Auberthe, la Basse-Judée, la Blancherie, la Fouasterie, la Guittonnerié, la Mare, le Buisson, le Noyer, les Fossés-Robert, le Val, Saint-Symphorien, Villenette, Moulin du pont d'Effes (orig. d'Effres), la Grande Rage, le Parc Brulé, la Veidière, le Parc-Bouvet, la Houlebannerie, La Hybaudière.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 702,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Statistiques 1991-2020 et records MAROLLES LES BR (72) - alt : 65m, lat : 48°14'35"N, lon : 0°20'26"E Records établis sur la période du 01-10-1985 au 03-12-2023
Au , Marolles-les-Braults est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Maerolae au XIIe siècle[13] ; Mairoles vers 1100 ; Mayeroles des Beraux en 1312[14].
Sans doute du gallo-roman MATERIOLA(S), avec amuïssement régulier du [t] intervocalique en langue d'oïl. Il s'agit d'un type toponymique fondé sur deux éléments d'origine latine, à savoir materia « bois (de construction) »[13] ou éventuellement « édifice en bois »[15], suivi du suffixe diminutif -ola[13] (féminin) (cf. fīlia « fille » + -ola → fīliola « jeune fille » > français filleule). Le Marolles le plus anciennement attesté, Marolles-sur-Seine (Seine-et-Marne, Madriolas vers 576)[15], semble confirmer cette hypothèse.
Remarque : ce type toponymique ne se retrouve apparemment pas dans le domaine Occitan, ce qui incite à le considérer comme une création originale du gallo-roman.
1229 : Mathieu Pallu fonde le prieuré de Saint-Symphorien (c'est-à-dire lui apporte des fonds), membre de l'abbaye de la Couture au Mans.
L'union avec Dissé-sous-Ballon en commune nouvelle est créée au par un arrêté préfectoral du [1]. Son chef-lieu est fixé à Marolles-les-Braults. La commune déléguée de Dissé-sous-Ballon est dissoute le 24 septembre 2020[16].
Retraité de l'Éducation nationale Député de la Sarthe (5e circ.) (1978 → 1986 puis 1993 → 1997) Conseiller général de Marolles-les-Braults (1973 → 2004)
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2021, la commune comptait 2 061 habitants[Note 2], en évolution de −0,29 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sporting club marollais (SCM) : association sportive regroupant les différentes sections sportives de la commune (basket-ball, football, judo, gymnastique…)
Loisirs et Sports du Pays Marollais : présent sur Marolles-les-Braults depuis juillet 2014 sous le nom de Sport handicap Marollais et depuis août 2018 sous le nouveau nom, cette association propose des activités physiques et sportives pour les personnes en situation de handicap[25]. Affiliée à la Fédération française du sport adapté, elle participe à des compétitions sportives au niveau départemental, régional et national.
L’église Saint-Rémy abrite plusieurs objets protégés au titre des monuments historiques : l'orgue de tribune datant de 1766, deux retables et un groupe représentant la mise au tombeau sculpté par Charles Hoyau et datant de 1635[27].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )