La commune se situe à 64 kilomètres au sud d'Amiens, à 22 kilomètres à l'est de Beauvais, à 38 kilomètres à l'ouest de Compiègne et à 51 kilomètres au nord de Paris[1].
La commune s'étend entre 37 mètres et 123 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le site le plus élevé se trouve à la limite ouest du territoire avec Cauvigny tandis que le point le plus bas se situe dans le lit aval du Thérain l'intersection des limites communales avec Bury et Balagny-sur-Thérain, au sud-est. La ville, située dans la vallée du Thérain (à l'est et au nord), se trouve au pied du plateau de Thelle, occupant le centre et l'ouest du territoire, où se trouve la ferme de Janville. Un ensemble de vallons (val Saint-Jean et fond de Guival, au nord et vallons entre Fourneaux et Janville, au sud) et de coteaux (côte de lagate, au nord) compose le dénivelé entre le plateau et la vallée. La mairie se situe aux alentours de 40 mètres d'altitude, tout comme le centre-ville. Le quartier de Nœud, se trouve entre 50 et 75 mètres, Coincourt à 46 mètres, Fourneaux, à 43 mètres, le quartier de la gare à 41 mètres, le hameau de Saint-Jean à 60 mètres et la ferme de Janville (à l'ouest), à 107 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. La commune se situe en zone de sismicité 1[3].
La commune se situe sur la rive droite du Thérain, sous-affluent de la Seine prenant sa source à Grumesnil et se jetant dans l'Oise à Saint-Leu-d'Esserent. Une partie de cours sert de limite communale avec Hondainville, Angy et Bury. Arrivant sur le territoire au pont de la D 512E, au nord de la commune, il traverse l'agglomération où il se divise en plusieurs bras. Il passe ensuite à proximité de la gare et se divise une nouvelle fois en deux bras avant de quitter le territoire. Plusieurs affluents du Thérain se trouvent sur la commune : le ruisseau Saint-Jean, prenant sa source dans la vallée du même nom, passe à Mouchy-la-ville avant de rejoindre le chef-lieu par les bois Aulnay et de Nœud, située le fond de la vallée du Thérain. Au sud de la commune, un ruisseau intermittent naissant dans le vallon en contrebas de Janville rejoint d'autres ruisseaux de ce type, en formant alors un petit cours d'eau, traverse les marais du Haut de Mouy avant de rejoindre le quartier de Fourneaux. Quelques rus traversent également la zone industrielle, à l'est du chef-lieu. Plusieurs étangs se situent sur le territoire, au nord du centre-ville et du quartier du Nœud, près du Thérain, dans le val Saint-Jean, au lieu-dit« le Baton » (au nord de la commune), ainsi que dans les marais du haut de Mouy (au sud). Deux réservoirs à eau se trouvent au sommet du coteau dominant le chef-lieu et une station d'épuration se situe dans la zone industrielle[2]. Une fontaine se trouve rue Gambetta.
La commune est parfois sujette à des inondations[3], les zones les plus basses du territoire sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques[4].
Le Thérain depuis la rue de la Gare.
Roue à aubes d'un ancien moulin sur le Thérain, jardin public, avenue du 8-Mai-1945.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 634 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Hormis le tissu urbain, qui s'étend sur 17,3 % de la surface communale soit 177 hectares, le territoire est composé à 41,8 % de cultures. Les espaces boisés, issus principalement des coteaux et du fond de la vallée du Thérain comme les bois Aulnays, de Nœud et le parc municipal rassemblent 353 hectares, pour 34,5 % de la superficie. Les vergers et prairies comptabilisent 48 hectares tandis que les espaces humides et marécageux ne rassemblent que 5.6 hectares, à la limite sud-est. Enfin, la commune comprend 4 hectares de cours d'eau ainsi que 3 hectares de squares et de petits espaces verts[11],[2]. Les prairies humides des Halgreux, au nord de la commune, sont inscrites en Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[12]. Les coteaux du plateau de Thelle et le fond de la vallée du Thérain constituent un corridor écologique potentiel[13].
La faune et la flore sont caractéristiques des milieux aquatiques. Rivières, marais et étangs favorisent la présence d'oiseaux migrateurs tels que hérons et canards sauvages ainsi que diverses variétés de plantes et d'arbres tels que les roseaux ou les saules pleureurs.
Au , Mouy est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].
