Ménétreux-le-Pitois

Ménétreux-le-Pitois
Ménétreux-le-Pitois
Vue du village depuis le plateau le surplombant
Blason de Ménétreux-le-Pitois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Montbard
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Alésia et de la Seine
Maire
Mandat
Yvon Fiorucci
2020-2026
Code postal 21150
Code commune 21404
Démographie
Population
municipale
401 hab. (2021 en évolution de −7,82 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 34″ nord, 4° 28′ 19″ est
Altitude Min. 228 m
Max. 397 m
Superficie 6,62 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Venarey-les-Laumes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montbard
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ménétreux-le-Pitois

Ménétreux-le-Pitois est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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Localisation

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Le village est situé au sommet du mont Réa, l'une des buttes entourant le site d'Alésia. Il est partagé en deux parties : Ménétreux « La Tuilerie » le long de la D 905 entre Les Laumes et Montbard, et Ménétreux « Le Village » le long de la D 119a entre Les Laumes et Éringes.

Communes limitrophes de Ménétreux-le-Pitois
Éringes Bussy-le-Grand
Seigny Ménétreux-le-Pitois Grésigny-Sainte-Reine
Grignon Venarey-les-Laumes
Carte de la commune de Ménétreux-le-Pitois et des proches communes.

Hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 893 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montbard_sapc », sur la commune de Montbard à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 853,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Ménétreux-le-Pitois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Venarey-les-Laumes, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,5 %), terres arables (26,1 %), forêts (10,1 %), zones urbanisées (7,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom Ménétreux vient du latin monasteriolum ou monasterellum, petit monastère. Le surnom de Pitois apparaît pour la première fois en 1377. Selon l’abbé Courtépée, les Pitois étaient seigneurs de Ménétreux au XIIIe siècle, d’où le surnom accolé au nom du village.

La butte sur laquelle est situé le village de Ménétreux-le-Pitois est occupée sans interruption depuis la Préhistoire. Des traces intéressantes de civilisation gallo-romaine ont été mises au jour, en particulier un temple dédié à Minerve, patronne des artisans.

En l'an 52 avant Jésus-Christ, lors du siège d'Alésia par Jules César, le mont Réa, seulement défendu par deux légions romaines, fut le théâtre de combats acharnés entre Gaulois et Romains.

Temps modernes

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Le , le village reçut son affranchissement sur ordre de Jacques de Jaucourt. Jusqu'à cette date les habitants étaient encore mainmortables vis-à-vis de leur seigneur.

Époque contemporaine

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Ménétreux-le-Pitois fut envahi deux fois par les Allemands :

  • les 14 et , deux colonnes allemandes stationnèrent dans le village avec de l'artillerie lourde et 400 chevaux ;
  • le , 1400 soldats allemands campèrent environ trois semaines dans le village avec matériel et chevaux.

Enfants de Ménétreux-le-Pitois morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale

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  • Charles BOILLET
  • Octave CARRION
  • Gabriel CHANCEAUX
  • Camille DAMBRUN
  • Julien GALLOIS
  • Marcel GARDIEN
  • Charles GUYOT (sergent major)
  • Pierre JANNIAUX (caporal)
  • Alfred MAILLARD
  • René MAILLARD
  • Maurice NARDEAU
  • René NICOLLE
  • Émile PACOT
  • Alfred TISSERAND
  • René REBOURG
  • Paul VOYE

Source : "Histoire de Ménétreux-le-Pitois" par Louis BAZIN (1922)

Enfants de Ménétreux-le-Pitois morts pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale

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  • Albert BADAUT
  • Marc BOILLET
  • Lucien BONSON
  • Émile CHAUSSIVERT
  • Bernard CHEVALLIER
  • Marcel NICOLLE

Source : "Histoire de Ménétreux-le-Pitois" par Louis BAZIN (1922)

