Mouroux

Mouroux
Mouroux
La mairie.
Blason de Mouroux
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité CA Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Jean-Louis Bogard
2024-2026
Code postal 77120
Code commune 77320
Démographie
Gentilé Mourousiens
Population
municipale
5 928 hab. (2021 en évolution de +11,09 % par rapport à 2015)
Densité 353 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 20″ nord, 3° 02′ 17″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 156 m
Superficie 16,77 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Coulommiers
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Mouroux
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Mouroux
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Mouroux
Liens
Site web https://www.ville-mouroux.fr/

Mouroux (prononcé [mu.ˈʁu]) Écouter est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Géographie

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Localisation

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Mouroux est un bourg périurbain de la vallée du Grand Morin en Brie, jouxtant par l'ouest Coulommiers situé à vol d'oiseau à 51 km à l'est de Paris, 19 km au sud-est de Meaux, 15 km au sud-ouest de La Ferté-sous-Jouarre, 35 km au nord-ouest de Provins et 42 km au nord-est de Melun.

Le sentier de grande randonnée GR 14 y passe.

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Paris, ainsi que dans l'unité urbaine de Coulommiers, dans la zone d'emploi et dans le bassin de vie de cette ville[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Pommeuse, Saint-Augustin, Aulnoy, Coulommiers, Giremoutiers et Beautheil-Saints.

Communes limitrophes de Mouroux
Giremoutiers Aulnoy
Pommeuse Mouroux Coulommiers
Saint-Augustin Beautheil-Saints

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 16,77 km2 ; son altitude varie de 63 à 156 mètres[1].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Mouroux.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

  • la rivière le Grand Morin, longue de 118,2 km[2], affluent en rive gauche de la Marne ;
    • la Fausse Rivière, canal de 4 km[3], et ;
    • le ru du Liéton, 9,2 km[4], affluents du Grand Morin ;
  • le canal 01 de la Commune de Mouroux, 1,1 km[5].

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 9,69 km[6].


Gestion des cours d'eau

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Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[9].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,3 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Statistiques 1991-2020 et records MOUROUX_SAPC (77) - alt : 148m, lat : 48°50'49"N, lon : 3°03'25"E
Records établis sur la période du 01-11-1996 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,6 3,5 5,7 9,2 12,1 13,6 13,5 10,6 8,1 4,5 2,1 7,1
Température moyenne (°C) 3,7 4,6 7,5 10,6 14,2 17,3 19,3 19,2 15,9 12 7,2 4,4 11,3
Température maximale moyenne (°C) 6 7,7 11,5 15,6 19,1 22,4 25 25 21,1 15,8 9,9 6,7 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−14,4
07.01.09
−11,8
04.02.12
−10,1
13.03.13
−3,9
08.04.03
0,4
24.05.13
3,3
04.06.01
6,1
04.07.08
4,7
26.08.18
2,3
25.09.02
−3,7
29.10.1997
−9,4
24.11.1998
−11,4
31.12.1996
−14,4
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
05.01.1999
18,8
24.02.21
24,8
31.03.21
28,5
20.04.18
31,2
28.05.17
36
27.06.11
41,1
25.07.19
38,9
12.08.03
34,8
09.09.23
27,8
01.10.11
22,1
07.11.15
16,4
07.12.00
41,1
2019
Précipitations (mm) 57,9 55,9 52,6 44,6 62,4 61,2 61,9 63,3 50,6 65,8 65,3 79,8 721,3
Source : « Fiche 77320002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé en 2021 sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Vue aérienne dxe l'aéroport, au second plan le bourg de Mouroux et au fond Coulommiers.

Au , Mouroux est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18].

Elle appartient à l'unité urbaine de Coulommiers[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[19],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,8 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,8% ), forêts (22,2% ), zones urbanisées (17% ), prairies (6,1% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,4% ), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[22].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23],[24],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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La commune compte 182 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[25] dont Voisins, Boussois, Bois la Ville, les Chicotets, la Belle Idée, Montblu, Mitheuil, Coubertin, les Courrois, les Parrichets, Mont-Martin, les Aisances, Bois Guyot.