Elle appartient à l'unité urbaine de Mouy[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[16].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (43,9 %), forêts (33,8 %), zones urbanisées (13,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La ville est divisée en plusieurs quartiers de part et d'autre du centre-ville : le quartier de la gare à l'est, le faubourg de Nœud à l'ouest, Coincourt au nord-ouest, et Fourneaux au sud. On trouve en dehors de l'espace urbain plusieurs écarts constitués par des exploitations agricoles : la ferme Saint-Jean au nord-ouest, la ferme de Janville au sud[2].
La friche Rabourdin, de 1,7 ha, qui fut une usine de métallurgie, vacante depuis 2011 après 98 années d'activité, située en centre-ville, à proximité des équipements publics et du Thérain, est réhabilitée, dépolluée et transformée en logements, avec l'aide de l'établissement public foncier de l'Oise (EPFLO). Leur livraison devrait commencer en 2021/2022[18].
La ville de Mouy est traversée par dix routes départementales : la D 55, la D 86, la D 137 et son antenne la D 137D, la D 512, la D 512E, la D 550, la D 929 et ses variantes, les D 929E et D 929F. La route départementale 929, ancienne route nationale 329 reliant Beaumont-sur-Oise à Clermont et Brunvillers-la-Motte à Albert, arrive sur le territoire depuis Balagny-sur-Thérain puis traverse la zone industrielle par les avenues du 11-Novembre-1918 et du 8-Mai-1945. Elle rejoint ensuite Angy par les rues de la Gare, de la République et Jean-Corroyer.
La D 929E, ancienne route départementale 929 déclassée, traverse la ville par les rues du Général-Leclerc, Gambetta et les places Cantrel et du Docteur-Avinin. La D 929F constitue uniquement la rue des Caves. La route départementale 137, reliant Noailles à Maimbeville, arrive depuis l'ouest en suivant les rues de Noailles, Auguste-Baudon, Jean-Corroyer et Noël-Ruffier avant de rejoindre Bury.
La D 137D, se séparant de la D 137 à Bury, traverse le Thérain, puis croise la D 929 avant de rejoindre la D 929E. La route départementale 55, débutant rue Jean-Corroyer, suit la rue Frédéric-Guillaume et quitte la commune par le nord. La route départementale 86 débute depuis la rue du Général-Leclerc et rejoint Ully-Saint-Georges par la rue Gaston-Fournival. La route départementale 512 se sépare de la rue de Noailles et accède à la commune d'Heilles par la rue du même nom.
La D 512E relie cette dernière à la D 55. La rue de Janville relie le quartier de Coincourt au nord pour rejoindre le hameau de Cousnicourt (commune d'Ully-Saint-Georges) par la ferme isolée de Janville, au sud. Depuis la commune voisine de Bury, on peut rejoindre la route départementale 12 reliant les villes principales de Beauvais à Creil[2].
Une voie de contournement de la route départementale 137 par le sud de la ville est à l'étude en 2013. Celle-ci devrait prolonger l'actuelle D 137D jusqu'à l'ouest de la commune[19]
La gare, rénovée en 2019 pour 500 000 €, dont les trois quarts ont été apportés par la Région Hauts-de-France, offre depuis un système d'information dynamique, des portes automatiques, des balises sonores, des locaux accessibles aux personnes à mobilité réduite, un éclairage renforcé, des sièges et bancs renouvelés, ainsi qu'une façade rénovée[22],[23]
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Le nom de la localité est attesté sous les formes Drogonem de moi (vers 1136) ; Moi (vers 1136) ; Moy (1179) ; Drogo de Moy (1190) ; Drogo miles de moi (vers 1200) ; Moye (1204) ; Radulfus de Moyaco (1214) ; Moyacum (1226) ; Mooy (1239) ; domini de Moia[co] (1244) ; drochone de moiaco dominus de monciaco (1244) ; Moicum (1270) ; iohannis de moi (1270) ; Moiacum (1272) ; Johanni de Moiaco (1287) ; Jehan de Moy (1287) ; de Moyaco (1292) ; capella in castro de Moys (XIVe) ; Mouy (1522) ; Mouy sur Therain (1536) ; Mouy en Picardie (vers 1610) ; Mouï (XVIe) ; Mouy sur Terrain (1660) ; « Mouy sur terain dans lisle de france » (1728) ; Mouhy (XVIIIe) ; Mouy-de-l’Oise (XIXe)[25].