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
en 1790   Blaise EPERY    
1793 1794 Jean RANVIOT    
1794   René EPERY    
1801   Blaise EPERY    
1801 1802 Blaise CAPITAIN    
1803 1821 Blaise EPERY    
1821 1830 Nicolas Philibert LETORS de LARRAY    
1830 1831 Philibert EPERY    
1831 1837 Blaise CAPITAIN    
1837 1840 René RANVIOT    
1840 1843 Blaise PERREAU    
1843 1847 Blaise EPERY    
1848 1871 Louis Gabriel Hubert de LA FERTE-MEUNG    
1871 1872 M. EPERY-CHANTRIER    
1872 1876 Alexandre GARNIER    
1876 1881 Jean-Baptiste CALABRE    
1881 1884 M. EPERY-CHANTRIER    
1884 1885 Jean-Baptiste CALABRE    
1885 1885 Jean-Marie RANVIOT-PICHENOT    
1887 1889 Jean-Baptiste RANVIOT    
1889 1893 Jean-Marie RANVIOT    
1893 1901 Honoré RANVIOT    
1901 1907 Albert HUMBERT    
1907 1919 Honoré JACOB    
1919 1923 Pierre GALLET    
1923 1929 Honoré JACOB    
1929 1945 Abel MATHIEU    
1945 1947 André JACOB    
1947 1954 Flavien CHARRIÈRE    
1954 1965 René BUFFY    
1965 1971 Eugène BLANCHOT    
1971 1977 Lucien RENAUD    
1977 1983 Denis BUFFY    
1983 1995 René BOILLOT    
1995 2007 Denis BUFFY    
2007 2014 Daniel VIETTE    
2014 En cours Yvon FIORUCCI    

Source : archives municipales sauf ! = "Histoire de Ménétreux-le-Pitois" par Louis BAZIN (1922)

Démographie

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Les habitants de Ménétreux-le-Pitois sont appelés Ménétriers ou Ménétrières.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[13].

En 2021, la commune comptait 401 habitants[Note 2], en évolution de −7,82 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
311310350284284302312314284
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
269282258258250241224271302
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
285281269283328337294364322
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
332299400461467426423447431
2021 - - - - - - - -
401--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le village abrite un château initialement construit vers 1578 par Claude de la Trémouille-Bresche. Nommé « Chatelet-Maisonfort », le château fut en grande partie rasé (sauf une tour ronde et une tour carrée) et reconstruit par le baron Charles-Claude de Vichy à la fin du XVIIIe siècle. Des bâtiments devant servir de ferme modèle furent ajoutés à grands frais en 1884 par M. Cuhaut. Vendue en 1930 à la Société du Métro de Paris, la propriété a longtemps servi de maison de repos et abrite actuellement une colonie de vacances pour les enfants des employés de la RATP, gérée par la fondation « Les Enfants du Métro », association loi de 1901 subventionnée par le comité d'entreprise.


L’église, dédiée à Saint-Valentin-de-Griselles, aurait été initialement bâtie en 888, puis souvent remaniée par la suite.

En 1788 M. Boudillet, prêtre de la paroisse de Ménétreux, lance des travaux de reconstruction du chœur de l’église, devenue trop exigüe en raison de l’accroissement de la population. Deux chapelles latérales sont ajoutées, celle du sud dédiée à la Sainte Vierge, celle du nord dédiée à Saint-Valentin-de-Griselles, martyr et patron de la paroisse. La nef n’est pas touchée. Les pierres de taille des fenêtres sont remplacées par des briques. Les travaux s’achèvent le et seront complétés un peu plus tard par la construction d’une tribune.

D’importants travaux de réparation sont entrepris en 1891, 1892 et 1900.

En 1872 est inauguré l’autel de Saint-Valentin-de-Griselles et le a lieu la bénédiction de l’autel de la Vierge.

En 1884, les murs de l'église sont rehaussés de 80 centimètres.

Le est inauguré le chemin de croix.

Au fond de l’abside est érigé un autel de marbre blanc, éclairé par deux fenêtres romanes et couronné d’une voûte à arêtes vives, croisées en sautoir.

Le chœur est orné d’un Christ grandeur nature, nommé « Christ aux liens », et l’église abrite des statues du Sacré-Cœur, de saint Joseph, de saint François de Sales, de sainte Agathe et de sainte Anne.

En 1903, de nouveaux bancs sont installés.

