Meigné-le-Vicomte

Meigné-le-Vicomte
Meigné-le-Vicomte
Le château du Plessis-Lionnet.
Blason de Meigné-le-Vicomte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Commune Noyant-Villages
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Raymond Lascaud
2020-2026
Code postal 49490
Code commune 49197
Démographie
Gentilé Meignéen
Population 315 hab. (2014)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 36″ nord, 0° 11′ 32″ est
Altitude 89 m
Min. 71 m
Max. 96 m
Superficie 23,13 km2
Élections
Départementales Beaufort-en-Vallée
Historique
Fusion 15 décembre 2016
Commune(s) d'intégration Noyant-Villages
Localisation
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Meigné-le-Vicomte
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Meigné-le-Vicomte

Meigné-le-Vicomte est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire. Le , la commune devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages[1].

Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, à l'est de Noyant, en limite du département d'Indre-et-Loire.

Géographie

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Localisation

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Ce village angevin de l'ouest de la France se situe dans l'est du Baugeois, à l'est de Noyant, sur la route D 140 qui va de Noyant (à l'ouest) à Channay-sur-Lathan (à l'est). Baugé se trouve à 22 km et Saumur à 35 km[2],[3]. Son territoire est essentiellement rural.

En limite du département d'Indre-et-Loire, la commune est le point extrême est du département de Maine-et-Loire.

Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Elle est délimitée au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[4].

Aux alentours

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Les communes les plus proches sont Lublé (4 km), Breil (5 km), Dénezé-sous-le-Lude (5 km), Saint-Laurent-de-Lin (5 km), Méon (6 km), Noyant (6 km), Chalonnes-sous-le-Lude (6 km), Marcilly-sur-Maulne (6 km), Channay-sur-Lathan (7 km) et Braye-sur-Maulne (7 km)[3].

Géologie et relief

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L'altitude de la commune varie de 71 à 96 mètres[5], pour une altitude moyenne de 89 mètres, et son territoire s'étend sur plus de 23 km2 (2 313 hectares)[5].

Meigné se situe sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[6]. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[7], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

Aucun zonage particulier n'est recensé sur la commune[8].

Le climat angevin est tempéré, de type océanique. Il est particulièrement doux, compte tenu de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés. Le climat du Baugeois est plus continental : plus sec et chaud l'été[7].

Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2009 on trouvait 209 logements sur la commune de Meigné-le-Vicomte, dont 65 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 67 % des ménages en étaient propriétaires[9]. En 2013, on y trouvait 204 logements, dont 62 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 72 % des ménages en étaient propriétaires[10].

Toponymie et héraldique

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Formes anciennes du nom : Magiacus en 1037, magniacus Vicecomitis en 1080[11], Meigné au XVIIIe siècle, puis Meigné-le-Vicomte en 1932[12].

Origine du nom : du nom d'homme latin Magnius, suivi du suffixe -acus. Magnius est issu de Magnus, surnom de l'époque romaine désignant un grand homme[13]. Ceci doit probablement être relié à la présence d'une villa gallo-romaine (exploitation agricole) sur le territoire de la commune, ayant appartenu à un certain Magnius.

Une autre commune du département comporte le nom de « Meigné » : il s'agit de Meigné, dans le canton de Doué-la-Fontaine.

Noms des habitants : les Meignéens[13].

Héraldique

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Blason de Meigné-le-Vicomte Blason
Coupé émanché : au 1er de sinople à une couronne de vicomte d'or, au 2d d'argent à deux clés versées de gueules posées, celle de dextre en bande et celle de senestre en barre, les pannetons adossés[14].
Détails
Le coupé émanché forme un « M », première lettre du nom de la commune. La couronne de vicomte renvoie elle aussi au nom de la commune et le vert est pour l'agriculture. Les deux clés sont attributs de saint Pierre, patron de la paroisse.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Au Moyen Âge, Meigné est une châtellenie de la vicomté de Beaumont[11].

On trouve sur la commune de nombreux bâtiments des XVe et XVIe siècles, époque à laquelle l'église est érigée en paroisse.

