Mont-d'Astarac

Mont-d'Astarac
Mont-d'Astarac
Le village en 2021.
Blason de Mont-d'Astarac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Val de Gers
Maire
Mandat
Françoise Casalé
2020-2026
Code postal 32140
Code commune 32280
Démographie
Population
municipale
92 hab. (2021 en évolution de −15,6 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 45″ nord, 0° 34′ 08″ est
Altitude 349 m
Min. 234 m
Max. 386 m
Superficie 8,05 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Astarac-Gimone
Législatives Première circonscription
Localisation
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Mont-d'Astarac
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Mont-d'Astarac
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Mont-d'Astarac
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Mont-d'Astarac

Mont-d'Astarac (Lo Mont d'Astarac en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats, l'Arrat de devant et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Mont-d'Astarac est une commune rurale qui compte 92 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 339 habitants en 1793. Ses habitants sont appelés les Mont-d'Astaracais ou Mont-d'Astaracaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château de Salleneuve, inscrit en 1973, l'église Saint-Gilles, inscrite en 1975, et la porte de ville, inscrite en 1978.

Géographie

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Localisation

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Mont-d'Astarac est une commune de Gascogne, de l'Astarac et du Gers, située dans le sud-est du canton de Masseube. C'est une commune limitrophe avec les départements de la Haute-Garonne et des Hautes-Pyrénées, arrosée par l'Arrats de devant. Elle est située au croisement des routes D 228 et D 40.

Au lieu-dit "Tuco", on trouve le point culminant du département du Gers à l'altitude de 386 m.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Arrouède, Casterets, Sariac-Magnoac, Thermes-Magnoac, Boulogne-sur-Gesse, Chélan, Lalanne-Arqué et Manent-Montané.

Communes limitrophes de Mont-d'Astarac[1]
Arrouède Cabas-Loumassès
(par un quadripoint)
Chélan Mont-d'Astarac[1] Manent-Montané
Sariac-Magnoac
(Hautes-Pyrénées)
Casterets
(Hautes-Pyrénées)
Lalanne-Arqué,
Boulogne-sur-Gesse
(Haute-Garonne),
Thermes-Magnoac
(Hautes-Pyrénées)

Géologie et relief

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Mont-d'Astarac se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Mont-d'Astarac.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Arrats, l'Arrat de Devant, le ruisseau de Cadouille, le ruisseau de Lardit, le ruisseau de l'Escalé, le ruisseau de Séraut et le ruisseau du Pin, qui constituent un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[4],[Carte 1].

L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[5].

L'Arrat de devant, d'une longueur totale de 14,1 km, prend sa source dans la commune de Betbèze et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Arrats à Bézues-Bajon, après avoir traversé 10 communes[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 906 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sadeillan à 19 km à vol d'oiseau[9], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 900,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 1] est recensée sur la commune[13] : les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » (13 191 ha), couvrant 31 communes dont 28 dans le Gers et trois dans les Hautes-Pyrénées[14].

Au , Mont-d'Astarac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,4 %), terres arables (36,6 %), forêts (20,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports

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Entrée est du village.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Mont-d'Astarac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mont-d'Astarac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 58 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 58 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1993 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

La tour-porte, vestige de l'enceinte villageoise disparue.

L'histoire de Mont d'Astarac remonte aux années 930 lorsque le village devint la première capitale de l'Astarac. En effet, c'est sur le point culminant de la commune que se trouvait le château d'Arnaud Garcia qui s'y établit après avoir hérité le comté d'Astarac de son père, le comte de Gascogne - Garcia Sanche dit le Courbé.

À la Révolution, Mont-d'Astarac est un temps chef-lieu de canton sous le nom de Montagnard.

