Oisly | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Loir-et-Cher | ||||
Arrondissement | Romorantin-Lanthenay | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Val-de-Cher-Controis | ||||
Maire Mandat |
Cécile Gomes Recchia 2020-2026 |
||||
Code postal | 41700 | ||||
Code commune | 41166 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Auciliussois[1] | ||||
Population municipale |
388 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 25″ nord, 1° 22′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 98 m Max. 131 m |
||||
Superficie | 10,61 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Montrichard Val de Cher | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loir-et-Cher
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.oisly.fr/ | ||||
modifier |
Oisly [wali] est une commune française située dans la communauté de communes de Contres, dans la province de la Sologne viticole et dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.
Localisée au sud-ouest du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Sologne viticole », vaste étendue de bois, d'étangs et de prés. Elle est drainée par le Bavet et par divers petits cours d'eau.
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est toutefois recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 12 en 1988, à 21 en 2000, puis à 15 en 2010.
La commune d'Oisly se trouve au sud-ouest du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Sologne viticole[2],[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 22,4 km de Blois[4], préfecture du département, à 27,9 km de Romorantin-Lanthenay[5], sous-préfecture, et à 15,4 km de Montrichard Val de Cher, chef-lieu du canton de Montrichard dont dépend la commune depuis 2015[6]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Le Controis-en-Sologne[7].
Les communes les plus proches sont[8] : Choussy (3,1 km), Couddes (3,4 km), Sassay (4,7 km), Contres (5 km), Feings (5,5 km), Fresnes (5,6 km), Thenay (6,8 km), Fougères-sur-Bièvre (7 km) et Saint-Romain-sur-Cher (8 km).
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[9]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[10]. La commune fait partie de l'unité de paysage de « la Sologne viticole », dans la Sologne[11].
La Sologne viticole, moins boisée que la Grande Sologne, présente un relief doux. La présence affirmée d'une agriculture qui prend le relais des boisements de Grande Sologne dégage des points de vue et des horizons ouverts. Les paysages de bois et de cultures s'enchaînent en s'imbriquant les uns aux autres[12].
L'altitude du territoire communal varie de 98 mètres à 131 mètres[13],[14].
La commune est drainée par le Bavet (0,62 km) et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 2,8 km de longueur totale[15].
Le Bavet, d'une longueur totale de 11,4 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Cher à Monthou-sur-Cher, après avoir traversé 4 communes[16]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[17].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[19].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cheverny à 14 km à vol d'oiseau[20], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 675,8 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[24],[25],[26].
Au , Oisly est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[7] et hors attraction des villes[28],[29].
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (97,5 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (30,4 %), cultures permanentes (39,2 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), forêts (3,4 %), zones urbanisées (2,5 %)[15].
En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée, un plan local d'urbanisme était en élaboration[30]. Par ailleurs, à la suite de la loi ALUR (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de mars 2014, un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes Val-de-Cher-Controis a été prescrit le [31].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Oisly en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (7,9 %) par rapport au département (18 %) et à la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89,7 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.
Oisly[32] | Loir-et-Cher[33] | France entière[34] | |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 82,1 | 74,5 | 82,3 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 7,9 | 18 | 9,6 |
Logements vacants (en %) | 10,0 | 7,5 | 8,1 |
Le territoire communal d'Oisly est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique : le transport de matières dangereuses[35],[36].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[35]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[37]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[38].
Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[39].
Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[40], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse d'Oisly devient formellement « commune d'Oisly »[40],[41].
En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Contres et au district de Saint Aignan[41]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[42],[43]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[42]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[44]. Oisly est alors rattachée au canton de Contres et à l'arrondissement de Blois par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[45],[41],[46]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.
L'origine probable du nom « Oisly » viendrait d'Aucilius (ou Ocilius), propriétaire gallo-romain. En 1998, le 30 juin, le conseil municipal propose pour se rapprocher le plus du nom d'origine d'attribuer aux habitants le nom de « Auciliussoises et Auciliussois ».
