Montaigu-de-Quercy | |||||
Vue générale. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Castelsarrasin | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Serres en Quercy | ||||
Maire Mandat |
Robert Alazard 2020-2026 |
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Code postal | 82150 | ||||
Code commune | 82117 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 296 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 20′ 28″ nord, 1° 01′ 08″ est | ||||
Altitude | 250 m Min. 131 m Max. 295 m |
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Superficie | 76,44 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Serres Sud-Quercy | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | montaigu-de-quercy.fr/ | ||||
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Montaigu-de-Quercy est une commune française située dans le nord-ouest du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Petite Séoune, le Boudouyssou, la Séoune, le Vigor et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Boudouyssou ») et neuf zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montaigu-de-Quercy est une commune rurale qui compte 1 296 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 4 221 habitants en 1821. Ses habitants sont appelés les Montacutains ou Montacutaines.
Commune située dans le Quercy et plus précisément dans le Quercy Blanc en Agenais, à 33 km au nord de Moissac, entre Fumel et Lauzerte. La commune est limitrophe des départements du Lot et de Lot-et-Garonne.
Montaigu-de-Quercy est limitrophe de dix autres communes dont deux dans le département du Lot et trois dans le département de Lot-et-Garonne. Les communes limitrophes sont Montcuq-en-Quercy-Blanc, Anthé, Courbiac, Tournon-d'Agenais, Belvèze, Lacour, Lauzerte, Roquecor, Touffailles et Porte-du-Quercy.
La superficie de la commune est de 7 644 hectares ; son altitude varie de 131 à 295 mètres[2].
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Petite Séoune, le Boudouyssou, la Séoune, le Vigor, un bras de la Petite Séoune, le ruisseau d'Aurignac, le ruisseau de la Fontaine de Bioule le ruisseau de Pervillac et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 55 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Petite Séoune, d'une longueur totale de 28,4 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Séoune à Puymirol, après avoir traversé 12 communes[5].
Le Boudouyssou, d'une longueur totale de 32 km, prend sa source dans la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Lot à Penne-d'Agenais, après avoir traversé 10 communes[6].
La Séoune, d'une longueur totale de 64,9 km, prend sa source dans la commune de Sauzet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Sauveterre-Saint-Denis, après avoir traversé 24 communes[7].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 873 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[8]. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1992 à 2014 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques pour la période 1981-2010[10].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,4 | 2,6 | 4,5 | 6,6 | 10,2 | 13,4 | 15 | 15,2 | 11,9 | 9,9 | 5,2 | 2,9 | 8,3 |
Température moyenne (°C) | 5,8 | 6,8 | 9,7 | 12 | 16,1 | 19,6 | 21,4 | 21,5 | 17,7 | 14,4 | 8,9 | 6 | 13,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,1 | 11 | 14,9 | 17,5 | 21,9 | 25,7 | 27,8 | 27,7 | 23,6 | 19 | 12,5 | 9,2 | 18,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−10 13.01.03 |
−14 09.02.12 |
−10 01.03.05 |
−2,5 04.04.1996 |
1 06.05.02 |
4 01.06.06 |
7 02.07.12 |
6,5 29.08.1998 |
2,5 27.09.10 |
−4 16.10.09 |
−7 17.11.07 |
−10 26.12.10 |
−14 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18,5 15.01.1993 |
23,5 15.02.1998 |
26 20.03.05 |
30 08.04.11 |
34 30.05.01 |
39 21.06.03 |
38,5 21.07.06 |
41 12.08.03 |
36 03.09.05 |
30 02.10.11 |
23 01.11.1999 |
18 08.12.10 |
41 2003 |
Précipitations (mm) | 73 | 66,4 | 62,2 | 78,6 | 86,5 | 67,1 | 53,7 | 61,4 | 68,1 | 73 | 74,3 | 76,2 | 840,5 |
Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lauzerte », sur la commune de Lauzerte à 13 km à vol d'oiseau[11], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 684,3 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −12,3 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Boudouyssou »[17], d'une superficie de 236 ha0[18].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Huit ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[19] :
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[19] : les « coteaux du Boudouyssou » (1 615 ha), couvrant 7 communes dont une dans le Lot, quatre dans le Lot-et-Garonne et deux dans le Tarn-et-Garonne[28].
Au , Montaigu-de-Quercy est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,4 %), terres arables (24,1 %), forêts (19,2 %), prairies (14,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), zones urbanisées (0,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,4 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès avec les routes départementales D 2 et D 7. Voir aussi l'ancien Tramways de Tarn-et-Garonne.