Un long déclin s'amorce ensuite mais la découverte par Jean-Michel Lassure de peintures murales datant du XVe siècle en juin 1968 dans l'église a donné au village une certaine notoriété qui lui permet aujourd'hui de voir visiteurs et passionnés s'intéresser à son patrimoine[20].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1984 mars 2001 Jean Louis Vignaux    
mars 2001 mars 2008 Daniel Larrieu    
mars 2008 En cours Françoise Casalé[21] PS Conseillère départementale

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23]. En 2021, la commune comptait 92 habitants[Note 2], en évolution de −15,6 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
339247287216319314292300280
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
280266245231234254238217196
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
195175174186165173169157132
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
1221071121031021039696107
2019 2021 - - - - - - -
9492-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Il n'y a pas d'école à Mont-d'Astarac.

Manifestations culturelles et festivités

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La salle des fêtes et son parking.
Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 1,8 % 8,1 % 4,1 %
Département[I 6] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 52 personnes, parmi lesquelles on compte 63,3 % d'actifs (59,2 % ayant un emploi et 4,1 % de chômeurs) et 36,7 % d'inactifs[Note 3],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 8]. Elle compte 19 emplois en 2018, contre 15 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 33, soit un indicateur de concentration d'emploi de 57,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,4 %[I 9].

Sur ces 33 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 48 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 74,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 19,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture

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8 établissements[Note 4] sont implantés à Mont-d'Astarac au [I 12]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 8 entreprises implantées à Mont-d'Astarac), contre 12,3 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture

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La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lʼéventail gascon[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 5] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 22 11 15 12
SAU[Note 6] (ha) 766 549 678 803

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 7] à 11 en 2000 puis à 15 en 2010[29] et enfin à 12 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 45 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[30],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 766 ha en 1988 à 803 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à 67 ha[29].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église (Logo monument historique Inscrit MH (1975)).
Le chœur pentagonal avec ses peintures murales fin XVe siècle.
La nef avec au premier plan un bénitier en marbre rose marbré de blanc.
  • Église gothique Saint-Gilles[31] ou Saint-Laurent[32]. L'édifice est inscrit aux monuments historiques depuis 1975[33],[34] : le chœur est orné de magnifiques peintures murales de la fin du XVe siècle. Elle comporte trois chapelles latérales ogivales, dont une est dédiée à sainte Anne.
  • Tour-porte (hauteur 12,4 m, fin XIIIe-début XIVe siècle [?], avec d'importants remaniements au XVe siècle), vestige de l'enceinte villageoise disparue[35].
  • Motte castrale du Plech (51 m sur 40 m, hauteur 3 m), à l'ouest de la tour-porte, qui servait de base à un château attribué à Arnaud-Garcie, fils de Garcie-Sanche et premier comte d'Astarac en 920[35].
  • Château de Salleneuve milieu XVIIIe siècle[26].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Mont-d'Astarac Blason
Écartelé d'or et de gueules
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  4. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  5. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  6. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  7. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Mont-d'Astarac » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. Insee, « Métadonnées de la commune de Mont-d'Astarac ».
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Mont-d'Astarac » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Mont-d'Astarac » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Mont-d'Astarac » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Mont-d'Astarac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « l'Arrats »
  6. Sandre, « l'Arrat de Devant »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Mont-d'Astarac et Sadeillan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Sadeillan » (commune de Sadeillan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Sadeillan » (commune de Sadeillan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Mont-d'Astarac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Mont-d'Astarac », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Mont-d'Astarac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. http://sites.google.com/site/montdastarac/
  21. Site de la préfecture du Gers - Fiche de Mont-d'Astarac
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. a et b Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
  27. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  28. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  29. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Mont-d'Astarac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  32. « Comité Départemental du Tourisme Destination Gers », sur tourisme-gers.com (consulté le ).
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  34. « Église paroissiale Saint-Laurent », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  35. a et b Jean-Michel Lassure, « Mont d'Astarac (Gers), Notes d'archéologie et d’histoire », Bulletin de la Société Archéologique du Gers,‎ 1976, 4e trimestre, p. 357-382..