Ancien Régime

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Sous l'Ancien Régime, la commune dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé, du diocèse d'Angers et de l'archiprêtré de Bourgueil[11].

Époque contemporaine

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À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, la commune est rattachée en 1790 au canton de Noyant[11]. Il est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[12].

Un rapprochement intervient en 2016. Le , les communes de Auverse, Broc, Breil, Chalonnes-sous-le-Lude, Chavaignes, Chigné, Dénezé-sous-le-Lude, Genneteil, Linières-Bouton, Lasse, Meigné-le-Vicomte, Méon, Noyant et Parçay-les-Pins, s'associent pour former la commune nouvelle de Noyant-Villages. Meigné en devient une commune déléguée[1].

Politique et administration

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Administration municipale

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Administration actuelle

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Depuis le , Meigné-le-Vicomte constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 2016 en cours Raymond Lascaud[15],[16]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne

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La commune est créée à la Révolution. Municipalité en 1790[12]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[17].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2008 décembre 2016 Raymond Lascaud[18]    
Les données manquantes sont à compléter.

La commune ne comporte pas de jumelage[19].

Ancienne situation administrative

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Intercommunalité

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La commune fait partie jusqu'en 2016 de la communauté de communes canton de Noyant. Créée en 2000, cette structure intercommunale regroupe les quinze communes du canton, dont Breil, Dénezé-sous-le-Lude, Chalonnes-sous-le-Lude et Noyant[20],[21]. L'intercommunalité est dissoute le [1].

La communauté de communes était membre du Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire, comprenant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué et Portes-de-l'Anjou.

La commune faisait également partie du SICTOD Nord Est Anjou, membre du SIVERT, syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, qui se trouve à Lasse[22]. Elle faisait également partie du SIVU AEP de la région de Noyant pour le traitement de l'eau potable[20].

Autres circonscriptions

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Jusqu'en 2014, Meigné-le-Vicomte fait partie du canton de Noyant et de l'arrondissement de Saumur[23]. Ce canton compte alors les quinze mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[24].

La commune fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons, dont Baugé et Longué-Jumelles. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 315 habitants, en évolution de +0,32 % par rapport à 2009 (Maine-et-Loire : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
656793807807793807818800743
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
767768768761786768741787767
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
746786763674702706685607641
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2014
580504405385328322336301315
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (26,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est égale à la population féminine.

Pyramide des âges
Pyramide des âges à Meigné-le-Vicomte en 2007 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90  ans ou +
0,0 
8,9 
75 à 89 ans
12,5 
13,7 
60 à 74 ans
16,1 
17,3 
45 à 59 ans
16,7 
20,8 
30 à 44 ans
19,6 
17,9 
15 à 29 ans
15,5 
20,2 
0 à 14 ans
19,6 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2007 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,2 
6,3 
75 à 89 ans
9,2 
11,8 
60 à 74 ans
13,0 
19,9 
45 à 59 ans
19,4 
20,6 
30 à 44 ans
19,5 
20,3 
15 à 29 ans
19,1 
20,6 
0 à 14 ans
18,6 

Services publics présents sur la commune : mairie, agence postale communale, école en unité pédagogique avec les communes de Breil et de Méon, garderie périscolaire[20]. Les autres services publics se trouvent à Noyant.

L’hôpital local le plus proche se trouve à Baugé (95 places) ainsi que plusieurs maisons de retraite[31].

La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du Canton de Noyant[22].

Sur la commune on pratique la boule de fort[20], jeu très répandu dans le Baugeois.

Manifestation locale : fête du village en juillet[20].

Tissu économique

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Commune principalement agricole, en 2009, sur les 38 établissements présents sur la commune, 68 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 18 % sur le département)[32]. L'année suivante, en 2010, sur 42 établissements présents sur la commune, 69 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 2 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 19 % de celui du commerce et des services et 5 % du secteur de l'administration et de la santé[9].

