Maroc Hebdo International | |
Pays | Maroc |
---|---|
Langue | Français |
Périodicité | Hebdomadaire |
Genre | Informations générales |
Prix au numéro | 15 dirhams : Maroc 3 euros : France 3,90 euros : Allemagne, Belgique, Espagne et Italie 5,95 dollars : Canada 6,75 dollars : États-Unis[1] |
Diffusion | 6 516 payants pour 15 000 ex. (2014[2]) |
Date de fondation | 1991 |
Éditeur | Maroc Hebdo SARL-AU[3] |
Ville d’édition | Casablanca |
Directeur de publication | Mohamed Selhami[3] |
Directeur de la rédaction | Mohamed Selhami[3] |
Rédacteur en chef | Mohamed Selhami[3] |
ISSN | 1113-0091 |
Site web | https://www.maroc-hebdo.press.ma/ |
modifier |
Maroc Hebdo International (MHI), ou Maroc Hebdo, est un hebdomadaire marocain d'informations générales d'expression française, créé en novembre 1991 par Mohamed Selhami. Il est basé à Casablanca[4].
Ce magazine se veut indépendant de tout parti, syndicat, groupe ou association. S'adressant aux cadres et à la diaspora marocaine, il est diffusé, en dehors du Royaume, en Europe (Allemagne, Belgique, France, Espagne, Italie) et en Amérique du Nord (Canada et États-Unis).
Connu pour sa provocation, Maroc Hebdo est l'objet de plusieurs polémiques, décrié tour à tour pour son racisme, son homophobie, ou encore son nationalisme[5],[6],[7].
Fondé sous le nom de Maroc Hebdo[8] par le journaliste Mohamed Selhami, son premier numéro est paru le au tarif de 5 dirhams. Le (no 212), il est devenu Maroc Hebdo International, sa diffusion s'étendant en dehors du Royaume grâce à un accord avec les NMPP[9].
Cette année-là, son site web a également été créé,[10], alors que le Maroc était fraîchement connecté. Le (no 635)[11], il est passé du format tabloïd au format «magazine», et son prix, qui était alors de 8 dirhams, à 15 dirhams[12].
En 2012, le magazine suscite des critiques de racisme pour sa une, intitulée «Le péril noir» et qui montre le visage d'un migrant subsaharien[13],[14].
En , la une du Maroc Hebdo no 1122 est au cœur d'une polémique, au Maroc et dans le monde, autour de l'homophobie de son titre: «Faut-il brûler les homos ?»[15],[13]. Face à une forte mobilisation, le magazine est rapidement retiré des kiosques[16],[17]. Face au tollé, le magazine change sa une[18].