Pour la révolution mexicaine | ||||||||
Publication | ||||||||
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Auteur | Jack London | |||||||
Titre d'origine | The Mexican
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Langue | Anglais américain | |||||||
Parution | New York (États-Unis) The Century Co 1912 |
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Recueil | ||||||||
Traduction française | ||||||||
Traduction | Louis Postif | |||||||
Parution française |
1937 | |||||||
Intrigue | ||||||||
Date fictive | 1911 | |||||||
Lieux fictifs | Los Angeles | |||||||
Nouvelle précédente/suivante | ||||||||
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Pour la révolution mexicaine (titre original : The Mexican) est une nouvelle américaine de Jack London publiée en 1911.
Boxeur lui-même, Jack London a écrit deux romans sur la boxe : Le Jeu du ring (The Game) et La Brute des cavernes (The Abysmal Brute), ainsi que deux nouvelles : Le Bifteck (A Piece of Steak) et Pour la révolution mexicaine (The Mexican).
La nouvelle s'inspire de la vie de "Joe Rivers", pseudonyme d'un révolutionnaire mexicain dont les gains de boxe supportaient la Junte Revolucionaria Mexicana, un groupe de révolutionnaires en exil. Joe Rivers s'est finalement retiré de la boxe pour devenir livreur de glace à El Paso.
La nouvelle est publiée initialement dans The Saturday Evening Post, en , avant d'être reprise dans le recueil The Night-Born en .
Pour nourrir la Révolution, la junte s'était épuisée. Le dernier dollar avait été dépensé; il manquait cinq mille dollars pour commander des fusils et des munitions. Felipe Rivera, qui boxe dans le circuit local, décide de se battre avec le célèbre boxeur Danny Ward pour gagner ces cinq mille dollars nécessaires à la junte. Cette fois, pas de cagnotte au pourcentage, "le gagnant ramasse tout"...