Philippe Monnier , né le 2 novembre 1864 à Genève et mort le 21 juillet 1911 à Plainpalais [ 1] , est un écrivain suisse de langue française . Il est le fils de Marc Monnier , écrivain, et le père de Claire-Lise Monnier , artiste peintre.
La plupart de ses écrits portent sur Genève et sa région , dont il était originaire. Il a également rédigé des écrits sur l'histoire de l'Italie et les arts en Italie .
Souvenirs de Kientzheim , Colmar, J.-B. Jung, 1888
Vers bellettriens , Genève, Jules-Gme Fick, 1888
Le quattrocento : essai sur l'histoire littéraire du XVe siècle italien , Paris, Perrin, 1901, prix Marcelin Guérin de l’Académie française
Le livre de Blaise , Genève, A. Jullien, 1904
Venise au XVIIIe siècle , Paris, Perrin et Cie, 1907, prix Guizot de l’Académie française en 1908
La Genève de Töpffer , Genève, A. Jullien, 1914
Jeunes ménages , Genève, J. Jullien et fils, 1926
Mon village , Genève, J. Jullien, 1927
Introduction au Quattrocento , Complexe, 1995 (ISBN 2-87027-586-2 )
Le livre de Blaise , Lausanne, Éditions Plaisir de Lire , réédité : l'Âge d'Homme, 1998 (ISBN 2-8251-1177-5 ) . Numérisé par la Bibliothèque numérique romande :[1]
Venise au XVIII e siècle , Complexe, 2001 (ISBN 2-87027-883-7 )
Venise au XVIII e siècle , Tallandier, 2009 (ISBN 978-2-84734-591-9 )
Alfred Berchtold, « Philippe Monnier : 1864-1911 », dans La Suisse romande au cap du XX e siècle , Lausanne : Libr. Payot, 1963, p. 246-262
Gabriel Mützenberg, « Un écrivain protestant : Philippe Monnier (1864-1911) », dans Almanach protestant et Annuaire des Églises romandes , Lausanne, vol. 63 (1992), p. 41-44