la contribution au rayonnement international du Québec, notamment grâce au projet de studios ambulants Wapikoni mobile »[7]. Elle reçoit aussi le prix Unesco - Madanjeet Singh pour la promotion de la Tolérance et la Non-violence[8].
Manon Barbeau siège sur le conseil d'administration du Centre d'innovation des premiers peuples et siège actuellement sur le Conseil d'administration du Wapikoni et est présidente du conseil d'administration de Musique nomade. En 2021, Manon Barbeau est élue présidente de la Cinémathèque québécoise[9].
Honorée à l’UNESCO à Paris du 7 au . Représente le Canada lors d’une exposition qui célébrait le travail exceptionnel de 9 femmes artistes provenant de neuf pays.
Mention spéciale Entrepreneur social, concours, Ernst & Young Canada 2014;
Mise en nomination Personnalité internationale 2012 au Prix du CÉRIUM internationale 2012 au Prix du CÉRIUM Radio-Canada Nations unies;
Prix du Conseil des Arts 2012, catégorie cinéma « pour l’excellence des projets artistiques issus de cette initiative; le support accordé aux jeunes artistes issus de la diversité; l’extension de projets et d’actions sur la scène montréalaise; la résilience et le dynamisme dont les responsables ont fait et font toujours preuve »;
Prix Reconnaissance UQÀM 2010 pour l'ensemble de sa carrière de cinéaste et son engagement auprès des jeunes autochtones;
Fellow Ashoka Canada en 2009, organisme international qui soutient 2 000 entrepreneurs sociaux innovants dans le but d'augmenter leur impact sur la société;
Siège au conseil d’administration de Culture Montréal en 2010; Élue présidente en 2014;
Présidente de l’Observatoire du documentaire du Canada de 2006 à 2008;
↑« Le Wapikoni mobile. Le nomadisme au service de la création autochtone », Inter : art actuel, no 131, , p. 50–51 (ISSN0825-8708 et 1923-2764, lire en ligne, consulté le )
↑Gouvernement du Québec, « Manon Barbeau », sur ordre-national.gouv.qc.ca (consulté le )