Aujourd'hui, la commune de Oisly se développe principalement autour de la viticulture et compte bon nombre de viticulteurs indépendants ainsi qu'une coopérative en association avec le village voisin de Thésée.
La commune d'Oisly est membre de la communauté de communes Val-de-Cher-Controis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [47].
Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Romorantin-Lanthenay, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[7], en tant que circonscriptions administratives[7]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de Montrichard depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[48] et à la première circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[49].
Le conseil municipal d'Oisly, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[50] avec listes ouvertes et panachage[51]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 11. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[52].
L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[53].
Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[54]. En 2019, la commune est membre du syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de Sassay - Couddes - Oisly - Choussy qui assure le service en le délégant à une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [55].
En 2019, la commune d'Oisly gère le service d'assainissement collectif en régie directe, c'est-à-dire avec ses propres personnels, avec le statut de régie à autonomie financière[56]. Une station de traitement des eaux usées est en service au sur le territoire communal[57] : « Plaine De La Chaumont », un équipement utilisant la technique du lagunage naturel, dont la capacité est de 450 EH, mis en service le [58].
L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[59]. La communauté de communes Val-de-Cher-Controis assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l'entretien des installations[60].
La sécurité de la commune est assurée par la brigade du Controis-en-Sologne qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[61].
En matière de justice, Oisly relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[62], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[63].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[65].
En 2021, la commune comptait 388 habitants[Note 2], en évolution de +5,15 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 193 hommes pour 184 femmes, soit un taux de 51,19 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,55 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Oisly selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[70] :
total | % com (% dep[71]) | 0 salarié | 1 à 9 salarié(s) | 10 à 19 salariés | 20 à 49 salariés | 50 salariés ou plus | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ensemble | 36 | 100,0 (100) | 20 | 15 | 1 | 0 | 0 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 15 | 41,7 (11,8) | 5 | 9 | 1 | 0 | 0 |
Industrie | 1 | 2,8 (6,5) | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 |
Construction | 5 | 13,9 (10,3) | 4 | 1 | 0 | 0 | 0 |
Commerce, transports, services divers | 12 | 33,3 (57,9) | 10 | 2 | 0 | 0 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 1 | 2,8 (17,5) | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 3 | 8,3 (13,5) | 1 | 2 | 0 | 0 | 0 |
Champ : ensemble des activités. |
Le secteur agricole est important puisqu'il représente 41,7 % du nombre d'entreprises de la commune (15 sur 36), contre 11,8 % au niveau départemental. Sur les 36 entreprises implantées à Oisly en 2016, 20 ne font appel à aucun salarié, 15 comptent 1 à 9 salariés et 1 emploie entre 10 et 19 personnes
Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[72]
En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la viticulture (appellation et autre)[73]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[74]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 42 en 1988 à 21 en 2000 puis à 15 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 20 ha en 1988 à 38 ha en 2010[73]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles d'Oisly, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[73] | |||
Nombre d'exploitations (u) | 42 | 21 | 15 |
Travail (UTA) | 86 | 56 | 43 |
Surface agricole utilisée (ha) | 848 | 637 | 575 |
Cultures[75] | |||
Terres labourables (ha) | 540 | 352 | 326 |
Céréales (ha) | 171 | 137 | 200 |
dont blé tendre (ha) | 71 | 66 | 98 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 62 | 45 | 23 |
Tournesol (ha) | 121 | s | s |
Colza et navette (ha) | 6 | s | s |
Élevage[73] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 3]) | 449 | 27 | 30 |
.
La commune d'Oisly est située dans l'aire de l'appellation d'origine protégée (AOP)[Note 4] de quatre produits[76] : un fromage (le Selles-sur-cher[77]) et trois vins (le crémant-de-loire[78], le rosé-de-loire[79] et le Touraine[80]).
Le territoire de la commune est également intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : le vin Val-de-loire[81] et les volailles de l’Orléanais[82],[76].
Les armoiries de Oisly se blasonnent ainsi : |