En théorie des nombres, les « nombres de Leyland[1] » sont définis dans l'OEIS comme les entiers de la forme xy + yx, où x et y sont des entiers strictement supérieurs à 1. La qualification "strictement" est essentielle : sans elle tout entier supérieur ou égal à 2 serait un nombre de Leyland car de la forme x1 + 1x.
Cette suite d'entiers est la suite A076980 de l'OEIS : 8, 17, 32, 54, 57, 100, 145, 177, 320, 368, etc. et la sous-suite des nombres de Leyland premiers est la suite A094133.
Cette formule a été proposée par Paul Leyland[2] comme un bon générateur pour tester des programmes généralistes de preuve de primalité, parce que ces nombres ne semblent présenter aucune propriété particulière que des programmes spécifiques pourraient exploiter[3].
En , le plus grand nombre de Leyland premier connu était 8 6562 929 + 2 9298 656 (30 008 chiffres).