le temps ordinaire est la période de l'année liturgique qui n'est pas celle des saisons liturgiques telles l'Avent, Temps de Noël, Carême, et Temps pascal.
L'office ordinaire est la partie fixe de l'office divin.
Un officier ordinaire fut un serviteur de la maison du Roi qui remplit ses fonctions toute l'année ou de manière habituelle: les musiciens ordinaires de la chambre du roi (ou de la chapelle du roi), le gentilhomme ordinaire de la chambre du roi etc.
Un ordinaire est un courrier. Pierre d’Alméras, général des postes au XVIIe siècle, fixe le départ des courriers « ordinaires » à certains jours de la semaine. « Ordinaire » devient bientôt un substantif – d'où la fréquence, encore au XXe siècle, d'un début de lettre rédigé comme suit : « J’ai bien reçu votre lettre par le dernier ordinaire.»
« Service ordinaire » fut, de la fin du XVIIIe siècle jusqu'au milieu du XXe, le nom donné à certains services de l'État, tels notamment les mines, les ponts et chaussées, les eaux et forêts, lorsqu'ils étaient chargés des missions « de base » de ces services. Les ingénieurs correspondants commençaient alors leur carrière au grade d'« ingénieur ordinaire »[1].
L'Ordinaire est une marque de soda à l'anis très consommé aux Antilles françaises.
↑Voir par exemple, pour les ponts et chaussées, Alfred Blanche, Dictionnaire général d'administration: contenant la définition de tous les mots de la langue administrative et sur chaque matière, Imprimerie et Librairie Administratives de Paul Dupont, , p. 341 consulté sur Google livres le 27 novembre 2008.