Les terres de Mouy semblent avoir été possession des Sires de Moÿ de Vermandois également seigneurs des terres de Moÿ dans l'Aisne. Cette famille est connue depuis l'an 1045.
À partir du XIIe siècle, Mouy était une place forte dépendante de la châtellenie de Mouchy-le-Chatel.
En 1459, on parle de Mouy comme d'un village de 300 feux et dont le cœur est constitué par une église, un château et ses dépendances. Lors de la rénovation de la place Cantrel, 23 sépultures médiévales ont été découvertes en 2018[26],[27].
Le château dont il ne reste qu'une petite partie, servit de refuge aux protestants de la région durant les guerres de Religion du XVIe siècle, le Seigneur de l'époque étant partisan de la réforme.
Cette citadelle, enjeu de plusieurs combats, fut prise et reprise tout au long de ces périodes troublées et connut les destructions et les représailles du pouvoir catholique que pareille situation suppose. Le dernier des Vaudrey-Coligny (famille possédant les terres de Mouy depuis 1449) étant resté le seigneur de Mouy après les événements que la place avait dû endurer, il devint le serviteur le plus zélé de Henri IV.
Mouy, par le jeu des seigneurs morts sans postérité et des successions multiples, finira par échoir à Monsieur le Frère du Roi avant la Révolution.
Si en 1790 Mouy est encore un gros village de 400 maisons, en 1830, le nombre d'habitations a quasiment doublé. Cet essor se poursuit tout au long du XIXe siècle.
Les Mouysards de l'époque semblent acquis aux idées nouvelles si on en croit le curé Sallentin qui prend fait et cause pour la Révolution française et demande à ses paroissiens de soutenir le nouveau régime. Une large part de la population partageait ces sentiments puisqu'en 1792, parmi les volontaires combattant les armées royalistes venant de l'étranger, on relève le nom d'une femme patriote, Marie Geneviève Prothais, ce qui n'était pas habituel dans la région.
Ces idées de progrès et de liberté restent fortement ancrées et le , les résultats au plébiscite de Louis-Napoléon Bonaparte placent le canton de Mouy en tête des votes négatifs du Département (moyenne départementale 4 %) avec Mouy à 30 %.
Dans le même temps, on assiste à un développement industriel considérable de la Ville grâce au Thérain qui fournit la force motrice nécessaire à l'implantation de l'industrie textile relayée dans les années 1860 par celles des cuirs et peaux et de la brosserie.
De cette croissance, il ne reste que des grandes bâtisses, maisons de maître du XIXe siècle dont l'architecture emprunte beaucoup au mouvement haussmannien, et quelques chapelles vétustes dans l'ancien cimetière. Ces constructions témoignent d'une richesse insolente pour quelques-uns et de beaucoup de misère pour une population laborieuse dépourvue de tout, au point qu'il faut la création d'une cantine scolaire en 1894 pour que les enfants indigents fréquentent l'école.
Après la Première Guerre mondiale, les industries s'affaiblissent peu à peu. La manufacture de tapis, vestige des anciennes filatures, les fabriques de chaussures ferment une à une. La tannerie disparaîtra dans un incendie. Seule l'industrie de la brosserie s'adapte aux nouveaux modes de production et continue de nos jours. Elle semble néanmoins connaître ses dernières heures.
Au second tour des élections municipales de 2020, où s'opposaient cinq listes, celle menée par Philippe Mauger (DVG, ancien maire-adjoint avant 2008) a obtenu la majorité des voix avec 30,89 % des suffrages exprimés, devançant celles de Karim Lamaazi (Div C, 26,73 %), de Frank Deruem (DVD, 18,82 %) de la maire sortante, Anne-Marie Delafontaine (DVG, 18,76 %) et celle de Laurent Hadzamann (RN, 4,81 %). L'abstention s'est élevée à 49 % des inscrits[31],[32].
Contremaître dans une usine de chaussures puis commerçant Dirigeant de l’union sportive de Mouy des années 1920 à 1958 Mandat écourté par la dissolution du conseil municipal
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].
En 2021, la commune comptait 5 305 habitants[Note 7], en évolution de +0,47 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 527 hommes pour 2 728 femmes, soit un taux de 51,91 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,3
90 ou +
1,6
4,7
75-89 ans
7,9
13,8
60-74 ans
14,5
20,0
45-59 ans
17,5
22,2
30-44 ans
20,4
18,9
15-29 ans
18,9
20,1
0-14 ans
19,1
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[48]
Football : Le club de l'US Mouy Football Fondée en 1912 fête son centenaire en 2012, chose rare de nos jours, avec un nombre avoisinant les 175 licenciés, partenaire du téléthon, le club de football est un acteur majeur de l'insertion sportive dans tout le canton de Mouy.
