Molandier | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aude | ||||
Arrondissement | Carcassonne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère | ||||
Maire Mandat |
Olivier Jullin 2020-2026 |
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Code postal | 11420 | ||||
Code commune | 11236 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Molandierais | ||||
Population municipale |
247 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 14′ 50″ nord, 1° 42′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 226 m Max. 351 m |
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Superficie | 19,84 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Mazères (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Piège au Razès | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Aude
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Molandier Écouter est une commune française, située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Vif, le ruisseau de mézerville, le ruisseau de Roudigou, le ruisseau du Rival et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « piège et collines du Lauragais » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Molandier est une commune rurale qui compte 247 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 869 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Mazères. Ses habitants sont appelés les Molandierais ou Molandieraises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église de l'Assomption-de-Notre-Dame, inscrite en 1948.
Bastide située dans la Piège entre Castelnaudary et Le Vernet. Il s'agit de la commune la plus à l'ouest du département de l'Aude. C'est une commune limitrophe avec les départements de l'Ariège et de la Haute-Garonne.
Molandier est limitrophe de six autres communes dont une dans le département l'Ariège et une dans le département de la Haute-Garonne. Les communes limitrophes sont Mazères, Belpech, Fajac-la-Relenque, La Louvière-Lauragais, Mézerville et Gibel.
La superficie de la commune est de 1 984 hectares ; son altitude varie de 226 à 351 mètres[2].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Hers-Vif, le ruisseau de mézerville, le ruisseau de Roudigou, le ruisseau du Rival, le ruisseau de Fiole, le ruisseau de Jean Nègre, le ruisseau de la Borde du Bosc, le ruisseau de Mariet, le ruisseau de roucairol et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[4],[Carte 1].
L'Hers-Vif, d'une longueur totale de 134,9 km, prend sa source dans la commune de Prades et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 41 communes[5].
En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 753 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montferrand à 16 km à vol d'oiseau[8], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 758,8 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[13] :
et un au titre de la directive oiseaux[13] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[16] : le « cours de l'Hers » (891 ha), couvrant 41 communes dont 32 dans l'Ariège, 7 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[17] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] :
Au , Molandier est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mazères, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,2 %), zones agricoles hétérogènes (33,4 %), prairies (2,4 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès avec la (D 624) ancienne route nationale 624.
Le territoire de la commune de Molandier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hers-Vif, ou Grand Hers,. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 2009 et 2018[26],[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 131 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 131 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].
La commune est en outre située en aval du barrage de Montbel, un ouvrage de classe A[Note 5] situé dans le département de l'Ariège. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].
Le premier document attestant la présence de Molandier (Castrum Montislanderii) date du XIIIe siècle, sous le règne de Louis IX dit Saint Louis. Cette bastide fut certainement construite, en même temps que beaucoup d'autres, à cette époque-là. Les puissants seigneurs Hugues et Sicard de Belpech et le comte de Foix Roger IV possédaient en paréage Castrum Montislanderii.
Le premier avril 1246 fut donc signée une charte des Coutumes de Molandier entre ces seigneurs et comte. Cette charte définissait les limites géographiques ainsi que les droits féodaux et le régime des biens, des personnes, la justice civile et criminelle, la police et l'organisation consulaire.
Le territoire de Molandier était plus étendu au XIIIe siècle que de nos jours. Les limites étaient matérialisées par des ruisseaux et une rivière, l'Hers-vif. Le ruisseau de Grilosa (aujourd'hui de Durgou) marquait la limite sud. Ce ruisseau se jette dans l'Hers aux environs de Marrot. La limite ouest était représentée par le ruisseau du Pounchuc (aujourd'hui Roquefort) situé sur la vieille route de Calmont à Mazères. Au nord-est, c'est l'Hers-mort qui bornait le territoire et enfin à l'est le ruisseau de Garrigou (près de La Borde du Bosc) sépare Molandier et Belpech. Le passage entre les villages était appelé Pas de la carbe (chèvre).
Les divers articles de la charte montrent qu'une certaine liberté de mouvement était laissée à chaque homme, ainsi qu'une liberté de choix de résidence, de "choix" de seigneur dont il devenait l'homme lige. Tout homme pouvait quitter le village à condition de payer six deniers toulousains s'il était asservi au seigneur. Ce dernier lui devait protection jusqu'à trois lieues du village. Lorsqu'une femme, fille, sœur,.. voulait se marier et qu'elle était serve, elle pouvait être affranchie moyennant une somme de 18 deniers toulousains.
