Payzac (Dordogne)

Payzac
Payzac (Dordogne)
L'église de la Transfiguration dans le bourg de Payzac.
Blason de Payzac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
Maire
Mandat
Gérard Boban
2024-2026
Code postal 24270
Code commune 24320
Démographie
Gentilé Payzacois
Population
municipale
971 hab. (2021 en évolution de −1,42 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ 06″ nord, 1° 13′ 07″ est
Altitude Min. 236 m
Max. 374 m
Superficie 47,72 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Yrieix-la-Perche
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Isle-Loue-Auvézère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Payzac
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Payzac
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Payzac
Liens
Site web payzac24.fr

Payzac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Généralités

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Située dans le nord-est du département de la Dordogne, en Nontronnais, la commune de Payzac est limitrophe de deux autres départements de la région Nouvelle-Aquitaine : la Haute-Vienne et la Corrèze. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Yrieix-la-Perche[2].

Elle est arrosée par la Haute Loue (également appelée le Coulon) depuis sa source tout au nord de la commune et jusqu'à l'étang de Rouffiac à l'ouest. À l'est et au sud-est, l'Auvézère la traverse recevant au passage le flux de trois affluents, le ruisseau de la Penchennerie, la Boucheuse et le ruisseau des Belles-Dames.

Desservi par les routes départementales (RD) 4E, 75 et 80, le bourg de Payzac est situé, en distances orthodromiques, six kilomètres à l'est de Lanouaille et treize kilomètres au sud de Saint-Yrieix-la-Perche.

Communes limitrophes

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Payzac est limitrophe de neuf autres communes, dont trois en Corrèze et une en Haute-Vienne. Au nord-ouest, son territoire est limitrophe de celui de Sarlande sur moins de 600 mètres.


Communes limitrophes de Payzac
Sarlande Glandon
(Haute-Vienne)
Saint-Éloy-les-Tuileries
(Corrèze),
Ségur-le-Château
(Corrèze)
Angoisse Payzac Beyssenac
(Corrèze)
Savignac-Lédrier Saint-Cyr-les-Champagnes,
Saint-Mesmin

Géologie et relief

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Payzac est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère[3].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant du Cénozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée λ3-4b, fait partie des leptynites de Saint-Yrieix, Meuzac et Sarlande et est composée d'ortho-leptynites (métarhyolites ?) à biotites seule ou à biotite et muscovite à grain fin à moyen (Cambrien à Ordovicien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 736 - Saint-Yrieix-la-Perche » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].

Carte géologique de Payzac.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 236 mètres et 374 mètres[7],[8].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[10]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[11],[12].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 47,72 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 49,03 km2[5].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par l'Auvézère, la Boucheuse, la Haute-Loue, le ruisseau de la Penchennerie, le ruisseau des Belles-Dames et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 86 km de longueur totale[17],[Carte 1].

L'Auvézère, d'une longueur totale de 112,19 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Benayes et se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Bassillac et Auberoche et Escoire, face à Antonne-et-Trigonant[18],[19]. Elle traverse la commune de l'est au sud-est sur plus de treize kilomètres, dont six kilomètres et demi servent de limite naturelle en trois tronçons, face à Beyssenac et Savignac-Lédrier.

La Boucheuse, d'une longueur totale de 38,09 km, prend sa source en Haute-Vienne dans la commune de Magnac-Bourg et se jette dans l'Auvézère en rive droite sur la commune, en aval du moulin des Deux Eaux[20]. Elle arrose l'est du territoire communal sur trois kilomètres et demi.

La Haute Loue (ou Coulon dans sa partie amont), d'une longueur totale de 18,6 km, prend sa source dans le nord de la commune, près du lieu-dit la Roche Picout, et se jette dans la Loue en rive gauche, en limite de Lanouaille et Saint-Médard-d'Excideuil[21],[22]. Elle arrose la commune du nord au sud-ouest sur plus de huit kilomètres.

Le ruisseau de la Penchennerie, d'une longueur totale de 10,39 km, prend sa source en Haute-Vienne dans la commune de Coussac-Bonneval et se jette dans l'Auvézère en rive droite sur la commune, 400 mètres en amont de la confluence entre l'Auvézère et la Boucheuse[23]. Il traverse le sud-est de la commune sur cinq kilomètres et demi.