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 2 476, alors qu'il était de 2 167 en 2016 et de 1 988 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 90,1 % étaient des résidences principales, 2 % des résidences secondaires et 7,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Mouroux en 2021 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (2 %) par rapport au département (3,1 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Mouroux en 2021.
Typologie Mouroux[I 3] Seine-et-Marne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,1 90,2 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2 3,1 9,7
Logements vacants (en %) 7,9 6,7 8,1

Planification

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La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvé le et porté par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[26].

La commune disposait en 2019 d'une carte communale approuvée[27].

Voies de communication et transports

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Mouroux est traversée par l'ancienne route nationale 34 actuelle RD 934, qui le relia à Paris et Esternay.

La commune est desservie depuis 1863 par la gare de Mouroux, une halte de la ligne de Gretz-Armainvilliers à Sézanne desservie par les trains de la branche sud de la ligne P du Transilien

La ligne d'autocars No 03B (CoulommiersMeaux) du réseau de bus Brie et 2 Morin dessert également Mouroux.

L'aérodrome de Coulommiers - Voisins est situé en partie sur la commune.

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Morou en 1145[28] et en 1154[29] ; Moro en 1190[30] ; Morout en 1249[31] ; Morotum en 1353[32] ; Parochia Moronis au xve siècle[33] ; Mourou en 1528[34] ; Morou en 1684[35] ; Moru en 1684[36].

Du celtique mora, de l'ancien français moree (marécage, marais)[37].

Le 425th Night Fighter Squadron stationné à Mouroux en 1945.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Meaux du département de la Seine-et-Marne[I 1].

Elle faisait partie depuis 1792 du canton de Coulommiers[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Coulommiers[I 1] porté de 15 à 51 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.

Intercommunalité

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Mouroux était membre de la communauté de communes de la Brie des Templiers, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1998 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné avec la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois Rivières pour former, le , la communauté de communes du Pays de Coulommiers.

Une seconde fusion intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, et cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes du Pays fertois pour former, le , la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie, dont est désormais membre la commune[I 1].

Tendances politiques et résultats

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Au premier tour des élections municipales de 2014 en Seine-et-Marne[38], la liste DVD menée par Joseph Allebe obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 213 voix (52,85 %, 21 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant de 131 voix celle DVG menée par la maire sortante Élisabeth Escuyer[39], qui recueille 1 082 voix (47,14 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 33,34 % des électeurs se sont abstenus[40].

Au premier tour des élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne, la liste DVG menée par Michel Saint-Martin[41] obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 735 voix (55,22 %, 23 conseillers municipaux dont 3 communautaires), devançant largement celle DVD menée par la maire sortante Sylvie Tournoux[42], qui recueille 596 voix (44,77 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 65,01 % des électeurs se sont abstenus[43].

A la suite de la démission de conseillers municipaux de la majorité puis de l’opposition, des élections municipales partielles sont organisées en décembre 2024[44],[45],[46].
Au second tour, la liste SE menée par Jean-Louis Bogard obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 604 voix (35,34 % des suffrages exprimés), devançant légèrement celles menées par Matthieu Alonso (RN, 561 voix, 32,83 %) et Marilyn Schmitt (DVD, 544 voix, 31,83 %). Lors de ce scrutin, 59,44 % des électeurs se sont abstenus[47],[48].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[49],[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  1823 Pierre-Marie-François Huvier des Fontenelles Royaliste Homme de lettres
Franc-maçon, vénérable de la loge Saint-Jean de Coulommiers (1805-1810)[50]
         
janvier 1930 juillet 1936[Note 6] Fernand Georges Picot    
         
décembre 1947 mars 1959 Fernand Georges Picot[Note 6]    
         