Tout homme voulant s'installer dans le village avait droit à un emplacement pour sa maison ainsi qu'à une sesterée de terre contre six deniers toulousains. Le comte de Foix avait exempté les habitants du village du droit de leude (taxe sur les marchandises) sauf à Pamiers. Un droit de lause (taxe sur le bétail de labourage) était en vigueur. La corvée était fixée à une journée au moment des semences. La banalité concernait les moulins et les fours du seigneur. Le droit de fournage consistait en un denier toulousain ou un pain par setier de pain cuit au four.
Les consuls statuaient sur les plaintes déposées auprès des bailes. Les préjudices devaient être réparés et des amendes de cinq sous toulousains versées au seigneur.
Les blessures dites légales occasionnées par épée, bâton, pierre ou tout autre objet entraînaient une amende de 60 sous toulousains, un coup de pied ou de poing, 5 sous toulousains. L'adultère, en cas de flagrant délit, était puni de 20 sous toulousains ou bien les coupables devaient courir nus dans les rues du village. Le vol était puni d'amendes en fonction du lieu où il avait été commis ainsi que de la valeur de l'objet volé.
La charte précisait que les anciennes règles ne seraient pas modifiées. Les consuls étaient autorisés à nommer des messeguiers pour veiller à la police du lieu et à la garde des récoltes. Les vendeurs de blé prélevaient une obole par setier. Celui qui vendait du vin devait le faire publier. Les bouchers devaient jurer aux consuls que la viande vendue était saine ; ils ne pouvaient prélever qu'un denier toulousain par sou de chair fraîche. Tout habitant qui vendait du pain ne pouvait percevoir qu'un denier de bénéfice par setier. Les contraventions à ces règles entraînaient pour tous des amendes de 12 deniers toulousains.
4 consuls, Guilhemus Sancii, Ramondus Mercatale, Sancius Sabaterius et Arnaldus Aranhonus, ont signé cette charte. Ces consuls étaient nommés pour un an par les consuls sortant de charge et recevaient serment des bailes et tout homme attaché au service du château.
Cette charte a été écrite par Raymond, tabellion à Pamiers. Le comte de Foix, les seigneurs de Belpech, les consuls de Molandier ainsi que Ramundus (Raymond) "prior" de Molandier, Guilhemus de Ugenaco (Junac), Ramundus Arnaldi de Castroverduno (Château-Verdun), Petrus de Castlardo (Carla-Bayle), Poncius et Bernardus Ramundi de Mairevila (Mayreville), Geraldus de Ravato (Rabat-les Trois-Seigneurs), Bertrandus Camela (Sainte Camelle) en furent les décideurs pour certains et les témoins pour les autres.
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de onze[31],[32].
Commune faisant partie de l'arrondissement de Carcassonne de la communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère et du canton de la Piège au Razès (avant le redécoupage départemental de 2014, Molandier faisait partie de l'ex-canton de Belpech).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2021, la commune comptait 247 habitants[Note 6], en évolution de +4,22 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[37] | 1975[37] | 1982[37] | 1990[37] | 1999[37] | 2006[38] | 2009[39] | 2013[40] |
Rang de la commune dans le département | 191 | 155 | 190 | 201 | 212 | 217 | 217 | 221 |
Nombre de communes du département | 439 | 436 | 435 | 437 | 438 | 438 | 438 | 438 |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 97 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 230 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 370 €[I 2] (19 240 € dans le département[I 3]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 4] | 5,5 % | 7,5 % | 9 % |
Département[I 5] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 142 personnes, parmi lesquelles on compte 75,2 % d'actifs (66,2 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 24,8 % d'inactifs[Note 8],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Mazères, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 7]. Elle compte 26 emplois en 2018, contre 31 en 2013 et 29 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 94, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,7 %[I 8].
Sur ces 94 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 89,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun et 8,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
11 établissements[Note 9] sont implantés à Molandier au [I 11]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,4 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 11 entreprises implantées à Molandier), contre 13,3 % au niveau départemental[I 12].
La commune est dans le Razès, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aude[41], également dénommée localement « Volvestre et Razès »[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 6].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 26 | 16 | 19 | 12 |
SAU[Note 11] (ha) | 1 643 | 1512 | 1528 | 1492 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 26 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 16 en 2000 puis à 19 en 2010[43] et enfin à 12 en 2020[Carte 7], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[44],[Carte 8]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 643 ha en 1988 à 1 492 ha en 2020[Carte 9]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 63 à 124 ha[43].
Molandier fait partie de l'académie de Montpellier.
Blason | Coupé de sinople et d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |