Margny-aux-Cerises

Margny-aux-Cerises
Margny-aux-Cerises
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Gauthier Nancelle
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60381
Démographie
Gentilé Margnotins, Margnotines
Population
municipale
254 hab. (2022 en évolution de −0,39 % par rapport à 2016)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 30″ nord, 2° 52′ 05″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 97 m
Superficie 4,55 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Roye
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Margny-aux-Cerises
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Margny-aux-Cerises
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Margny-aux-Cerises

Margny-aux-Cerises est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Margny-aux-Cerises est un village picard situé à la limite du Santerre et du Noyonnais dans l'Oise, limitrophe du département de la Somme et situé à vol d'oiseau à 7 km au sud-est de Roye, 10 km au sud de Nesle, 17 km de Ham et 36 km de Saint-Quentin, 14 km au nord-ouest de Noyon, 29 km au nord de Compiègne et 22 km à l'est de Montdidier.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Roye ainsi que dans son bassin de vie, et dans la zone d'emploi de Compiègne[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Avricourt, Beaulieu-les-Fontaines, Champien et Roiglise.

Rose des vents Champien
Somme
Rose des vents
Roiglise
Somme
N Beaulieu-les-Fontaines
O    Margny-aux-Cerises    E
S
Avricourt

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 4,55 km2 ; son altitude varie de 75 à 97 mètres[1].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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L'étang.

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie.

Elle est drainée par la Bouvresse, un affluent de l'Avre et donc un sous-affluent du fleuve côtier de la Somme[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Margny-aux-Cerises[Note 2].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[2].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 709 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité

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Dans le cadre de la compensation des défrichements réalisés pour permettre la réalisation du canal Seine-Nord Europe, la Société du canal Seine-Nord Europe (SCSNE) a replanté un bois privé avec 7 468 arbrisseaux de pins Douglas, utilisés pour la production des charpentes, 2 832 petits chênes et 284 alisiers des bois, en remplacement de hêtres et merisiers, malades et sous-exploités depuis 25 ans[9].

Au , Margny-aux-Cerises est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roye, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,8 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,9 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), forêts (0,2 %)[13].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Le Pavé (ou Petit Margny[14]) est un hameau situé sur l'ancienne RN 334 et partagé entre Margny-aux-Cerises et Avricourt.

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 111, alors qu'il était de 106 en 2016 et de 99 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 87,4 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 10,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,9 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Margny-aux-Cerises en 2021 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) par rapport au département (2,4 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Margny-aux-Cerises en 2021.
Typologie Margny-aux-Cerises[I 3] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,4 90,5 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,8 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 10,8 7 8,1

Voies de communication et transports

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L'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934) forme la limite sud-ouest du territoire communal.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 679 et 6307 du réseau interurbain de l'Oise[15].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Materniacum (vers 952) ; Marenni (vers 1130) ; Marregni (1146) ; eccl. de Margni (1179) ; Mareigni (1219) ; inter Diviscorti et Mareniacum (1239) ; Marenium (1240) ; juxta terram de Maregni (1280) ; Marensium (vers 1295) ; Margny as cerises (vers 1300) ; Marregny (1308) ; Marigny (1474) ; Margni (1630) ; Magny en serise (1667) ; Margny (1688) ; Margny-à-cerises (1834) ; Margny-aux-Cerises (XIXe)[16].

« Cerise » à partir du latin classique cerasum, du latin populaire ceresium « cerise », la cerise sert de déterminant à Margny-aux-Cerises et rappelle le temps où le village était spécialisé dans la culture et le commerce de ces fruits. En souvenir, la commune a planté des cerisiers sur l'espace public[14]..

Le hameau du Montel est créé en 1238 par le seigneur de Guerbigny afin de faciliter la mise en valeur les terres du suzerain, le duc de Monchy. Une chapelle entourée du cimetière y est édifiée par des religieuses[14].

Temps modernes

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Le hameau du Montel subit un terrible incendie en 1653 et disparaît progressivement[14].

Révolution française et Empire

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La chapelle du Montel est vendue comme bien national lors de la Révolution française et démolie en 1792[14].

Époque contemporaine

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En 1850, la culture des cerises avait déjà cessé, et on comptait dans la commune deux moulins à vent et un four à chaux. La population était composée de laboureurs et de bucherons[17].

Première Guerre mondiale

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Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[18],[19],[20] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [21].


Lors des combats de la libération de la France, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le au matin, un bombardier de l’U.S. Air Force est attaqué par les Allemands. Son équipage saute en parachute et tombe dans le village et aux alentours. Les habitants font disparaitre en quelques minutes toute trace des parachutes et les confient à la Résistance[14].

En 1996, la commune achète un corps de ferme pour y réinstaller la mairie, qui occupait un bâtiment trop petit, et une salle des fêtes. L’écurie et le bâtiment d’élevage sont alors aménagés en ateliers pour le service technique et en logements[14].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise[I 1].

