Palaminy | |||||
Entrée du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Muret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de Garonne | ||||
Maire Mandat |
Christian Sensèbe 2020-2026 |
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Code postal | 31220 | ||||
Code commune | 31406 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Palaminyciens | ||||
Population municipale |
792 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 12′ 13″ nord, 1° 04′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 235 m Max. 460 m |
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Superficie | 11,13 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Cazères (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cazères | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | https://palaminy.fr | ||||
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Palaminy est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne, le Bernès, le ruisseau de Saint-Antoine, le ruisseau de Tounis, et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée de la Garonne de Boussens à Carbonne » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Palaminy est une commune urbaine qui compte 792 habitants en 2021. Elle est dans l'agglomération de Cazères et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Palaminyciens ou Palaminyciennes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Pierre, inscrite en 1950, le château, inscrit en 1988, la maison du Tilleul, inscrite en 1988, et la maison Le Roucat, inscrite en 1988.
La commune de Palaminy se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 54 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 35 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 1 km de Cazères[3], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Cazères[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Cazères (1,4 km), Couladère (1,7 km), Mauran (3,5 km), Saint-Michel (4,1 km), Martres-Tolosane (4,8 km), Montclar-de-Comminges (4,8 km), Mondavezan (4,9 km), Saint-Christaud (5,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Palaminy fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].
Palaminy est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Mondavezan, Cazères, Martres-Tolosane, Mauran, Montclar-de-Comminges, Plagne et Saint-Michel.
La superficie de la commune est de 1 113 hectares ; son altitude varie de 235 à 460 mètres[7].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Garonne, le Bernès, le ruisseau de Saint-Antoine, le ruisseau de Tounis, la Nauze Les Gouteres et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[9],[Carte 1].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[10].
Le Bernès, d'une longueur totale de 18,3 km, prend sa source dans la commune d'Aurignac et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Cazères, après avoir traversé 9 communes[11].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 810 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 715,2 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,9 | 0,7 | 3,3 | 6,3 | 9,4 | 13,4 | 15,3 | 15 | 11,8 | 8,2 | 3,7 | 1 | 7,4 |
Température moyenne (°C) | 5,5 | 6 | 9,1 | 12,1 | 15,2 | 19,6 | 21,6 | 21,4 | 18,4 | 14,4 | 9,1 | 6 | 13,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,2 | 11,3 | 14,9 | 18 | 20,9 | 25,7 | 27,8 | 27,9 | 25,1 | 20,6 | 14,4 | 11,1 | 19 |
Record de froid (°C) date du record |
−10,1 12.01.10 |
−13,1 09.02.12 |
−10,6 01.03.05 |
−3,8 08.04.21 |
−0,5 06.05.19 |
2,9 01.06.06 |
7,5 15.07.16 |
5,1 31.08.10 |
2 29.09.07 |
−4,5 25.10.03 |
−8,8 18.11.07 |
−9,9 24.12.05 |
−13,1 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21,8 01.01.22 |
25,2 27.02.19 |
25,7 20.03.05 |
29,1 09.04.11 |
33 21.05.22 |
39,6 29.06.19 |
39,3 17.07.22 |
41,8 23.08.23 |
35,7 05.09.06 |
34,2 01.10.23 |
25,1 01.11.20 |
22,3 31.12.21 |
41,8 2023 |
Précipitations (mm) | 64,2 | 50,9 | 56,5 | 74,8 | 82,5 | 63,5 | 52,4 | 53,3 | 41,2 | 49,6 | 69,4 | 56,9 | 715,2 |
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].
Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[19].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2] : Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[21].
et un au titre de la directive oiseaux[21] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[24] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[25] et les « Quères des Petites Pyrénées (partie nord) » (1 262 ha), couvrant 9 communes dont une dans l'Ariège et huit dans la Haute-Garonne[26] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[24] :
Au , Palaminy est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cazères[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (26,1 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), terres arables (17,2 %), prairies (17 %), zones urbanisées (6 %), eaux continentales[Note 8] (5,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,3 %), mines, décharges et chantiers (1,2 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès par l'autoroute A64 sortie : 23 et par l'ancienne route nationale 125.
La ligne 379 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune au centre-ville de Saint-Gaudens depuis Lavelanet-de-Comminges.
La gare la plus proche est la gare de Cazères sur la ligne Toulouse - Bayonne.
Le territoire de la commune de Palaminy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Bernès. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000, 2009, 2011, 2018 et 2022[32],[30].
Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Palaminy est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif des Petites Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[33],[34]
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[35]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 380 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 380 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2011 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[30].
La commune est en outre située en aval des barrages du Portillon, de Cap de Long (Hautes-Pyrénées) et de l'Oule (Hautes-Pyrénées). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[38].
La bastide protégée par un rempart fut construite par Raymond VII, comte de Toulouse vers 1260.
Elle est située à un point stratégique qui favorisa les convoitises de la part des comtes de Toulouse, des comtes de Comminges et des comtes de Foix.
À partir du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Palaminy faisait partie du diocèse de Rieux.
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[39],[40].
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Cœur de Garonne et du canton de Cazères. Avant le Palaminy faisait partie de la communauté de communes du canton de Cazères.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].
En 2021, la commune comptait 792 habitants[Note 9], en évolution de −0,88 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[46] | 1975[46] | 1982[46] | 1990[46] | 1999[46] | 2006[47] | 2009[48] | 2013[49] |
Rang de la commune dans le département | 134 | 149 | 150 | 173 | 187 | 183 | 184 | 188 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Palaminy fait partie de l'académie de Toulouse.
Salle des fêtes, fête de la Saint Pierre en juillet [1], fête de la rive droite en août [2],
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du canton de Cazères[50].
Une déchèterie intercommunale gérée par la communauté de communes est présente sur la commune de Mondavezan[51].
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 325 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 749 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 390 €[I 6] (23 140 € dans le département[I 7]).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 8] | 7,6 % | 9,1 % | 11,3 % |
Département[I 9] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 486 personnes, parmi lesquelles on compte 77,9 % d'actifs (66,5 % ayant un emploi et 11,3 % de chômeurs) et 22,1 % d'inactifs[Note 11],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 127 emplois en 2018, contre 149 en 2013 et 170 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 325, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,3 %[I 12].
Sur ces 325 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 62 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 81,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,8 % les transports en commun, 6,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
74 établissements[Note 12] sont implantés à Palaminy au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 15].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 74 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
15 | 20,3 % | (5,7 %) |
Construction | 11 | 14,9 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
18 | 24,3 % | (25,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 1,4 % | (3,8 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
13 | 17,6 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
11 | 14,9 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 5 | 6,8 % | (7,9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,3 % du nombre total d'établissements de la commune (18 sur les 74 entreprises implantées à Palaminy), contre 25,9 % au niveau départemental[I 16].
Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[52] :
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 21 | 19 | 9 | 7 |
SAU[Note 14] (ha) | 531 | 433 | 337 | 333 |
La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (21 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 333 ha[55],[Carte 6],[Carte 7].