mars 1971 mars 1977 Raymond Rousselot    
mars 1977 juin 1995 Serge Laurent PS Conducteur de rotative
juin 1995 mars 2008 Nicole Charpentier[51] RPR puis UMP  
mars 2008[52] mars 2014 Élisabeth Escuyer PS Retraitée de l'enseignement
mars 2014[53] février 2018[54] Joseph Allèbe UMPLR Retraité du Trésor public
Mort en fonction
février 2018[55] mai 2020[56] Sylvie Tournoux DVD Retraitée, ancienne adjointe chargée du logement
mai 2020[57] décembre 2024 Michel Saint-Martin ECO Ancien cadre
Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal[44]
décembre 2024[47] En cours Jean-Louis Bogard   cadre supérieur d’Orange

Équipements et services publics

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Bureau de poste et distributeur bancaire, en 2017.

Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [58],[59].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Mouroux est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte et[60],[61],[62].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[63]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[60],[64].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [60],[65],[66].

Enseignement

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La commune dispose de quatre écoles : les écoles élémentaires Odette-et-Edouard-Bled et Frenand-Picot, et les écoles maternelles Les Chicotets et du Moulin[67].

Les enfants poursuivent leurs études au collège George-Sand[67].

L'intercommunalité réalise en 2023-2025 un accueil de loisirs de 120 places, proche de la cantine et de l’école Bled[68].

Un médecin libéral est installé dans la commune, qui envisage la création d'une maison médicale[69],[70].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[71]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[72].

En 2021, la commune comptait 5 928 habitants[Note 7], en évolution de +11,09 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8001 7261 7841 6721 9242 0102 0661 7221 703
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6721 8241 6801 8241 6161 5951 5671 5271 582
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6161 6901 7401 6431 8111 9381 8311 6301 840
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 8411 8292 2462 8343 5944 2014 6094 6715 104
2017 2021 - - - - - - -
5 4915 928-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[73].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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La deuxième édition du festival de l’écologie « People Looking Up » se tient début juin 2024 ur le site de l’argenterie[74].

Sports et loisirs

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  • Café culturel "C'est déjà ça" , carrefour des initiatives associatives locales qui propose également des activités pour tous les âges et des concerts[75]

La ville de Coulommiers et les communes environnantes (Mouroux, Boissy-le-Châtel, Aulnoy, Chailly-en-Brie, Chauffry, Faremoutiers, Pommeuse, Giremoutiers, Saint-Germain-sous-Doue) ont été choisies pour être les premières à passer au tout numérique pour la diffusion de la télévision hertzienne. Depuis le , l'émetteur de Mouroux, site des Parrichets, diffuse la TNT. L'extinction du signal analogique a eu lieu le [76].

Secteurs d'activité

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Agriculture

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Mouroux est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[77].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[78]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 11 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 64 ha en 1988 à 60 ha en 2010[77]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Mouroux, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Mouroux entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[77],[Note 9]
Nombre d’exploitations (u) 11 11 7
Travail (UTA) 18 11 8
Surface agricole utilisée (ha) 709 450 418
Cultures[79]
Terres labourables (ha) 652 395 402
Céréales (ha) 523 249 s
dont blé tendre (ha) 294 170 178
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 128 s 63
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s s s
Élevage[77]
Cheptel (UGBTA[Note 10]) 77 120 70

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Remi des XIIIe, XVIe – XIXe siècles.

Personnalités liées à la commune

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  • Édouard Bled (1899-1996), enseignant, défenseur de la langue française. Il a été instituteur à Mouroux de 1921 à 1926[81],[82]. Une des écoles de la commune porte son nom, ainsi que de sa femme.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Mouroux », p. 342–343

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Coulommiers comprend une ville-centre et cinq communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  6. a et b Une des écoles de la commune porte le nom de ce maire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
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Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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