Le ruisseau des Belles-Dames (également appelé ruisseau de l'Orne dans sa partie amont), d'une longueur totale de 12,81 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Beyssenac et se jette dans l'Auvézère en rive gauche sur la commune, au sud-ouest du lieu-dit Touvent, face à Savignac-Lédrier[24],[25]. Il arrose l'est de la commune sur trois kilomètres et demi dont près de deux kilomètres marquent la limite territoriale en deux tronçons, face à Beyssenac.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[26]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [27].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[28]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[29].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 073 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[30]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche à 12,56 km à vol d'oiseau[31], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[32],[33]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[34].

Au , Payzac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[35]. Elle est située hors unité urbaine[36]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Yrieix-la-Perche, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[36]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[37],[38].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,9 %), forêts (30,7 %), prairies (5,6 %), terres arables (0,9 %), zones urbanisées (0,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %), cultures permanentes (0,5 %), eaux continentales[Note 4] (0,1 %)[39]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Payzac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[40]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[41].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Auvézère, la Haute Loue, la Boucheuse, le Penchennerie et le ruisseau des Belles-Dames. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2007 et 2009[42],[40].

Payzac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[43]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[44],[45].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[40].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Payzac est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[46].

En occitan, la commune porte le nom de Paisac[47].

Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793, ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne.

La commune s'est d'abord appelée Payzac-de-Lanouaille jusqu'en 1961, avant de devenir simplement Payzac. Son nom s'est parfois écrit Peisac, Peyzac, Paysac, Peyzat.

Les seigneurs de Payzac

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Les vicomtes de Limoges

Ce furent d'abord les vicomtes de Ségur et Limoges, dont le dernier fut Henri de Bourbon, roi de Navarre, puis roi de France sous le nom d'Henri IV.

La famille Dumas

En 1608, Rigaud (ou Rigal) Dumas[48] racheta aux Bourbons les droits de seigneurie de Payzac. Rigaud et son épouse rendirent hommage au roi de Navarre (Henri, futur Henri IV, au titre de sa vicomté de Ségur-Limoges) le . Rigaud Dumas fut maintenu dans sa noblesse lors de la recherche de 1598-99 sur preuves de 1474. Il testa en faveur de Peyrot Dumas, son neveu, qui reprit le nom de Payzac.

Peyrot Dumas[49], neveu du précédent, seigneur de Payzac, du Mas, de la Borie, de la Serre et de la Tournarie, est décédé en 1647. De son mariage le avec Gabrielle de Hauteclaire est issu, entre autres enfants :

