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Neel Mukherjee (né en 1970) est un écrivain d’origine indienne vivant à Londres et écrivant en anglais. Il est l’auteur de plusieurs romans ayant eu une bonne réception de la part de la critique.
Son premier roman, Le passé continu, a remporté de nombreux prix en Inde et en Grande-Bretagne. La Vie des autres, son deuxième roman, a été finaliste du Man Booker Prize et di Costa Awardt[1] avant d’être récompensé par le Encore Award en 2014.
Mukherjee a fréquenté l’école Don Bosco à Kolkata (Calcutta). Il a fait des études de lettres anglaises à l’université de Jadvpur puis obtint une bourse pour étudier la littérature anglaise au collège de l’Université d’Oxford où il passa son diplôme en 1992. Il termina sa thèse au collège de Pembroke, Cambridge, et obtint une maîtrise de lettres en écriture créative à l’université de East Anglia en 2001.
Il devint critique littéraire pour diverses publications anglaises et américaines, parmi lesquelles The Times et Times Asia.
Parlant de la facilité inattendue avec laquelle il a écrit La vie des autres, il dit :
«Les écrivains ont rarement accès à cette partie de leur esprit d’où vient l’inspiration. On peut parler influences, intrigue, construction, structure, peaufinage, vraiment de tout, mais l’origine de l’inspiration est un problème bien plus complexe. C’est essentiellement le domaine de l’inconscient, donc rien qui puisse être réduit à une simple discussion sur le fond… Je ne sais pas si, au commencement, mon livre à vu le jour comme la description d’une famille unie de Calcutta à une époque critique de l’Histoire ou comme le compte rendu d’un mouvement d’extrême-gauche pour la justice sociale et l’égalité autour duquel l’histoire familiale était construite… Cette façon de parler du processus créatif d’un livre comme si l’histoire arrivait en premier est toujours déjà dépassée parce que l’origine prend sa source bien plus tôt… C’est comme si le livre était déjà là, attendant patiemment de pouvoir faire son entrée; j’ai simplement ouvert la porte.»[2]
Sélectionné pour le prix DSC de littérature d’Asie du Sud, 2011
La vie des autres, Piranha, 2016
Encore Award de la Société royale de littérature pour le meilleur second roman, 2014[3],[4],[5]
Sélectionné pour Man Booker Prize, 2014
Sélectionné pour le prix DSC de littérature d’Asie du Sud, 2016[6]
L’action se situe à Calcutta en 1967. Par idéalisme, Supratik bascule dans l’extrémisme. Il disparaît en laissant seulement une note. La vie et les péripéties de la famille qu’il laisse prennent un tour désastreux, reflétant la société qui les entoure.
À l’état libre (A State of Freedom), Piranha, 2019
Angela Eyre, “Organized Peasant Resistance in Fiction: The Sword and The Sickle and The Lives of Others [La Vie des autres, roman de Neel Mukherjee]”, South Asia Multidisciplinary Academic Journal [Online], 21 | 2019, . URL: http://journals.openedition.org/samaj/5498; DOI: https://doi.org/10.4000/samaj.5498
(en-US) Hirsh Sawhney, « ‘The Lives of Others,’ by Neel Mukherjee », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
Sawhney, Hirsh. 2014. “Remaking the Homeland: Neel Mukherjee, The Lives of Others.” New York Times Sunday Book Review. December 28, p. 12.
Gorman-DaRiff, Megan. 2017. “A Dialectics of Violence: Making Sense of Neel Mukherjee’s Naxalite Narrative in the ‘Age of Terror.’” South Asian Review 38(1):115–26.