Le , une nouvelle cloche est bénie, refonte de la précédente qui datait de 1811 et pesait 390 kilos. Sortie des ateliers de M. Farnier, fondeur à Velars-sur-Ouche, et baptisée Renée-Virginie, elle pèse 406,5 kilos et donne le la naturel.


Vers 1850, une tuilerie est créée par M. Fénéon. Avec seulement huit ouvriers à sa création, en passant sous la coupe de l'Union des Entrepreneurs en 1935 elle comptera une centaine d'ouvriers. Très moderne, elle disposait de sa propre école de poterie. L'exportation des pièces se faisait essentiellement vers le Nord, par voie de chemin de fer ou par le canal. Les locaux, reconvertis en entrepôt de matériaux, furent détruits par un incendie en 1986 et il n'en reste pratiquement rien.


Selon l'arrêté préfectoral no 2023/N3 du 3 février 2023, sont inscrits au titre des monuments historiques les objets suivants, conservés en l'église Saint-Valentin-de-Griselles :

  • Christ aux liens (statue polychrome du XVIe siècle)
  • Saint-Valentin-de-Griselles (statue en pierre d'Augustin Delaporte, Dijon 1872)
  • autel avec bas-relief représentant le martyre de Saint-Valentin-de-Griselles (en pierre, vers 1872)
  • lustre d'église en métal et verre (XIXe siècle)
  • Sainte-Apolline (statue en terre cuite, XIXe siècle)

Personnalités liées à la commune

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  • Nicolas Bodevin (ca 1644-03.10.1724), prêtre suisse, curé de Ménétreux-le-Pitois, dont les armoiries étaient « d'azur à une pinte d'argent ».
  • Émile Chaussivert, maquisard du groupe Henri Bourgogne, torturé et exécuté le par l'armée allemande à Semur-en-Auxois.
  • Le chanoine Henri Jeanniaux, curé de Ménétreux-le-Pitois pendant 52 ans et célèbre herboriste. Né à Dijon le , il fut ordonné prêtre le , après des études au petit séminaire de Plombières-lès-Dijon. D'abord vicaire à Pagny-la-Ville et curé à Spoy, il fut nommé curé à Ménétreux-le-Pitois en 1908. Élevé à la dignité de chanoine honoraire en 1954, il donna sa démission de curé de Ménétreux en 1960. Il s'éteignit le . Parallèlement à son ministère, Henri Jeanniaux était l'un des derniers herboristes exerçant en France. Attiré par la botanique dès son entrée au petit séminaire, il y consacrait ses loisirs et suivait l'enseignement de l'abbé Fournier. Sur les conseils du docteur Raymond Petit de Molesmes dont l'épouse était originaire du village, il s'inscrivit en 1914 à l'examen d'herboriste auquel il fut reçu avec la mention bien. Revenu de la guerre, l'abbé Jeanniaux reprit ses activités en 1919, conseillant des plantes aux malades du pays. Pris peu au sérieux au début, ses excellents résultats lui amenèrent de nombreuses personnes de l'extérieur et sa renommée dépassa vite les limites de sa région. Ni médecin, ni guérisseur, ce prêtre ne faisait pas de miracle et se contentait d'utiliser les moyens mis par la nature à disposition des hommes. Il posait simplement des questions aux malades qui lui permettaient d'établir un diagnostic et de prescrire une décoction ou un vin obtenu par macération de plantes qu'il connaissait particulièrement bien. Il récoltait les plantes dans les bois et friches de la région, mais se fournissait également en plantes exotiques issues de pays lointains, la Chine et le Brésil notamment. L'abbé Jeanniaux disposait de plus de 200 plantes médicinales qui servaient chaque jour à soigner ou soulager.
  • Nicolas Perrot (1644-1717), explorateur, diplomate et commerçant en Nouvelle-France.

Héraldique

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Blason de Ménétreux-le-Pitois Blason
De gueules à trois bandes d'or, à deux bars adossés d'argent au chef d'azur* à la croix ancrée d'or.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur sur gueules).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Ménétreux-le-Pitois et Montbard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Montbard_sapc », sur la commune de Montbard - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Montbard_sapc », sur la commune de Montbard - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Venarey-les-Laumes », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.