Marina Barampama | |
Fonctions | |
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Seconde Vice-présidente de la république du Burundi | |
– (5 mois et 1 jour) |
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Avec | Martin Nduwimana |
Président | Pierre Nkurunziza |
Prédécesseur | Alice Nzomukunda |
Successeur | Gabriel Ntisezerana |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Bujumbura (Royaume du Burundi) |
Nationalité | Burundaise |
Parti politique | Conseil national pour la défense de la démocratie – Forces de défense de la démocratie |
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Marina Barampama est une femme politique hutu burundaise née en 1969 à Bujumbura, ancienne seconde vice-présidente du au . Barampama est membre du Conseil national pour la défense de la démocratie-Forces pour la défense de la démocratie.
Barapama a suivi des études de comptabilité.
Le , la seconde vice-présidente Alice Nzomukunda démissionne de son poste. Le parlement burundais investit Barampama en remplacement le . Au Sénat seuls 37 sénateurs sur 49 sont présents et votent par 36 voix pour[1]. À l'Assemblée nationale, les groupes du Front pour la démocratie du Burundi de l'Union pour le progrès national et du CNDD ne participent pas au vote[2]. Les groupes parlementaires UPRONA et FRODEBU ont menacé de contester la légalité de la procédure d'élection devant le conseil constitutionnel car le quorum des deux-tiers n'était pas atteint[3].
Le , sur fond de conflit au sein du CNDD-FDD entre les partisans du président Pierre Nkurunziza et du secrétaire général du CNDD-FDD Hussein Radjabu, Nkurunziza renvoie Barampama et nomme le jour même Gabriel Ntisezerana pour lui succéder[4]. Barampama, proche de Radjabu, est accusée par Nkurunziza d' « insubordination et irresponsabilité »[5].