Garrett a été un contributeur des projets GNOME et Debian[9],[10], a été l'un des premiers à participer au développement d'Ubuntu, a été un des membres initiaux du conseil technique d'Ubuntu et a travaillé chez Canonical Ltd. et Red Hat[1]. Dans ces deux entreprises, il a notamment travaillé sur l’amélioration du power management au sein de Linux[11]. Chez Red Hat, il a aussi œuvré à la résolution des problèmes d'intégration autour des systèmes Secure Boot et UEFI avec le noyau Linux, pour préserver la capacité des utilisateurs d'utiliser le système d'exploitation de leur choix sur des équipements informatiques implémentant Secure Boot[12]. Ce travail a été l'une des raisons pour laquelle la Free Software Foundation lui a décerné le prix du logiciel libre 2013[2].
En , Garrett a déclaré sur son blog qu'il ne contribuera plus aux changements du noyau Linux en lien avec du matériel d'Intel, à la suite d'une de leurs campagnes publicitaires sur Gamasutra durant la controverse du Gamergate[16].
↑(en) Matthew James Garrett, « Comparative genomic analysis as a tool for locating novel functional elements in D. melanogaster », Université de Cambridge, Cambridge, UK,
↑(en) Matthew Garrett, Ane Fullaondo, Larent Troxler, Gos Micklem et David Gubb, « Identification and analysis of serpin-family genes by homology and synteny across the 12 sequenced Drosophilid genomes », BMC Genomics, vol. 10, no 1, , p. 489 (ISSN1471-2164, PMID19849829, PMCID2770083, DOI10.1186/1471-2164-10-489, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Stephanie G. Hudson, Matthew J. Garrett, Joseph W. Carlson, Gos Micklem, Susan E. Celniker, Elliott S. Goldstein et Stuart J. Newfeld, « Phylogenetic and Genomewide Analyses Suggest a Functional Relationship Between kayak, the Drosophila Fos Homolog, and fig, a Predicted Protein Phosphatase 2C Nested Within a kayak Intron », Genetics, vol. 177, no 3, , p. 1349–1361 (ISSN0016-6731, PMID18039871, PMCID2147949, DOI10.1534/genetics.107.071670, lire en ligne, consulté le )