Sur 42 établissements présents sur la commune à fin 2013, 60 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 24 % de celui du commerce et des services et 5 % du secteur de l'administration et de la santé[10].

On trouve sur la commune un commerce multiservice[20].

Agriculture

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Liste des appellations présentes sur le territoire[33] :

  • IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine,
  • IGP Rillettes de Tours, IGP Œufs de Loué,
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Bâtiment inscrit aux monuments historiques[34] :

  • Le manoir de Boisset du XVIe siècle, Monument historique classé par arrêté du (PA00109181)[35].

Autres ouvrages inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[34] :

  • Le château du Grand-Massé, des XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Le château du Plessis-Lionnet, (ou du Plessis-Lyonnais), des XVe, XVIe, XVIIe et XIXe siècles ;
  • Le château de la Touche, des XVIIe et XVIIIe siècles ;
  • L'église paroissiale Saint-Pierre, du XIIe siècle ;
  • La croix de cimetière, du XVIIIe siècle ;
  • Le manoir Baudelan, des XVIIe et XIXe siècles ;
  • Le manoir de la Maillardière, des XVIe et XIXe siècles ;
  • Le manoir de la Quelouze, des XVIe et XVIIe siècles ;
  • Le manoir de la Roche (ou de la Roche-Hubert), des XVIe, XVIIe et XIXe siècles[36] ;
  • Le presbytère, des XVIe et XVIIe siècles ;
  • Plusieurs maisons et fermes, des XVe, XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 434-435.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : D-M, t. 2, Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 639-640.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

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  1. a b c et d Arrêté préfectoral no  DRCL-BSFL-2016-151, du 7 décembre 2016, « Recueil des actes administratifs de Maine-et-Loire, du 8 décembre 2016, p. 5-7 », sur Préfecture de Maine-et-Loire.
  2. IGN et BRGM, Géoportail Meigné-le-Vicomte (49), consulté le 26 mai 2012.
  3. a et b Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Meigné-le-Vicomte (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 26 mai 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  4. P.Wagret J.Boussard J.Levron S.Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, coll. « Provinciales », (BNF 31614504), p. 10.
  5. a et b IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 — Données consultables sur WikiAnjou.
  7. a et b Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  8. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 26 mai 2012
  9. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Meigné-le-Vicomte (49), consultées le 27 janvier 2013
  10. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Meigné-le-Vicomte (49), consultées le 21 juillet 2016.
  11. a b c et d Célestin Port 1978, p. 434-435.
  12. a b et c École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Meigné-le-Vicomte, consultée le 27 mai 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  13. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 108-109.
  14. « 49197 Meigné-le-Vicomte (Maine-et-Loire) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  15. « Les adjoints au maire », sur Mairie de Noyant-Villages (consulté le ).
  16. « Procès verbal du conseil municipal - Réunion du 26 mai 2020 », sur Mairie de Noyant-Villages, (consulté le ).
  17. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  18. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 19 avril 2014.
  19. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  20. a b c d e et f C. C. Noyant, « Communauté de communes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), consulté le 27 mai 2012.
  21. Insee, Composition de l'EPCI du Canton de Noyant (244900015), consulté le 7 juillet 2013.
  22. a et b SIVERT Est Anjou, SICTOD Nord Est Anjou, consulté le 6 février 2011 - Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères et des déchets de la région Nord-Est d’Anjou regroupant dix-huit communes.
  23. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Meigné-le-Vicomte, consultée le 21 février 2015.
  24. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  25. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  29. « Évolution et structure de la population à Meigné-le-Vicomte en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  30. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  31. Fédération Hospitalière de France, Hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (Baugé), consulté le 9 novembre 2011.
  32. Insee, Statistiques 2009 du territoire de Meigné-le-Vicomte, consultées le 27 mai 2012
  33. INAO, Fiche de Meigné-le-Vicomte (49), consultée le 27 mai 2012 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
  34. a et b Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée consultée le 8 février 2011
  35. « Manoir de Boisset », notice no PA00109181, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Manoir dit la Roche », notice no IA00032093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.