Mohamed est le fils de l'érudit et grand mufti Abu Bakr Zniber et le frere du résistant et signataire du Manifeste de l'indépendance Tahar Zniber. Il a consacré sa vie a l'enseignement secondaire puis universitaire. Il a également participé au mouvement national marocain..
En février 1944, il fut arrêté ainsi que son frère et son père qui avait alors 75 ans, et tous les trois demeurèrent 3 mois en prison après avoir défendu les protestations des citoyens contre les événements sanglants qui se sont déroulés à Rabat et à Salé après l'arrestation de Ahmed Balafrej et Mohamed Lyazidi le . Ils subirent alors « les pires sévices d'un camp militaire de Rabat » si l'on croit les dires de l'écrivain Guy Delanoë.
L'Islam des origines à la fin de la dynastie des Omeyyades, Impr. Grand Maghreb, 1973 (Ouvrage en ligne)
Les corsaires de Salé et l'Atlantique, theatre de la lutte nationale au 17e siècle, Mémorial du Maroc, Nord Organization, Rabat, 1982
Littérature populaire marocaine, Volume 1 de Publications de l'Association des fonctionnaires de la faculté des lettres et des sciences humaines, Editions Okad, 1986, 110 pp. (Ouvrage en ligne)
« Le rôle d’Abd el-Krim dans la lutte pour la libération nationale dans le Maghreb », dans Abd el-Krim et la République du Rif : Actes du colloque international d'études historiques et sociologiques, 18-20 janvier 1973, Paris, Maspero, (ISBN2-7071-0776-X), p. 489-507
Préface de : Roger Coindreau, Les Corsaires de Salé, Casablanca, La Croisée des chemins, (réimpr. 1988) (1re éd. 1948) (ISBN9981-896-00-4), p. 9-15 [début de la préface]
Larbi Essakali (dir.), « La guerre du Rif, Mohamed Ben Abdelkrim », dans Le Mémorial du Maroc, vol. 5, Rabat, Nord Organisation, 1981-1985 (ISBN9788459905022), p. 161-191