Monieux

Monieux
Monieux
Blason de Monieux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Ventoux Sud
Maire
Mandat
Alain Gabert
2020-2026
Code postal 84390
Code commune 84079
Démographie
Gentilé Moniliens, Moniliennes
Population
municipale
272 hab. (2021 en évolution de −26,88 % par rapport à 2015)
Densité 5,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 04′ 05″ nord, 5° 21′ 35″ est
Altitude 700 m
Min. 439 m
Max. 1 022 m
Superficie 47,12 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pernes-les-Fontaines
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Monieux
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Monieux
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Monieux
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Monieux

Monieux est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont les Moniliens et les Moniliennes.

Il se distingue de la commune de Bonnieux, plus au sud dans le même département, dans le massif du Luberon.

Géographie

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Localisation

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La commune de Monieux est située sur les plateaux des monts de Vaucluse, proche de la commune de Sault.

Elle abrite sur son territoire une partie des sites classés « Réserve de biosphère » du mont Ventoux.

Communes limitrophes de Morieux
Flassan Sault Sault
Villes-sur-Auzon Morieux Sault
Méthamis Lioux Sault

La route départementale 942 permet de parcourir par les hauteurs avec plusieurs arrêts point de vue dont un belvédère (734 m) d'impressionnantes gorges dont fait partie le rocher de cire Lou Roucas dou Cire, chanté par le félibre Mistral. C'est un passage très emprunté par les cyclistes et touristes qui l'apprécient pour sa grande beauté et sa nature préservée. Le bourg est à six kilomètres de Sault en continuant par la route départementale 942, 30 kilomètres d'Apt et 40 kilomètres de Carpentras.

Le chemin de grande randonnée 9 passe par les gorges.

Les routes départementales 1 et 943 passent sur la commune.

Plateau de Sault, en bordure des monts de Vaucluse et Gorges de la Nesque (dont certaines falaises mesurent plus de 200 mètres de hauteur).

Les monts de Vaucluse sont formés de calcaires de l'ère secondaire, souvent perméables. L'eau s'enfonce dans la roche, créant des réseaux souterrains (système karstique), ressortant aux points bas comme la Fontaine-de-Vaucluse, ou encore au niveau de la source de la Nesque.

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse, dont celui de Sault, auquel appartient la commune, sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

Hydrographie

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Vue générale du plan d'eau de Monieux.

La Nesque passe sur la commune, alimentant au passage deux plans d'eau dont un plan d'eau d'environ 2,5 hectares, puis creuse des gorges : les Gorges de la Nesque, qu'elle parcourt sur environ 25 kilomètres pour finir au pied du bourg de la commune de Méthamis.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 984 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Christol », sur la commune de Saint-Christol à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 015,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −20,1 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Monieux est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), prairies (3,4 %), terres arables (3,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,7 %), cultures permanentes (1,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Préhistoire et antiquité

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Les gorges de la Nesque ont abrité nombre de populations préhistoriques. L'abri sous roche du Baou de l'Aubesier fut occupé par une tribu moustérienne, durant le paléolithique, soit environ 200 000 ans avant notre ère. L'abri du Castellaras fut occupé par une population néolithique. Il fut ensuite un des sites importants de la civilisation laténienne avec la Peysonnière. La colonisation romaine a laissé de nombreux fragments de poteries et un autel dédié à Mars Nabelcus[14].

Moyen Âge et Renaissance

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Au début du Moyen Âge, création du village de Monilis dépendant du comté de Sault qui deviendra Monjeu au XVIIIe siècle et Monieux au XIXe siècle. Le village fut frappé d'une épidémie de peste en 1630-1631. Ce fut pour éviter le retour d'un tel fléau que fut édifiée une chapelle dédiée à saint Roch en 1632. Démolie, sans que nulle archive en garde trace, elle fut reconstruite deux siècles plus tard lors d'une épidémie de choléra[15].

Période moderne

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Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

Période contemporaine

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Au cours du mois d'août 1944, une importante colonne de la Wehrmacht qui avait emprunté la route des Alpes (RN 100) remontait d'Avignon vers Digne. Informée de la présence de barrages installés par les résistants à l'entrée d'Apt, elle préféra bifurquer en direction de Sault par la RN 143[16]. Dès que ce changement de direction fut connu, l'alerte fut donnée par les Aptésiens à leurs compagnons de Saint-Jean-de-Sault, qui tenaient une permanence devant la cabine téléphonique du hameau[16].

Cette section du maquis Ventoux était composée d'officiers et sous-officiers de l'Armée de l'air. Largement prévenue à temps, elle tendit une embuscade, après Monieux, dans des gorges de la Nesque. Le tir nourri, déclenché dès que la colonne fut engagée, la cloua sur place et fit 110 morts[17]. Les résistants se replièrent alors tandis que le reste de la colonne reprit la route, en évitant Sault après quelques tirs d'obus. Les rescapés, la nuit tombée, dressèrent leur campement dans un bois sur le plateau d'Albion et poursuivirent leur route le lendemain. Totalement désemparés, les Allemands laissèrent derrière eux blessés et éclopés qui furent fait prisonniers le 25 août et incarcérés à Sorgues[17].

Le 5 juillet 1944, huit combattants de la Résistance de Cavaillon furent arrêtés par les nazis. Atrocement torturés, ils furent conduits près de la chapelle Notre-Dame-de-la-Consolation, implantée au bord de la D 1 qui file plein ouest de Sault à Carpentras, au niveau du col des Abeilles pour y être fusillés. Leur mémoire est honorée sur place par une stèle et un panneau explicatif.

