Popokabaka (territoire)

Territoire de Popokabaka
Administration
Pays Drapeau de la république démocratique du Congo République démocratique du Congo
Province Kwango
Nombre
de députés
1
Démographie
Population 620 787 hab. (2016)
Densité 93 hab./km2
Langue nationale Kikongo
Géographie
Coordonnées 5° 43′ sud, 16° 35′ est
Superficie 6 649 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : République démocratique du Congo
Voir sur la carte topographique de République démocratique du Congo
Territoire de Popokabaka
Géolocalisation sur la carte : République démocratique du Congo
Voir sur la carte administrative de République démocratique du Congo
Territoire de Popokabaka
Sources
Communes et Territoires - Villes - Provinces

Le territoire de Popokabaka est une subdivision de la province du Kwango en république démocratique du Congo. Il a pour chef-lieu la ville de Popokabaka.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Le territoire de Popokabaka fait frontière avec l'Angola dans sa grande partie sud-ouest.

Fixation des frontières avec l'Angola

Francis Dhanis, agent de l'État indépendant du Congo à l'époque, y créa une station vers 1890. En 1891, un accord fut signé entre l'État indépendant du Congo, représenté par George Grenfell, et le Portugal, pour fixer les frontières. Les différents délégués se rencontrèrent à Popokabaka pour étudier la question[1].

Collectivités

[modifier | modifier le code]

Le territoire de Popokabaka est organisé en 3 secteurs[2],[3].

Secteurs

Secteur Groupements
Popokabaka Ikomba, Ilwanda, Kabama, Katota, Lusanga, Ngowa
Lufuna Lufuna, Ngasa, Nkosi Moyi
Yonso Ikomba, Ithenga, Kabadi, Kangu, Kiamvu Ki Nzadi, Mbula-Tsiala, Munene, Mwela, Nzofu

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. L'œuvre civilisatrice au Congo, Héroïsme et patriotisme des belges , Gand 1913 /http://www.archive.org/stream/loeuvrecivilisat00reni#page/n191/mode/2up p. 230
  2. X. Blaes, PNUD-SIG, Octobre 2008, Découpage administratif de la République démocratique du Congo
  3. territoire de Popokabaka, Le Kwango online. [consulté le 1er février 2010]