Cyclisme : le VTT ROUTE Club de Mouy a été fondé en 1995 par deux habitants de la commune passionnés de VTT, Jean-Louis Alonzo et Michel Gaudfroy. Quelques années plus tard, face au nombre d'adhésion grandissant, une section cyclisme sur route a été créée. Le club organise tous les ans fin septembre la Mouysarde.
Tennis : Le TC Mouy a été fondé en 1969 par Gérard Vercoustre. Il est un des quatre seuls clubs isariens a posséder des véritables terres battues extérieures (2). Le club compte également une terre battue synthétique en salle et deux quicks extérieurs, rénovés en 2013.
L'église Saint-Léger : Ce bâtiment de style gothique a été construit à partir de 1160/1175 et a connu plusieurs phases d'édification à travers les siècles. Ses dimensions (longue de 45 mètres, large de 27 mètres au transept et de 19 mètres à la nef) laissent supposer que la population du XII-XIIIe siècles était déjà conséquente. Le chœur de l'église, de forme polygonale, fut la première partie bâtie dans la deuxième partie du XIIe siècle. Puis, fin XIIe-début XIIIe, le transept fut adjoint au chœur. La nef vint compléter l'édifice durant le XIIIe siècle. Mais les architectes, voulant réaliser le plus grand édifice gothique du moment, furent trop ambitieux et les voûtes du chœur s'écroulèrent en 1284. La sacristie ne fut construite qu'à la fin du XVIe-début du XVIIe siècle. Le clocher date de 1757. Mais, à l'origine, il y avait une flèche de pierre fine et élancée qui fut emportée par un ouragan en 1450 et au XVIIIe siècle. L'église est classée monument historique depuis 1936[50], et sa rénovation s'engage en 2019[51].
La Maison Bordez-Greber (début du XXe siècle), inscrite monument historique depuis 1990[52].
En 1849 le malacologue français Dominique Dupuy a décrit l'espèce Vertigo moulinsiana, dont la localité type est officiellement la commune de Mouy.[réf. nécessaire]
D’azur à la roue d’engrenage d’or, chargée d’un fuseau et d’une navette d’argent passés en sautoir, eux-mêmes surchargés d’un rencontre de bélier du même[54].
Devise
Le travail ennoblit l’homme
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
D'or à un sautoir de gueules, cantonné de 4 merlettes du même.
René Parmentier, « Le prieuré de Saint-Jean-du-Vivier », Congrès archéologique de France : séances générales tenues en 1905 à Beauvais, Pais / Caen, A. Picard / H. Delesques, , p. 450-470 (lire en ligne)
René Parmentier, « Le prieuré de Saint-Jean-du-Vivier », Mémoires de la Société archéologique et historique de Clermont, Clermont (Oise), Imprimerie Daix frères, no 3, , p. 1-16 (ISSN1160-3844, lire en ligne)
Antoine-Joseph Warmé, Mouy et ses environs : Mouy, Beauvais, Impr. de D. Père, , 520 p. (lire en ligne), p. 1-190
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Mouy comprend deux villes-centres (Bury et Mouy) et deux communes de banlieue.
↑Une rue de la commune honore la mémoire d'André Briot
↑Une résidence de personnes âgées porte le nom du Dr Guy Comeau-Montasse
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Julien Heyligen, « Mouy : la friche industrielle géante retrouve un avenir : À l’abandon depuis 2011, le site Rabourdin va être rasé et dépollué pour laisser place d’ici 2 à 3 ans à des logements. Les travaux commencent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑Julien Heyligen, « La gare modernisée de Mouy-Bury conforte l’avenir de la ligne Creil-Beauvais : 500 000 € de travaux ont été effectués sur cet arrêt situé sur un axe ferroviaire dont la fermeture a plusieurs fois été évoquée ces dernières années », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Et l'arrivée annoncée pour 2024 de la ligne Roissy-Picardie, qui reliera Creil à l'aéroport, rendra le secteur proche d'une considérable zone d'emplois ».
↑Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 381.