Le territoire de la commune de Montaigu-de-Quercy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Petite Séoune, le Boudouyssou et la Séoune. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[32]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1996, 1999, 2000 et 2007[33],[30].
Montaigu-de-Quercy est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 5],[34].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[35].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 958 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 958 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[30].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[38].
Le nom de la localité est attesté sous la forme castello quem vocant Montem acutum, c’est-à-dire un « château qu’on appelle mont aigu » dans un texte de 1040, de Gotz en 1328[39]. Son nom fait référence à la capacité de défense que recèle sa situation[style à revoir]. En effet, le toponyme est issu du latin mons, « montagne », « mont », et acutus, « aigu »[40].
En 1580, la ville est prise par les protestants commandé par Agrippa d'Aubigné, qui la défend ensuite contre les troupes royales du comte de Lude[41].
La ville de Montaigu-de-Quercy a adopté le blason de la branche aînée de la famille Montagu-Mondenard qui possédait un château à Montaigu-de-Quercy qui a disparu[42].
Les armes peuvent se blasonner ainsi : |
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[43],[44].
Commune faisant partie de l'arrondissement de Castelsarrasin de la communauté de communes du Pays de Serres en Quercy et du canton du Pays de Serres Sud-Quercy (avant le redécoupage départemental de 2014, Montaigu-de-Quercy était le chef-lieu de l'ex-canton de Montaigu-de-Quercy et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de Montaigu-de-Quercy Pays de Serres).
La commune de Montaigu-de-Quercy compte 181 lieux-dits ou écarts, parmi lesquels[45] : Le Clos, Maison-Neuve, Bel-Air, Le Chalet, Laval, La Tuiliere, Montplaisir, Le Faure, Le Roc, La Serre, etc.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[47].
En 2021, la commune comptait 1 296 habitants[Note 6], en évolution de −4,57 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[50] | 1975[50] | 1982[50] | 1990[50] | 1999[50] | 2006[51] | 2009[52] | 2013[53] |
Rang de la commune dans le département | 16 | 22 | 20 | 21 | 24 | 28 | 30 | 36 |
Nombre de communes du département | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 |
Montaigu-de-Quercy fait partie de l'académie de Toulouse.
L'enseignement est assuré sur la commune par une école primaire (maternelle et élémentaire)[54].
Maison de retraite type EHPAD
Comité des fêtes, office de tourisme,
Tour de Tarn-et-Garonne, pétanque,
En 2018, la commune compte 647 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 1 276 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 180 €[I 5] (20 140 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 7,6 % | 11,7 % | 10 % |
Département[I 8] | 8,4 % | 10,2 % | 10,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 669 personnes, parmi lesquelles on compte 74,7 % d'actifs (64,7 % ayant un emploi et 10 % de chômeurs) et 25,3 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 516 emplois en 2018, contre 545 en 2013 et 605 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 457, soit un indicateur de concentration d'emploi de 112,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,9 %[I 11].
Sur ces 457 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 274 travaillent dans la commune, soit 60 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 76,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % les transports en commun, 13,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
163 établissements[Note 9] sont implantés à Montaigu-de-Quercy au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 163 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
16 | 9,8 % | (9,6 %) |
Construction | 25 | 15,3 % | (14,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
51 | 31,3 % | (29,7 %) |
Information et communication | 2 | 1,2 % | (1,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 7 | 4,3 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 7 | 4,3 % | (3,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
17 | 10,4 % | (14,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
21 | 12,9 % | (13,6 %) |
Autres activités de services | 17 | 10,4 % | (9,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,3 % du nombre total d'établissements de la commune (51 sur les 163 entreprises implantées à Montaigu-de-Quercy), contre 29,7 % au niveau départemental[I 15].
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[55] :
La commune est dans le pays de Serres, une petite région agricole située dans le nord-ouest du département de Tarn-et-Garonne[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 139 | 96 | 72 | 64 |
SAU[Note 12] (ha) | 3 870 | 3 884 | 3 694 | 4 086 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 139 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 96 en 2000 puis à 72 en 2010[58] et enfin à 64 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[59],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 3 870 ha en 1988 à 4 086 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 28 à 64 ha[58].
Nés dans la commune, par dates de naissance :
Décédés dans la commune :
Résident, inhumé dans la commune :