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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Margny-aux-Cerises est membre de la communauté de communes du Pays des Sources[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1865 1871 François Désiré Carpentier    
1871 1887 Jean Charles Binant    
1887 1888 François Désiré Carpentier    
1888 1895 Charles Désiré Lacroix    
1895 1904 Anatole Beuchot    
1904 1914 Paulin Abel Normand    
1914 1919 Césaire Emmanuel Oudaille   Assure l'intérim de Paulin Abel Normand
1919 1924 Paulin Abel Normand    
1924 1935 Paul Billiard    
1935 1945 Armand Nancelle    
1945 1983 Roland Levert    
1983 1995 Denis Enault    
juin 1995 2014 Jacqueline Charlet[23]    
2014[24] En cours
(au 30 novembre 2023)
Gauthier Nancelle   AgriculteurRéélu pour le mandat 2020-2026[25]

Équipements et services publics

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La commune dispose d'une salle des fêtes[14].

Enseignement

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Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux d'Avricourt et d'Amy dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal.

L'école de Margny-aux-Cerises, la plus petite école de l’Oise en termes d’effectifs avec ses 13 élèves en 2024-2025, accueille la classe à triple niveau CE1-CE2-CM1[26].

Population et société

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Démographie

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Les habitants sont les Margnotin[27].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2022, la commune comptait 254 habitants[Note 4], en évolution de −0,39 % par rapport à 2016 (Oise : +0,87 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
391374371351353360362358338
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
294290287287291254238242195
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
198187185130141153189173154
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
180163155158186204227230240
2015 2020 2022 - - - - - -
254254254------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 140 hommes pour 119 femmes, soit un taux de 54,05 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,9 
3,6 
75-89 ans
6,8 
16,1 
60-74 ans
17,1 
21,9 
45-59 ans
19,7 
21,9 
30-44 ans
17,9 
14,6 
15-29 ans
19,7 
21,9 
0-14 ans
17,9 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Martin, dont le clocher a été détruit durant la Première Guerre mondiale[14].
    L'édifice remonte au milieu du XIIe siècle et a été remanié depuis.
    Elle est constituée d'une nef unique suivie d’un chœur plus étroit, plan à l'époque fréquent pour les petites églises de campagne. Une chapelle a été construite en 1764 au nord, à la jonction de la nef et du chœur.
    L'intérieur a été enduit au XIXe siècle, et contient une belle grille de chœur en fer forgé, remontée à l’entrée de la nef, et un sobre autel retable du XVIIIe siècle[33]
  • Monument aux morts
  • Stèle allemande d'hommage à la bravoure « des soldats français tombés pour leur patrie dans les combats près de Noyon et Roye ».

Personnalités liées à la commune

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  • Max Gehlsen (de) (1881-1930), peintre et musicien allemand particulièrement actif comme peintre paysagiste et auteur d'aquarelles documentaires sur la guerre des tranchées en Flandre, a peint plusieurs aquarelles de Margny-les-Cerises lorsqu'il y était soldat durant la Première Guerre mondiale[34].
  • Claire Bricogne (1987- ), journaliste sportive française née dans la commune. Elle a été la première femme à commenter le Tour de France en 2015.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.

Notes et références

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique de Margny-aux-Cerises » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Margny-aux-Cerises et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. Stéphane Le Barber, « Dans le Noyonnais, des forêts privées en déclin revivent grâce au futur canal », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le projet des propriétaires d’un bois de Margny-aux-Cerises, près de Noyon, est l’un des 22 dossiers retenus pour le financement public de reboisements avec des arbres de valeur. Une compensation aux défrichages prévus pour construire la voie d’eau ».
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Roye », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d e f g h et i « Margny-aux-Cerises », Le Pays des Sources > Présentation > Les 48 communes, sur https://www.cc-pays-sources.fr (consulté le ).
  15. « Transports en commun à Margny-aux-Cerises », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  16. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 330.
  17. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 115 p. (lire en ligne), p. 67, sur Google Livres.
  18. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  19. « Margny-aux-Cerises - Le calvaire et ses abords », Albums Valois Oise - Volume 15, sur https://argonnaute.parisnanterre.fr/, (consulté le ).
  20. « Margny-aux-Cerises - Un coin du village - ruines », Albums Valois Oise - Volume 15, sur https://argonnaute.parisnanterre.fr/, (consulté le ).
  21. Journal officiel du18 février 1921, p. 2098.
  22. « Les maires de Margny-aux-Cerises », sur https://www.francegenweb.fr/ (consulté le ).
  23. « Madame Jacqueline CHARLET née OUDAILLE », Avis de décès, sur https://www.libramemoria.com (consulté le ).
  24. « Margny-aux-Cerises », Cartes de France (consulté le ).
  25. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  26. Nicolas Giorgi, « Une enseignante et 13 élèves dans la plus petite école de l'Oise : "C'est une chance" », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Margnotin », sur https://www.lalanguefrancaise.com/ (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Margny-aux-Cerises (60381) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  33. Dominique Vermand, « Margny-aux-Cerises, église Saint-Martin : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  34. « Margny-aux-Cerises », Max Gehlsen, une exposition virtuelle, sur https://maxgehlsen.eu/ (consulté le ).