↑Julien Heyligen, « Mouy : la découverte de 23 tombes stoppe les travaux de la place : Les archéologues ont mis au jour 23 sépultures datant du Moyen Age. Les commerçants s’inquiètent de l’impact sur la durée du chantier », Le Parisien,édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑J.H., « Mouy : les travaux de la place vont reprendre autour des tombes : Le chantier avait été arrêté à la suite de la découverte de ce patrimoine archéologique », Le Parisien,édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Le Clermontois accepte Mouy et Bury », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Au terme du vote, les deux tiers des conseillers communautaires se sont dits prêts à accueillir les deux villes de la vallée du Thérain quand un tiers n'en veut pas. Le dernier mot reviendra à la commission départementale qui pourra proposer au préfet une alternative ».
↑« L'adhésion au Clermontois inquiète l'opposition à Mouy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« La maire PS de Mouy a en effet tout fait pour que sa ville adhère à la communauté de communes du Pays du Clermontois (CCPC) au lieu de celle du Pays de Thelle, comme le prévoyait le préfet (...) Les premières décisions de la CDCI sont tombées cet hiver, dont celle d'autoriser Mouy à rejoindre le Clermontois. Une perspective qui inquiète la liste Ensemble avec les habitants de Mouy. L'opposition de gauche a déposé une question écrite au maire lors du dernier conseil municipal ».
↑« Jean Sylla à Mouy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« A 70 ANS, Jean Sylla s'attaque à son quatrième mandat de maire. Au cours de la première réunion du nouveau conseil municipal, le conseiller général a obtenu 23 des 29 suffrages exprimés ».
↑V. F., « L'adjointe socialiste au maire présente sa liste », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Pour la première fois depuis 1977, il n'y aura pas de liste commune entre communistes et socialistes lors des prochaines élections municipales à Mouy. Samedi, la socialiste Anne-Claire Delafontaine, conseillère générale depuis 2004, adjointe au maire de Mouy chargée des affaires scolaires, a présenté sa propre liste ».
↑« Les ambitions d'Anne-Claire Delafontaine (PS) pour Mouy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Six ans après avoir ravi la mairie de Mouy à ses ex-alliés du Parti Communiste (PC) Anne-Claire Delafontaine (PS) entend bien poursuivre sa tâche ».
↑Patricia Haute-Pottier, « Mouy : Jean-Pierre Fouquier rate l'élection à 40 voix », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Anne- Claire Delafontaine élue maire mais... Jean- Pierre Fouquier a déposé un recours en annulation », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284, , p. 12 (ISSN1144-5092).
↑Julien Heyligen, « Municipales à Mouy : « Ce travail de longue haleine, c’est ce qui m’a fait gagner » : Philippe Mauger, ancien militant syndicaliste et membre du Parti communiste, prendra les rênes de la commune ce vendredi lors du conseil municipal d’installation », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Philippe Mauger entre en politique en 1983 aux côtés de Jean Sylla, emblématique maire communiste de Mouy. Chargé successivement des affaires socio-économiques, du comité des fêtes puis premier adjoint, il se met en retrait en 2008 quand Anne-Claire Delafontaine, alors socialiste et dans la majorité municipale, fait sécession et s'empare de l'hôtel de ville ».
↑« Philippe Mauger élu maire de Mouy en l’absence de sa devancière, Anne-Claire Delafontaine : Le nouveau maire communiste a été élu vendredi 3 juillet en conseil municipal. Il a décidé de réduire le nombre d’adjoints de huit à six », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Philippe Mauger, membre du Parti communiste, mais à la tête d’une liste divers gauche, a donc été élu par 22 voix pour, contre quatre à Karim Lamaaizi et trois bulletins nuls ».
↑Julien Heyligen, « Mouy : la ville veut relancer le marché du samedi : Gratuité des emplacements jusqu’à la fin de l’année, nouveaux commerçants annoncés… Des mesures sont mises en place pour attirer vendeurs et clients », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑Julien Heyligen, « Église de Mouy : coup d’envoi d’une restauration « qui va durer plusieurs années » : Une première phase de travaux va être menée cet automne pour assurer l’avenir du monument et éviter sa dégradation », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑Volumes consacrés à l'histoire de l'Ordre du Saint-Esprit. CXXI-CXXIX Seconde série de volumes consacrés à l'histoire de l'Ordre du Saint-Esprit. Recueil chronologique de notices généalogiques, pièces, dessins et portraits peints ou gravés concernant les membres de l'Ordre. CXXI Années 1578-1585., 1501-1800 (lire en ligne)