Radcliffe Institute Fellowship at Harvard,
Rockefeller Foundation Fellowship at Bellagio, National Endowment for the Arts fellowships,
PEN/Josephine Miles Award,
Née à Hong Kong en 1955, Marilyn Chin est la fille de Rose et George Chin, un restaurateur, qui immigrent aux États-Unis peu après avec sa famille, pour s'installer à Portland dans l'état de l'Oregon, où la future poète grandit. L'un des premiers signes du changement de lieu fut l'insistance de son père pour que son nom soit changé de Mei Ling à Marilyn : « Il pensait qu'il était nécessaire que nous changions de nom quand nous allions à l'école », dit-elle. Dans le poème How I Got That Name: an essay on assimilation, elle se souvient de son père comme d'un homme fasciné par la bombe blonde du jour, Marilyn Monroe. Elle ajoute que le nom de sa sœur a été changé pour May Jayne, pour une autre star, Jayne Mansfield. Son père abandonne sa famille pour "une belle blonde", abandon qui marque la poésie de Marilyn Chin[1],[2],[3],[4],[5].
Marilyn Chin commence sa vie professionnelle en tant que traductrice et éditrice pour le compte de l'International Writing Program de l'université de l'Iowa de 1978 à 1982. En 1988, elle est embauchée comme maître assistant de création littéraire auprès de l'université d'État de San Diego où en 1996, elle devient professeure titulaire de la chaire des études de littérature anglaise et de la littérature asio-américaine[1],[2].
Marilyn Chin, Ken Weisner & David Wong Louie, Dissident Song: A Contemporary Asian American Anthology, Santa Cruz, Californie, Quarry West, , 168 p. (OCLC26441432),
Reina Roffe, Carolyn Harris & Marilyn Chin, « High Tide », The Iowa Review, Vol. 14, No. 2, printemps-été 1984, p. 162-165 (4 pages) (lire en ligne),
Ding Ling, Mrs. Yeh, Marilyn Chin, Anna Lillios & Kathy Yeh, « My Life as a Chinese Writer », The Iowa Review, Vol. 14, No. 2, printemps-été 1984, p. 9-15 (7 pages) (lire en ligne),
Wang Meng, Janice Wickeri & Marilyn Chin, « The Eye of Night », The Iowa Review, Vol. 14, No. 2, printemps-été 1984, p. 47-56 (10 pages) (lire en ligne),
« Study Hall, Deterritorialized », Ploughshares, Vol. 30, No. 4, hiver 2004 / 2005, p. 1 (lire en ligne),
« Fox Girl », Feminist Studies, Vol. 36, No. 3, , p. 518-520 (3 pages) (lire en ligne),
(en-US) Gōzō Yoshimasu (trad. du japonais par Marilyn Chin), Devil’s Wind : A Thousand Steps or More, Rochester, Michigan, Oakland University, , 85 p. (OCLC8756074),
(en-US) Ai Qing (trad. du chinois par Eugene Chen Eoyang, Wenlan P'eng & Marilyn Chin), Selected Poems of Ai Qing, Beijing, Chine, Foreign Language Press, , 457 p. (OCLC62936633),
↑ abc et d(en-US) David M. Galens (dir.), Poetry Criticism, vol. 40, Detroit, Michigan, Gale Cengage Learning, , 504 p. (ISBN9780787659660, lire en ligne), p. 1-36
↑ ab et c(en-US) Philip K. Jason (dir.), Critical Survey of Poetry, vol. 2, Pasadena, Californie, Salem Press, , 649 p. (ISBN9781587650734, lire en ligne), p. 721-725
(en-US) David M. Galens (dir.), Poetry Criticism, vol. 40, Detroit, Michigan, Gale Cengage Learning, , 504 p. (ISBN9780787659660, lire en ligne), p. 1-36.
(en-US) Philip K. Jason (dir.), Critical Survey of Poetry, vol. 2, Pasadena, Californie, Salem Press, , 649 p. (ISBN9781587650734, lire en ligne), p. 721-725.
Les articles de JSTOR, sont librement accessibles à la lecture en ligne jusqu'à la concurrence de 99 articles par mois.
(en-US) Garrett Hongo, Li-Young Lee, David Mura & Mary Slowik, « Beyond Lot's Wife: The Immigration Poems of Marilyn Chin, Garrett Hongo, Li-Young Lee & David Mura », MELUS, Vol. 25, No. 3/4, automne / hiver 2000, p. 221-242 (22 pages) (lire en ligne),
(en-US) Meridians & Marilyn Chin, « Meridians Interview with Marilyn Chin », Meridians, Vol. 2, No. 2, , p. 67-69 (3 pages) (lire en ligne),
(en-US) Ken Weisner & Marilyn Chin, « Interview with Marilyn Chin », MELUS, Vol. 37, No. 3, , p. 215-226 (12 pages) (lire en ligne),
(en-US) Irene C. Hsiao, « Broken Chord: Sounding Out the Ideogram in Marilyn Chin's "Rhapsody in Plain Yellow », MELUS, Vol. 37, No. 3, , p. 189-214 (26 pages) (lire en ligne),
(en-US) « Q&A: Marilyn Chin », Poetry, (lire en ligne)
(en-US) Nissa Parmar, « “Double Happiness”: An Interview with Marilyn Chin », Contemporary Women's Writing, Volume 8, Issue 3, , p. 251–261 (10 pages) (lire en ligne),
(en-US) Anastasia Turner, « An Interview with Marilyn Chin », American Book Review, Volume 35, N° 3, mars / avril 2014, p. 31 (1 page) (lire en ligne),
(en-US) Catherine Cucinella, « Love, Eroticism, Grief, and Time in Marilyn Chin’s Hard Love Province », Arcade (Stanford Humanties Center), (lire en ligne)
(en-US) Alison Graham-Bertolini, « Marilyn Chin's "Revenge": Rewriting the Racial Shadow », The Journal of the Midwest Modern Language Association, Vol. 50, No. 1, , p. 17-37 (21 pages) (lire en ligne),