  • Messire Gabriel Dumas[50], écuyer, chevalier, seigneur de Payzac, du Mas, de la Borie, de la Serre, d'Estivaux et de la Tournerie. Désigné dans l'armée sous le nom de capitaine de la Borye, il servit d'abord en Picardie, fut capitaine d'une compagnie de 100 hommes d'armes dans le régiment de Pompadour-Infanterie en 1627, puis enseigne en 1639 (dans le même régiment ?). Le , il apporta à la cour la nouvelle de la victoire remportée contre les insurgés du Limousin par le seigneur de Pompadour (Jean III). Il fut maintenu dans sa noblesse par d'Aguesseau, intendant du Limousin le [51]. De Jeanne de Meilhars il eut :
  • Philippe Dumas[52], marquis de Payzac mort avant 1713.De son mariage avec Suzanne de Pommiers est issu :
  • François Dumas[53], marquis de Payzac, chevalier de Saint-Louis (1715). Né avant 1684. Décédé le . Mousquetaire en 1700, Il se trouva au combat de Nimègue en 1701, à celui de Keren en 1703, à la bataille de Ramillies en 1706, obtint une compagnie dans le régiment Royal-Roussillon, cavalier le de la même année, il la commanda à l'armée du Rhin en 1707, à la bataille d'Oudenaarde en 1708. Colonel du régiment de Payzac le , qu'il commanda à l'armée du Dauphiné jusqu'à la paix. Ce régiment ayant été incorporé dans le régiment du Dauphin le , il fut retenu colonel réformé à la suite du régiment de Dauphiné le suivant. On lui donna le le commandement d'un régiment de milice de la généralité de Limoges. Il est nommé brigadier le 1er août et par ordre du 25 on joignit au bataillon qu'il commandait le bataillon de La Morellière pour en former un régiment qui porta son nom et qu'il commanda jusqu'en quand on licencia les milices[54]. Son frère Jean, comte de Payzac et baron d'Auriac, fut colonel du 9e Dragons. De son mariage avec Marie-Paule de Boisse, le est issu :
  • Joseph François Dumas[55], chevalier, marquis de Payzac, seigneur de la Borie, de la Serre et de Cousage-lès-Alassac, co-seigneur d'Alassac, seigneur de la Vigne-Rouge, des dîmes de Rouffiac, vidame de Limoges, chevalier du Saint-Sépulchre (), maître de forge à Payzac. Il rendit hommage au roi pour ses terres de Payzac et de La Borie le [56]. De son mariage le , en la chapelle du château de Laxion, avec Gabrielle de Chapt de Rastignac, est issu :
  • Charles Antoine Armand Odet Dumas[57], marquis de Payzac, chevalier, seigneur de Payzac, de la Serre et de Cousage, co-seigneur d'Allassac et de la Salle, vidame de Limoges (1789), baron de l'Empire (), chevalier du Saint-Sépulchre (1818). Né le - château de Payzac. Décédé le - Paris. Sous-lieutenant en second au régiment d'infanterie du roi (à 16 ans) le , Lieutenant en second dans le même régiment le , Capitaine en second au régiment de La Marche-Prince Cavalerie le , Chef d'escadron au régiment de Conty Dragons en 1788. Sorti de France le . Campagne de 1792 dans la compagnie de Royal Picardie Cavalerie, a défendu Maastricht sous les ordres du Prince de Hesse en 1793. Enseigne au service du roi de Grande-Bretagne dans le corps du comte Williamson le . A continué de servir activement dans l'ouest de la France jusqu'en 1800. Gouverneur par charge de la Province du Condomois. Admis aux honneurs de la cour en 1790.

Sans postérité masculine et dernier de sa branche, ses filles Mesdames de Vins et de Stassart, vendirent la terre et le château de Payzac à Monsieur Dumas de Lavareille, allié de la famille Le Clere originaire d'Irlande, qui a fourni plusieurs maires de Payzac.

La Révolution

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Le vendredi , les communes de Boisseuilh, Coubjours, Génis, Payzac, Saint-Cyr-les-Champagnes, Saint-Mesmin, Salagnac, Savignac, Saint-Trié (Sainte-Trie) et Teillots initialement dans le département de la Corrèze sont réunies à la Dordogne.

Depuis la création des communes, Payzac a été coupée en deux de part et d'autre de l'ancienne route de Lanouaille à Pompadour. Le nord forme la commune de Payzac. Le sud a été rattaché à la commune de Savignac-Lédrier. C'est pourquoi les plaques de rue ne sont pas de la même couleur d'un côté et de l'autre de cette ancienne route à Chaux, rue du Stade, rue de la Garanne, et au milieu de la descente sur la Croix-Merle (rue du Parc).

XIXe siècle

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Payzac continue son activité industrielle : forges, moulins à papier : on relève en particulier dans les "Annales des Mines" :

- Ordonnance du , portant que le sieur Combescot, propriétaire de la forge de Vaux, est autorisé à conserver et tenir en activité ladite forge située sur l'étang de ce nom, alimenté par le ruisseau de Chazotte, commune de Paysac (Dordogne), et que la consistance de cette usine est et demeure fixée, conformément au plan joint à la présente ordonnance, à un foyer d'affinerie pour la conversion de la fonte en fer au moyen du charbon de bois.

- 1828, portant autorisation au sieur Andraud de conserver et tenir en activité l'usine à fer de l'Etang-neuf, commune de Paizac (Dordogne)[58].

- Ordonnance du , portant que la dame veuve Donnève, agissant au nom et comme tutrice de Jeanne-Hélène Donnève, sa fille mineure, est autorisée à conserver et tenir en activité l'usine à fer de Payzac, commune de ce nom, arrondissement de Nontron (Dordogne), et que la consistance de cette usine, dont l'eau motrice est fournie par le Haut-Vezère, est et demeure fixée, conformément au plan qui restera annexé à la présente ordonnance, à deux feux d'affinerie pour la conversion de la fonte en fer, allant au charbon de bois, et un marteau à drame[59].