René Baille, Jean-Louis Bastide, Armel Grimaud, Robert Heraud, Louis Labadie, Montagard Désiré, Montagard Maurice et Albert Plateaux, otages de la compagnie Brandebourg à Cavaillon, sont amenés tout près de la chapelle où ils sont fusillés par les légionnaires de la sinistre compagnie.

Les huit Cavaillonnais avaient été arrêtés en représailles d'actes de sabotage et de coups de main dans la Résistance. Bien avant leur exécution, ils subirent d'atroces tortures à l'hôtel Splendid de Cavaillon, siège de la compagnie Brandebourg.

Le , un syndicat intercommunal dit « syndicat intercommunal d'aménagement de la Nesque » regroupant onze communes du bassin versant de la Nesque a été créé par arrêté préfectoral dans le but d'assurer sa protection[18].

Ce site a été dénommé Mon Jovis à l'époque gallo-romaine, ce nom évolua jusqu'à de Montilis en 1380. Ce lieu était donc dédié à Jupiter à l'époque antique.

Héraldique

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Blason de Monieux

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'argent au loup ravissant d'azur, à la bordure de gueules[19].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Alain Gabert PRG[20]-MRSL Ancien conseiller régional
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 272 habitants[Note 2], en évolution de −26,88 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8827867989329881 006962971946
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
919914869837804792786724627
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
577556495391317281259234211
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
163151122171158250323344356
2018 2021 - - - - - - -
289272-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique
La buvette du plan d'eau.

Le tourisme tient une part importante de l'économie locale. La commune bénéficie d'ailleurs des services d'un office de tourisme.

Parmi les points d'attrait touristique : village perché, gorges de la Nesque, plan d'eau. Gîtes, chambres d'hôtes et restaurant. Galeries d'Art. Musée de la Truffe du Ventoux.

Agriculture

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Elle se cantonne essentiellement dans une activité de moyenne montagne de type provençal avec une production de lavande, de lavandin, d'épeautre et des produits dérivés. L'élevage ovin et la production de miel tiennent aussi une place importante.

Panier de truffes du Nord-Vaucluse, dites truffes du Périgord.

Fleuron de la gastronomie française, la truffe est une spécialité provençale, puisque la région produit 80 % des truffes en France[25]. Le Vaucluse, autour du piémont du mont Ventoux est, avec la Drôme provençale, le premier producteur de Tuber melanosporum[26]. Son marché reste hors normes, car c'est la seule production à échapper aux inspecteurs de l'administration fiscale, aucune transaction n'étant réglée par chèque[26]. L'approche des fêtes de fin d'année fait exploser les prix. Mais les meilleures truffes sont celles du mois de janvier, période où elles sont à pleine maturité[25]. En saison, ce sont les marchés de Carpentras et de Richerenches, les plus importants de la région, qui fixent les cours. Les rabassiers (trufficulteurs) affirment, pour justifier les prix, que le diamant noir naît entre les pluies des deux Vierges.

La truffe se récolte jusqu'à 1 000 mètres d'altitude. Préférant les terrains calcaires, elle se développe toujours en symbiose avec le chêne blanc ou vert, le frêne et le charme. Il est affirmé que les plus fines poussent à l'ombre du tilleul. Les trufficulteurs organisent chaque année des week-ends permettant de découvrir la rabasse in-situ sur les communes de Visan, Bonnieux, Monieux, Orange et Saint-Pierre-de-Vassols[25].

Aire de jeux enfants au niveau du plan d'eau.

Équipement

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L'école ayant dû fermer, les élèves doivent se rendre à Sault.

Il n'y a pas d'équipement public de santé, les médecins les plus proches sont à Sault et les centres hospitaliers à Apt et Carpentras.

Exposition du Mur à la Toile, photographies anciennes dans les rues du village, de juin à fin septembre.

Fête du Petit Epeautre et de la Gastronomie le 1er dimanche de septembre.

Environnement

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La protection et mise en valeur de l'environnement fait partie des compétences de la communauté de communes Ventoux Sud.

Lieux et monuments

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Vue de Monieux avant l'entrée dans les gorges de la Nesque.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Monieux et Saint-Christol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Christol », sur la commune de Saint-Christol - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Christol », sur la commune de Saint-Christol - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Monieux ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Robert Bailly, op. cit., p. 279.
  15. Robert Bailly, op. cit., p 280.
  16. a et b Aimé Autrand, op. cit., p. 131.
  17. a et b Aimé Autrand, op. cit., p. 132.
  18. syndicat intercommunal d'aménagement de la Nesque
  19. Armorial des communes du Vaucluse.
  20. Élus du PRG Vaucluse
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. a b et c Truffe, le diamant noir de la Provence
  26. a et b Jacques Galas, Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale, Alpes de Lumières (ISBN 978-2-906162-92-1), p.111.
  27. « Monieux.fr - Patrimoine historique », sur monieux.fr (consulté le ).
  28. Jules Courtet, op. cit., p. 230.

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Bibliographie

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  • Aimé Autrand, Le département de Vaucluse de la défaite à la Libération (mai 1940-25 août 1944), Aubanel, Avignon, 1965,
  • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
  • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
  • Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale, Alpes de Lumières, (ISBN 978-2-906162-92-1)

Articles connexes

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Liens externes

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