Elle est principalement desservie par les routes départementales 6089 (l'ancienne route nationale 89), 710 et 710E. Au niveau ferroviaire, le territoire communal recèle deux gares, sur la liaison Bordeaux-Périgueux, celle de Marsac et celle de La Cave, qui n'est plus desservie.
La majeure partie de la commune se trouve en rive gauche de l'Isle qui la sépare au nord de Chancelade et à l'ouest d'Annesse-et-Beaulieu. Cependant, la zone commerciale de la Cropte, le parc des Expositions et le golf de Saltgourde (golf public de Périgueux) sont implantés sur l'autre rive.
À l'est du territoire communal, la Beauronne longe le terrain de golf, marque la limite avec Périgueux et y rejoint l'Isle.
Marsac-sur-l'Isle est limitrophe de six autres communes, dont Coursac au sud par un quadripoint au lieu-dit Pierre Panlaire. Au nord-est, le territoire de La Chapelle-Gonaguet est distant de 650 mètres.
Les limites communales de Marsac-sur-l'Isle et celles de ses communes adjacentes.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Marsac-sur-l'Isle est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles, localement grès et sables jaunes (feuille de Terrasson). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 758 - Périgueux (ouest) » et « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 71 m et 187 m[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans l'unité paysagère de la « Vallée de l'Isle », qui présente un profil contrasté : une vallée relativement encaissée, aux coteaux affirmés, dominant le fond de vallée de 60 à 80 m en amont de Mussidan, une vallée plus élargie en aval avec un fond de vallée plat, large de 1,5 à 2 km. À la fois agricole et urbanisée, elle est parcourue par de nombreuses voies de communication[10],[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 10,05 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 10,12 km2[3].
L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[17],[18]. Elle arrose la commune du nord-est à l'ouest sur sept kilomètres, lui servant de limite naturelle sur près de cinq kilomètres et demi, face à Chancelade et Annesse-et-Beaulieu.
La Beauronne, d'une longueur totale de 28,16 km, prend sa source dans la commune de Négrondes et se jette dans l'Isle en rive droite en limite de Marsac-sur-l'Isle et de Périgueux[19], leur servant de limite naturelle sur plus d'un kilomètre.
L'Isle au pont de la RD 710E, entre la zone commerciale et le bourg.
Le barrage du Chambon sur l'Isle entre Chancelade (au premier plan) et Marsac-sur-l'Isle.
Confluent de la Beauronne (en bas à gauche) et de l'Isle à Saltgourde.
Réseaux hydrographique et routier de Marsac-sur-l'Isle.
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[23].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 894 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 2 km à vol d'oiseau[24], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].
Au , Marsac-sur-l'Isle est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28].
Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[29],[30]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[30]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[31],[32].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (56,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (37,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (39,1 %), forêts (31,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (7,6 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Périgueux, regroupant 12 communes concernées par un risque de débordement de l'Isle, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[36]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1783 (15,21 m à l'échelle de crue, la crue la plus importante connue), de 1843 (14,83 m) et de 1944 (14,5 m, 630 m3/s, la crue centennale de référence). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[37]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1993, 1998, 1999, 2009 et 2018[38],[34]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de l'« agglomération de Périgueux » prescrit le et approuvé le , pour les crues de l'Isle. La crue de 1944, plus haute crue historique bien connue sur l’Isle, avec un débit estimé de 630 m3/s à Périgueux, présente une période de retour centennale et sert de crue de référence au PPRI[39].
Marsac-sur-l'Isle est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[40]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[41],[42].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[43]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 82,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[45].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[34].
La commune prendrait son nom d'un personnage gallo-romanMarcius[46]. qui y aurait séjourné entre 58 et 50 av. J.-C.[réf. nécessaire], auquel est accolé le suffixe -acum, indiquant le « domaine de Marcius ». Selon Émile Colas, l'origine proviendrait plutôt de marcidus signifiant « lieu sauvage, stérile »[47]. La seconde partie du nom correspond à l'Isle, principal affluent de la Dordogne et rivière qui arrose le territoire communal.
En occitan, elle porte le nom de Marçac d'Eila[48].
En 2023, des fouilles archéologiques sur la zone Péri-Ouest ont permis la mise au jour d'amphores et de vases de l'époque gauloise[49].
La pierre Panlaire est une borne qui se dresse en bordure de route au croisement des routes conduisant de Coulounieix à Razac et de Coursac à Marsac, près des lieux-dits les Farges et Perlijoux[50]. À l'origine, au XVe siècle, elle marquait la limite des quatre paroisses devenues des communes à la Révolution, à la fin du XVIIIe siècle[50]. Déplacée d'une dizaine de mètres[50], elle se situe désormais sur le territoire de la commune de Coulounieix-Chamiers[51].
En 1181, sur le cartulaire de Chancelade, la première mention écrite connue du lieu apparaît sous la forme Marszac[52]. Au XVIIe siècle, Johannes Blaeu indique Marsat sur son Atlas du Royaume de France, avant que la commune ne devienne Marsac à la Révolution.
C'est d'ailleurs durant la période révolutionnaire que Marsac perd près de la moitié de son territoire (nord et ouest de la commune : hameaux de la Croix-Herbouze, les Combeaux, de Terrassonie, de Lespinasse et de Chercuzac) au profit de la commune voisine de Chancelade.