XXe et XXIe siècles

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Le , après avoir saboté le Pont neuf, six résistants Francs-tireurs et partisans (FTP) sont pris en chasse par les Allemands et tués au lieu-dit la Sarlandie[60]. Une stèle commémorative y a été élevée.

La commune est connue pour son musée de la papeterie de Vaux et pour son équipe de rugby à XV, l'Union sportive Payzac-Savignac (USPS), champion de France 3e série en 2000, en honneur régional du Périgord-Agenais en 2006/2007.

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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La commune de Payzac (orthographiée « Paizac » à l'époque) a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.

En 1793, elle est rattachée au canton de Paizac qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Lanouaille nouvellement créé et dépendant de l'arrondissement de Nontron[7].

Intercommunalité

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Fin 2000, Payzac intègre dès sa création la communauté de communes Auvézère Loue qui prend le nom de communauté de communes du Pays de Lanouaille en 2003. Celle-ci, agrandie en 2017 prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[61],[62].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1944 1959 Louis Feuillard    
1959 1964 Gaston Vallade   Médecin
1964 1977 René Buffière    
1977 1983 Émile Lamassiaude    
1983 1990 Jean le Clère   Fils de Charles
1991 2001 Jean-Michel Lamassiaude PS Conseiller général, fils d'Émile
2001 mars 2008 François le Clère UMP Fils de Jean
mars 2008 octobre 2023[63] Jean-Michel Lamassiaude[64] PS[65] Responsable commercial
Conseiller général du canton de Lanouaille (1998-2015)
octobre 2023[63] février 2024 Pierre Thibaud   1er adjoint faisant fonction de maire
février 2024[66] En cours Gérard Boban   Militaire retraité

Équipements et services publics

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Dans le domaine judiciaire, Payzac relève[67] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[69].

En 2021, la commune comptait 971 habitants[Note 5], en évolution de −1,42 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 9642 8042 6742 3182 2782 1942 4172 6082 590
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5062 5042 6062 2302 3582 3922 5322 6262 563
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5622 5422 5412 5352 5202 1251 9481 8141 691
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 5061 4071 3081 2051 1061 0411 0591 0641 005
2018 2021 - - - - - - -
978971-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[70].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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En 2015[73], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 378 personnes, soit 38,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-huit) a augmenté par rapport à 2010 (quarante-trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,6 %.

Établissements

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Au , la commune compte 127 établissements[74], dont cinquante-huit au niveau des commerces, transports ou services, vingt-cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, dix-neuf dans l'industrie, treize relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et douze dans la construction[75].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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Elle s'est appelée : église Saint-Sauveur, église de la Trinité et porte aujourd'hui le nom d'église de la Transfiguration.
Elle possède un clocher tors probablement construit au XVIe siècle, en même temps que le bahut défensif.
Elle a connu plusieurs restaurations importantes, en 1844 (charpente du clocher), 1878 (nouvelle nef), 1934, puis de 1994 à l'an 2000 (intérieur). Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1995. Les vitraux réalisés entre 1875 et 1880 par Jean Besseyrias, fortement dégradés par la grêle en , ont été restaurés en 2016 par l'« Atelier du vitrail du Périgord »[76].

Patrimoine civil

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  • Château de Payzac, édifié au XVe siècle, remanié au XIXe siècle, résidence de la famille des barons Le Clere.
  • Pont las Veyras (ou pont Laveyrat) sur l'Auvézère. Construit avec des avant-becs pour résister à la force du courant lors des crues, il date des XIIIe et XVe siècles. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1987.
  • Musée de l'ancienne papeterie de Vaux.
Au bord du ruisseau des Belles-Dames, la papeterie a remplacé au XIXe siècle une ancienne forge. Après la fermeture de l'usine produisant la pâte à papier importée par la fabrique, elle a été aménagée en musée-atelier. Célèbre pour son papier alimentaire de forme ronde produit à partir de paille de seigle, l'usine propose aux visiteurs un parcours historique dans la vie du papier autour d'œuvres d'art et d'animations. Autour du site, un chemin d'initiation papetière invite à la découverte des plantes utilisées dans ce secteur. Le site est classé monument historique depuis 1996.
  • Plusieurs granges ovalaires, qui à l'origine étaient recouvertes de chaume de seigle aujourd'hui remplacé par des plaques de tôle[77], sont également inscrites sur différents lieux-dits de la commune : à la Roche-Picout[78], au Peyrat[79], au Rouveix[80] et à Vaux[81].
  • Le manoir de La Juvénie du XVIIe siècle a été restauré au XIXe siècle[82]. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a servi de refuge à des centaines d'enfants : d'abord de à octobre 1940 à 250 enfants alsaciens[83] ; puis en , environ 200 enfants sont placés là par le groupement d'entraide des réfugiés d'Alsace et de Lorraine[83] ; à partir du printemps 1943, parmi les 150 enfants figurent de jeunes Juifs ainsi que des fils de résistants ou de communistes[83].
  • Motte castrale au lieu-dit La Châtaignolade.
  • Maison forte du Montet aussi appelé Château du Montet.
  • Tour de Chavan détruite au début du XVIIIe siècle[84].

Patrimoine naturel

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Deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II sont constituées sur le territoire communal :

Personnalités liées à la commune

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  • Jean-Pierre Timbaud, syndicaliste et otage français, né le à Payzac, fusillé à Châteaubriant par les nazis le [89]. Une place du bourg de Payzac porte son nom : place de la bibliothèque, de la bascule et du foirail, en montant à l'école ;
  • Thomas Gauvin (1984-2011), major de la promotion Capitaine Beaumont, premier saint-cyrien à tomber sur le sol afghan.
  • Joseph François Dumas, chevalier, marquis de Payzac, seigneur de la Borie, de la Serre et de Cousage-lès-Alassac, co-seigneur d'Alassac, seigneur de la Vigne-Rouge, des dîmes de Rouffiac, vidame de Limoges, chevalier du Saint-Sépulchre (), maître de forge à Payzac. Il rendit hommage au roi pour ses terres de Payzac et de la Borie le .
  • Charles Antoine Armand Odet Dumas[90], comte puis marquis de Payzac, chevalier, seigneur de Payzac, de la Serre et de Cousage, co-seigneur d'Allassac et de la Salle, vidame de Limoges (1789), baron de l'Empire (), chevalier du Saint-Sépulchre (1818).

Héraldique

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Blason de Payzac Blason
De gueules à la croix aiguisée d'argent, cantonnée de quatre fleur-de-lys d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
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  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  2. Aire d'attraction des villes 2020 de Saint-Yrieix-la-Perche (388), Insee, consulté le .
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique de Payzac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Payzac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 736 - Saint-Yrieix-la-Perche de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Repères géographiques du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Payzac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  16. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
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  24. « Confluence Belles-Dames - Auvézère au sud-ouest du lieu-dit Touvent » sur Géoportail (consulté le 26 août 2022)..
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  52. Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Dordogne: Nos 783 à 1292. Arrondissement de Nontron, rédigé par MM. F. Villepelet, Dumas et Lavergne, archivistes, 1915, pages 162 et 164.
  53. Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Dordogne: Nos 783 à 1292. Arrondissement de Nontron, rédigé par MM. F. Villepelet, Dumas et Lavergne, archivistes, 1915, pages 166 et 167.
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  55. Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Dordogne: Nos 783 à 1292. Arrondissement de Nontron, rédigé par MM. F. Villepelet, Dumas et Lavergne, archivistes, 1915, pages 166 et 259.
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  80. « Ensemble des bâtiments du Rouveix (Paradinas) », notice no PA00083100, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
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  84. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest, , 316 p. (ISBN 2-87901-221-X).
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  87. [PDF] Gorges de l'Auvézère, INPN, consulté le 17 mars 2019.
  88. Carte de la ZNIEFF 720000937, INPN, consultée le 17 mars 2019.
  89. Biographie et photo de Jean-Pierre Timbaud
  90. Louis de La Roque,Edouard de Barthélemy, Catalogue des gentilshommes en 1789 et des familles anoblies ou titrées depuis le primier empire jusqueà nos jours 1806-1866, Volume 1, page 161.