En , six Juifs sont fusillés route de Bordeaux, au lieu-dit la Barde. Une stèle a été implantée sur place en leur mémoire[53].
La commune prend son nom actuel en 1961. Le canton de Périgueux est scindé en trois en 1973 et Marsac-sur-l'Isle fait partie du nouveau canton de Périgueux-Ouest[6].
La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[55],[56].
Les habitants de Marsac-sur-l'Isle se nomment les Marsacois[66]
Avant 1793 la population était recensée par feux, c'est-à-dire par foyers. Ainsi, pour Marsac :
Nombre de feux aux XVIIe et XVIIIe siècles
1692
1709
1713
1720
1745
1769
1770
1774
1789
200
171
92
92
142
130
137
137
120
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[68].
En 2021, la commune comptait 3 143 habitants[Note 9], en évolution de +0,38 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L'Amicale laïque de Marsac Canoë-Kayak (ALMCK)[70] dispose de résultats très flatteurs au niveau français, étant consacrée Championne de France des clubs de la discipline à 12 reprises de 2004 à 2021, dont une série ininterrompue de six titres de 2016 à 2021[71]. Le club compte dans ses rangs des athlètes de niveau européen et même mondial, tels que Maxence Barouh, Félix Bouvet, Ancelin Gourjault[72], Lucas Pazat et Nicolas Sauteur[73].
Le club de football de la ville est l'Union sportive Chancelade Marsac 24 (USCM)[74], créée en 1962[75].
Tout au long de l'année, le parc des expositions de Marsac, propriété de la Ville de Périgueux, accueille de nombreux évènements, dont la Foire de Périgueux, début septembre de chaque année (77e édition en 2020[76]), ou le Salon animalier de Périgueux en octobre (10e édition en 2019[77]). Cependant, une première partie de trois hectares du parc a été vendue fin 2020 et les huit hectares restants pourraient être mis en vente dans le courant de l'année 2021[76].
En 2018[78], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 540 personnes, soit 49,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (160) a très légèrement diminué par rapport à 2013 (163) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,4 %.
En 2018, le dynamisme économique de la commune se remarque puisqu'elle offre 2 850 emplois pour une population de 3 105 habitants[79]. Le secteur secteur tertiaire prédomine avec 67,0 % des emplois.
Fin 2018, la commune compte 276 établissements actifs employeurs[80], dont 214 au niveau des commerces, transports ou services, 25 dans la construction, 19 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale et 18 dans l'industrie[81].
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, deux situées à Marsac-sur-l'Isle se classent parmi les cinquante premières quant au chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016[82] :
Robinetterie R. Hammel (fabrication articles de robinetterie) : 23e, avec 34 831 k€ ;
Trapy-Pro (commerce de gros de matériel électrique) : 33e, avec 30 397 k€.
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, sept sociétés implantées à Marsac-sur-l'Isle se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité quant au chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016 :
dans l'industrie[83], Robinetterie R. Hammel se classe 8e et Regiplast (fabrication d'éléments en matières plastiques pour la construction) 38e avec 6 708 k€ ;
dans les services[85], Transports Antoine Aquitaine (transports routiers de fret interurbains) 14e avec 6 701 k€, Big Big (messagerie, fret express) 21e avec 5 668 k€, Jamsy (activités de conditionnement) 32e avec 3 935 k€, Syba (activités d'architecture) 44e avec 2 945 k€.
Créée à Périgueux en 1964, la SOCRA est implantée à Marsac-sur-l'Isle[86]. Après avoir fait partie du groupe Vinci, l'entreprise redevient indépendante en 2014, rachetée par son directeur[86]. Fleuron de la restauration du patrimoine français (Galerie des Glaces du château de Versailles, sculptures de l'Opéra Garnier, le Grand Palais à Paris, etc.), elle emploie 35 personnes et a généré un chiffre d'affaires de 6,4 millions d'euros en 2013[86]. En octobre 2018, la SOCRA est rachetée par le groupe Mériguet, spécialisé dans la décoration de luxe[87]. Démontées en 2019, les statues des apôtres et des évangélistes ornant la cathédrale Notre-Dame de Paris y sont restaurées[88].
Spécialisée dans la fabrication et la commercialisation de machines industrielles spécifiques et créée en 1971, Cetec Industrie emploie 80 salariés à Marsac[89].
D'autres entreprises importantes ayant leur siège social ailleurs qu'à Marsac sont également implantées sur le territoire communal. On peut notamment citer Auchan et Fromarsac (fabrication de spécialités fromagères).
L'écluse de la Roche : abandonnée depuis les années 1940, les travaux de sa réhabilitation ont débuté en 1997 et sont aujourd'hui terminés. Avec sa vue privilégiée sur le château de la Roche à Annesse-et-Beaulieu, l'îlot de la Roche, formé par le canal et l'Isle, est un lieu de détente prisé des Marsacois.
La fontaine intermittente : curiosité et énigme de Marsac. Son débit très irrégulier peut varier d'un à deux litres par seconde à dix voire vingt litres par seconde.
La fontaine-lavoir, située devant l'église, construite en 1897 ou 1898.
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
↑Contrairement à ce qu'indique le SIGES, le Got, affluent de rive droite de l'Isle, n'arrose pas la commune de Marsac-sur-l'Isle située en rive gauche à leur confluence.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )